Buis

soit qu’on revienne de Mens (dont la route passe en bordure d’un coin de parc), soit que ce fût pendant une journée d’automne, au retour d’une petite partie de chasse au lièvre, c’est-à-dire quand on était sur les crêtes qui dominent le labyrinthe de buis et les terrasses, on ne manquait pas de regarder tous ces amusements. D’autant que Mme Tim était toujours la tambour-major4. Elle était vêtue à l’opulente d’une robe de bure5, avec des fonds énormes qui se plissaient et se déplissaient autour d’elle

passant sous les sapins qui exhalaient une fragrance de résine, lorsqu’un souffle de vent, coulé entre les troncs, lui apporta un relent fétide. Un dernier coup de dents fit tomber ses habits. Nu comme un ver, il se précipita derrière un massif de buis. Sa première impulsion fut d’aller s’en ouvrir à son moine confesseur, mais quelque chose la retint au tout dernier moment. « Non, se dit-elle, la sagesse est d’attendre… et de voir. » Elle attendit ainsi la cinquième nuit. Il ne put réprimer

contribue au pathétique et à la dénonciation. - v. 4 et 5 : apparaissent personnages : grand-mère, narrateur et amis. - v. 5 à 11 : enfant. Insiste sur apparence physique, sur la blessure. Détail réaliste qui rappelle l'enfance de l'enfant : " toupie en buis " vers 8 > rend plus présente la scène - v. 12 à 15 : présentation de la grand-mère, gestes qui s'intègrent au récit. Interrompue par deux vers au discours direct > rapporte son émotion. - v. 16 et 17 : évocation extérieure : bruit > lutte continue

effectuées. On passa du stade de cueillette à celui de culture. Le tilleul prit le relais de la vigne en déclin, de la garance et de la sériciculture. Les Baronnies produisent à elles seules 80% de la production française. La capitale du tilleul est Buis les Baronnies. Sa cueillette doit impérativement être effectuée sur quelques jours avant que la fleur ne se boule complètement vers Juin-Juillet. La récolte est longue et demande beaucoup de main d'oeuvre. Elle se fait souvent à terre sur des rameaux

rejoignant l’idée de propreté exprimée au v.2. - Une cheminée sert à réchauffer l’endroit (« le foyer » v.21) et à l’animer; la flamme du foyer évoquant la vie. - Enfin, un détail réaliste rappelle l’enfance du petit garçon (la « toupie en buis » v.9) et rend la scène plus présente. 1) LES PERSONNAGES. Dans ce décor à la fois vague et précis qui semble prendre vie, des personnages apparaissent dés le vers 4 : le narrateur et ses amis, une vieille grand-mère, un enfant décédé

L’agencement intérieur de certaines parties du château (d’anciens appartements de courtisans) est modifié, afin de créer les « Galeries historiques » : Galerie des Batailles, Galeries XVIIème et XVIIIème siècle, etc. Vue sur les parterres de buis* et la façade sud du château Versailles : le château et la ville Autour de la place d’Armes, des hôtels particuliers sont construits pour les courtisans ne pouvant se loger au château. Ces bâtiments copient le style de la façade côté cour du

de Fantine ou Gavroche (Les Misérables) Un 1er temps (16 prem vers) Emploi du passé "avait reçu" v1 – "regarda" v12 Description et discours Narrateur = Hugo puis l'aïeul v13 Scène théâtralisée scène de deuil dramatise, description "une toupie en buis"(l.8), mise en scène dans l'écriture, tout est choisi, comparaison avec le Christ au vers 9 Ressorts du pathétique émouvoir le lecteur, situation : avec la grand-mère qui pleure (l.4) et l'innovence de l'enfant symbolisé avec sa toupie (l.8), les

Pourquoi croix "Hosannière"? Fonction : le terme hosannière vient d'hosanne, qui signifie Buis sacré. On avait pour coutume de déposer cette branche, du buis sur la croix lors de la procession des Rameaux soit le dimanche avant Pâques (entrée royale de JC à Jérusalem) ou le dernier dimanche Carême (40 jours avant Pâques). Le jour de Rameaux ont bénissé les branches, le buis étant symbole de vie éternelle. Les rameaux verdoyants, signes de vitalité, étaient donc déposés

par petites touches « comme si on y était ». Série de phrases d’un seul vers pour commencer le poème, qui donnent tous les éléments nécessaires. Nombreux détails pratiques très précis : « le drap blanc », dans « l’armoire de noyer », « la toupie de buis » tous décrit la pauvreté honnête. Il parle aussi de la triste mort d'un enfant, décomposition du corps de l’enfant, « sa bouche, son œil, ses bras pendants, les troues de ses plaies ». Comme si l'enfant était en train de mourir « s’ouvrait,

persévère ; il dirige la pensée et anime la méditation de celui qui, dans le silence de sa conscience, cherche la vérité. C'est le symbole du maître au cours des tenues maçonniques.  Le maillet est en bois de buis ; choisi du fait de sa dureté, le buis symbolise la fermeté et la persévérance.  Dans notre temple, le Maillet est une des lumières du Vénérable ; il n’est pas l’outil de commandement, mais une invitation au travail.