Buis

irrationnel dont Napoléon a l’entière responsabilité ⇨ « deux balles » = exécution, insistance sur le fait que ce ne sont pas des balles perdues mais que l’enfant a été visé= acte délibéré. « dans la tête »= il n’avait aucune chance ⇨ « toupie en buis ») détaché des vers précédents et suivants = image du jeu, principale occupation de l’enfant = insouciance +innocence = symbolique du fait qu’il n’avait rien à se reprocher ⇨ « sa bouche/ Pâle » =enjambement qui met en valeur « pâle » « s’ouvrait »=

choisis pour l’exubérance de leur floraison autant que pour leur parfum. Ils attirent oiseaux et papillons. L’étage de l’eau : Un étage inférieur est occupé par les fontaines et rigoles qui distribuent l’eau en l’économisant et la recyclant. Les buis taillés sont utilisés pour leur exceptionnelle sobriété et leur résistance. Les pavements sont travaillés pour exploiter les rais de lumière qui percent le feuillage. Pour se protéger de l’effet desséchant du vent, le jardin est enclos d’un mur. Il

te bouges, Renaissent tous mes désespoirs. Le ciel était trop bleu, trop tendre La mer trop verte et l'air trop doux. Je crains toujours,- ce qu'est d'attendre! Quelque fuite atroce de vous. Du houx à la feuille vernie Et du luisant buis je suis las, Et de la campagne infinie Et de tout, fort de vous, hélas ! Paul Verlaine (1844-1896), Romances sans paroles (1873)/ Spleen d’été L'orageux crépuscule oppresse au loin la mer Et les noirs sapins. L'ombre, hélas ! revient

caduc, et que les arbres sont caducifoliés (hêtre, chène, érable...). D'autres arbres ont des feuilles pérennes ou persistantes, on dit qu'ils sont à feuillages persistants, ou qu'ils sont sempervirent (semper = toujours, virens = vert) : le houx, le buis... Les bourgeons, eux, ont une activité discontinue, mais sont des structures permanentes. En hiver, période pendant laquelle ils sont en vie ralentie, ils sont déshydratés pour se protégé du gel sont protégés par des écailles protectrices qui sont

un portrait. Une vieille grand-mère était là qui pleurait. Nous le déshabillions en silence. Sa bouche,  Pâle, s'ouvrait ; la mort noyait son œil farouche ;  Ses bras pendants semblaient demander des appuis. Il avait dans sa poche une toupie en buis. On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies. Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ? Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Disant : "Comme il est blanc! approchez donc la lampe

en frissonnant de mouches. La mre chantera sur lenfant quelle couche, et je tembrasserai, la bouche sur la bouche. Puis le ciel sera bleu, puis le ciel sera gris. Les oiseaux chanteront et pousseront des cris et auprs du vieux puits il poussera des buis. coute, mon amie il y a sous la grange un nid dhirondelles petites et criardes et qui ont la douceur de la vie calme et sage. Les grands chars sont passs. Sur leurs cornes luisantes les bufs avaient les longues fougres ombrageantes des bois glacs

3 vani niva vina vinu aniv 140 4 rabu boru brua baru arbu 141 Ministère de l’Education nationale PARTIE 2 PARTIE 2 PARTIE 2 EXERCICE 34 ☺ car cour pour lourd 1 vin avant vent fend 142 2 cri cru grue cure 143 3 buis pois bois boire 144 4 tourte tare tarde tarte 145 5 serpent sergent serpe cerf 146 Ministère de l’Education nationale 19 PARTIE 2 PARTIE 2 PARTIE 2 EXERCICE 35 ☺ …… …… ……… ……… …… …… ……… …… 1 147 2 …… …… …… ………

tant d'années, Mon vertige devant tant d'attente, Que rien ne peut vieillir , froidir, Même ce qui attendait notre mort, Ou lentement sut nous combattre, Même ce qui nous est étranger, Et mes éclipses et mes retours. Fermée comme un volet de buis Une extrême chance compacte Est notre chaîne de montagnes, Notre comprimante splendeur. Je dit chance, ô ma martelée ; Chacun de nous peut recevoir La part de mystère de l'autre Sans en répandre le secret ; Et la douleur qui vient d'ailleurs

quoi ? Pour quel bénéfice ? Une absurdité ? On sent bien que, de même que l’on peut associer l’efficacité à la vitesse, le beau est intimement lié au lent. Regardons la nature nous donner des leçons de lenteur. Les arbres à croissance lente, buis, olivier, chêne, donnent des bois plus nobles, plus durs, plus propices à la sculpture, à l’œuvre d’art que ces espèces rapides, les résineux par exemple, dont la fibre tendre les destine à des ouvrages grossiers. Et il est bien d’autres domaines

grand-mère dresse de son petit-fils le portrait d’un enfant : - jeune : « pas huit ans » > vulnérable, innocent - sage, sérieux à l’école : « ses maîtres (…) étaient contents » - plein de vie et de gaieté : « Il jouait ». Annoncé par la « toupie en buis » du vers 8 : l’enfant n’avait pas d’arme dans sa poche, mais un jouet. - pur, docile, paisible, gentil : « bon et doux comme un Jésus » - dévoué envers sa grand-mère : écrivait ses lettres (v.30), « Que vais-je devenir à présent toute seule ? »