Bulbe

située dans le premier tiers de la muqueuse. C'est un axone qui communique avec le bulbe olfactif et dont la partie externe aboutit dans l'épithélium olfactif. Les molécules odorantes sont diffusées dans le mucus. Où, si elles sont hydrophobes, sont transportés par des protéines afin d'atteindre les récepteurs membranaires situés sur les cils des neurones olfactifs. Les molécules odorantes sont transportées vers le bulbe olfactif de la région préfrontale du cerveau où ces informations sont traitées

s'étaient dispersées dans le mucus (= qui est une fine couche de glaire recouvrant la muqueuse des fosses nasales), doivent se dissoudre dans la membrane muqueuse avant de pouvoir stimuler les cellules nerveuses. A la fin de cette étape, l'air atteint le bulbe olfactif où ses molécules vont se fixer sur les fameux récepteurs des cils. Et c'est à ce moment que le traitement de l’information olfactive se fait. Une fois les informations analysées, elles sont transmises par le nerf olfactif où elles rejoignent

molécule particulière; elle se spécialise ainsi dans un type d’odeur. Dès qu’une odeur arrive sur la muqueuse nasale, la molécule odorante se fixe directement sur le récepteur correspondant, déclenchant ainsi un influx nerveux qui sera ensuite conduit au bulbe olfactif (extension du cortex nerveux situé au-dessus des fosses nasales). Des structures appelées glomérules, contenues dans les bulbes, permettent à ces influx de parvenir au cerveau, qui les interprète alors. C’est ainsi que des milliers d’odeurs

(pituitaire) où se trouvent les cellules réceptrices primaires de l’olfaction. Le bulbe olfactif De l’autre coté de la lame criblée, les filets olfactifs se placent dans une structure qui apparait à la face inférieure du cerveau : le bulbe olfactif (structure ovalaire). Ce bulbe olfactif est un lieu de relais pour les axones, avec les cellules mitrales (les dendrites des cellules mitrales) dans la couche intermédiaire du bulbe. De ces cellules mitrales part l’axone, qui va aller au cerveau. Les dendrites

portion extériorisée du tissu cérébrale. Les neurones se prolongent par une longue fibre nerveuse, l’axone, qui passe par la lame criblée de l’ethmoïde, un os percé de trou. Ces axones, longs de trois ou quatre centimètres, convergent tous vers le bulbe olfactif, une extension du cerveau situé juste au dessus des fosses nasales. On le nomme parfois la rétine des odeurs, car il centralise les informations sous la forme d’image olfactive. | | |

que l'être humain utilise très peu ses facultés olfactives, en comparaison aux animaux,où l'olfaction joue un rôle prédominant. Pourtant il semble que le potentiel de transmission et de réception soit plus important qu'on ne le pense. En effet, le bulbe olfactif humain est beaucoup plus important que celui des animaux, ainsi que les connexions neurales qui sont nettement plus nombreuses. Les molécules volatiles véhiculées par l'air entrent en contact avec l'organe olfactif appelé organe voméro-nasal

enrhumés), l'odorat disparaît presque en totalité. Le bulbe olfactif est la première région du système nerveux central à traiter l'information olfactive. Il reçoit l'information olfactive en provenance de l'épithélium olfactif qui est la structure de réception des odeurs. Le bulbe olfactif effectue un traitement et un codage de l'information avant de l'envoyer vers les structures supérieures du cerveau. Les neurones principaux du bulbe olfactif sont les cellules l'envoient via leurs axones aux

différences de structures du couplage aux molécules odorantes. Il s’ensuit une cascade d’événements chimiques et électriques qui engendrent un train d’efflux : le message nerveux, cheminant le long d’un fin prolongement du neurone, l’axone, en direction du bulbe olfactif. Là, les axones se regroupent pour former des glomérules de telles sortes qu’un glomérule ne soit relié qu’à un seul type de récepteur olfactif. Ces glomérules rencontrent ensuite des neurones-relais : les cellules mitrales afin de leur communiquer

ainsi déclenchée jusqu’au centre nerveux. Ces odeurs sont captées dans la cavité nasale au niveau d’une zone muqueuse spécifique contenant des cellules spécialisées, les cellules réceptrices primaires. L’information olfactive ira ensuite jusqu’au bulbe olfactif puis vers les centres corticaux, le système limbique mémoriel et l’hypothalamus. I/LES CAVITES NASALES C’est une cavité médiane au niveau de la face, elle est séparée en deux fosses nasales par le septum nasal. Ces fosses sont étroites

sensorielles sont des neurones bipolaires dérivées du SNC. Elles ont des cils olfactifs qui détectent les odeurs. Ces cils sont couvertes d ’un mucus (cellules de Bowman) et ils ont une structure lipidique. Rappel anatomique des structures olfactives Bulbe olfactif Nerf olfactif Tractus olfactif Lame criblée de l’ethmoïde Cellules sensorielles Cellules épithéliales Molécules volatiles B B- Stimulation des cellules olfactives:  Le composé chimique doit être volatile pour atteindre la muqueuse