Bunia

Pomel, Mat. Fl. Atlant. 15 (1860), non A. Rich., Tent. Fl. Abyss. 1: 23 (1847). Brassica tournefortii Gouan, Ill. Observ. Bot. 44 (1773). Erucastrum minutiflorum Pau & Font-Quer in Font-Quer, Iter Marocc. 1927, n°230 (1928). Bunias erucago L., Sp. Pl., ed. 1, 670 (1753). Bunias erucago subsp. macroptera (Rchb.) Murb., Acta Univ. Lund. 27 (5): 166 (1891). Cakile maritima Scop., Fl. Carniol., ed. 2, 2: 35 (1772) subsp. maritima Cakile aegyptiaca Willd., Sp. Pl., ed. 4, 3: 417 (1800). Cakile latifolia

renforcement du mandant de la MONUC189 les déportations des civils restent fréquentes. La mission ARTEMIS190 opérée par une force multinationale intérimaire n’a pas pu intervenir dans la région d’Ituri, elle n’avait qu’un mandat restreint pour la ville de Bunia et son aéroport. Dans certains camps de détention, le travail forcé existe, les détenus y effectuent des travaux agricoles sous la menace des armes. « Les femmes et les plus jeunes sont retenus en état d’esclavage » rapporte une femme qui a réussi

1 République Démocratique du Congo Ministère de l'Education Nationale Enseignement Supérieur Universitaire et de la Recherche Scientifique Institut Supérieur des Techniques Médicales de Nyankunde B.P. 55 Bunia Province Orientale COURS D'ANESTHESIE – REANIMATION destiné aux étudiants de 3e graduat section Sciences Infirmières(volume horaire: 60h) PAR KIRERE MATHE, Épidémiologiste, Agrégé de l'Enseignement Secondaire Supérieur en Sciences Sanitaires et Hospitalières Année Académique 2004

province contiguë du Rwanda et de l’Ouganda, la tuerie de plus de 400 civils à Bunia, en mai 2003, a provoqué l’intervention d’une force internationale, sous commandement français. Pendant trois mois, cette « task force » devait pacifier le chef-lieu de l’Ituri, au cœur d’une région vallonnée où s’étendent des plantations de bananes, de café et de thé, des champs d’avocats et de papayes. Ce paradis terrestre abrite bien d’autre Bunia dont les noms ne figureront sans doute jamais sur une carte d’état-major

Lubumbashi-Kasomweno-Kilwa-Pweto (526 Km), Pweto-Moba-Kalemie (433 KM), Kalemie-Fizi-Uvira (435 Km), Uvira-Bukavu (148 Km), Bukavu aéroport-Goma (175 Km), Goma-Beni et Beni-Kasindi (440 Km). Le secteur routier concerne également les tronçons Beni-Komanda-Bunia (202 Km), Beni-Mambasa-Komanda-Mambasa (202 Km), Mambasa-Niania (226 Km), Niana-Bafwasende -141 Km) et Bafwasende-Kisangani (200 Km) soit un total cumulé de 3.402 Km. Outre les routes nationales, le protocole d'accord concerne également la voirie des

‘Casques bleus’ ne sont pas un instrument  adapté à ce genre de cas. C’est  pourquoi  j’ai  plaidé  contre  leur  déploiement  et  pour  le  déploiement  de  forces  multinationales  placées  sous  le  contrôle  de  nations  chefs  de  file  en  Afghanistan,  en  Côte  d’Ivoire,  à  Bunia  en  République  démocratique  du  Congo et […] au Libéria.   Une fois que la situation a été stabilisée, une mission de maintien de la  paix ‘robuste’ peut logiquement prendre la succession, à condition que des  Etats Membres disposant des moyens nécessaires acceptent de mettre leurs 

nécessaire à la conduite des opérations électorales. L’UE a à cet effet monté deux opérations militaires au Congo pour couvrir ce volet sécuritaire. Une première opération militaire, Artémis, a été montée dans l’urgence pour sécuriser la ville de Bunia, chef lieu de l’Ituri. Seconde opération militaire de l’Union Européenne en RDC, l’opération EUFOR (Forces de l’Union européenne pour la sécurisation des élections) a été déployée à la demande des Nations Unies pour la période électorale de 2006. Initialement

miliciens de l'ethnie lendu prennent le contrôle de la principale ville de la région, Bunia. Les affrontements avec leurs ennemis ancestraux de l'ethnie hema font des centaines de victimes. Le 16, les milices rivales et le pouvoir central signent un accord de cessez-le-feu. Le 30, le Conseil de sécurité de l'O.N.U. crée une force multinationale intérimaire sous commandement français chargée de sécuriser la ville de Bunia, dans l'attente du renforcement des effectifs militaires de la Monuc. Du 2 au 8 février

; R. Badinter, « Un mauvais coup institutionnel », Le Parisien, 25-6. – Chef des armées. Dans le cadre d’une force multilatérale de l’ONU dont la France assume la responsabilité, des troupes ont été dépêchées en République démocratique du Congo à Bunia (Ituri) le 30-5 (Le Monde, 1er/2-6). Préalablement, des forces spéciales C H R O N I Q U E C O N S T I T U T I O N N E L L E F R A N Ç A I S E geux… Il est bon. Il reflète sur le visage la bonté et la volonté de faire avancer la France