Burlesque

cartoon. Dans une seconde partie, il sera question de montrer que Vil Coyote est un personnage mort vivant dont le corps. Enfin, nous verrons que l'inspiration de Chuck Jones quant à la façon de traiter ses personnages découle d'une inspiration burlesque. Il faut avant tout savoir que lorsque Chuck Jones a crée la série des Bip Bip et Coyote c'était avant tout pour parodier les cartoons de poursuite très à la mode à cette époque. Il a donc pour cela grossit les traits caractéristiques de ce

de Seuillé des soldats de Piccrochole. Problématique : Nous verrons dans quelle mesure cette scène de combat burlesque est un combat symbolique contre les fausses croyances. Plan : I/ 1 à 6 : Une scène burlesque II/ 6 à 15 : Frère Jean, anti-héro III/ 15 à 27 : La critique d’une foi superstitieuse I/ Une scène burlesque Nous allons étudier dans ce premier mouvement la dimension burlesque de cette scène. En effet, l’extrait commence par une suite de phrases construites de manière parallèle qui mettent

Voltaire dénonce t-il ici la religion ? Pour répondre à cette question,nous étudierons le registre comique du récit,puis nous verrons comment ce comique aboutit à une critique du Dogme catholique. Le Burlesque Le comique intervient dès le deuxième paragraphe avec le cliché climatique burlesque qui utilise un lien cause-conséquence saugrenu.Se serait en effet l'origine bretonne du Huron et le climat frais du Canada qui auraient fortifié ces organes : «la fermeté des organes de Basse-Bretagne.

représentant du roman baroque et burlesque vient de l'italien burla = plaisanterie. Burlesque (sens large du XVIIème siècle) = sorte de comique s'opérant de 2 façons : - traiter un sujet noble dans un registre familier ou vulgaire (sens restreint du XXIème siècle) - traiter un sujet bas dans un registre noble (héroïcomique)  Rappel : il y a comique lorsqu'on rie d'un écart qui survient, entre ce qui est attendu et ce qui se passe réellement.  Baroque = burlesque ou idéaliste, précieux 

juxtaposé, sans lien véritable. La Bruyère réduit la mise en scène à une pantomime – les dialogues sont éludés et les personnages sont représentés par leurs gestes et leurs mimiques, ici ridicules. III) Un portrait ridicule : du grotesque au burlesque : La Bruyère décrit les malpropretés de Gnathon. 1.Un personnage grotesque : Le personnage devient risible par son apparence bizarre et caricaturale. Il prête à rire par ses excès et ses exagérations : - « il mange haut et avec grand bruit

qui reviendrait à peu près à rejeter ce qu’Aristote aurait dit de la télévision, chose importante à rappeler aux élèves pour la compréhension de cette bouffonnerie), cette entrée en matière extravagante fait immédiatement de Sganarelle un pédant burlesque, à l’imitation du Sganarelle médecin des pièces de Molière que nous avons citées. La thèse défendue par Sganarelle, appuyée sur cette loufoquerie argumentative, tourne donc court avant même d’avoir été prononcée. § Cette hyperbole est aussi liée

LES DEUX COQS INTRO I/ UN RECIT BIEN ORGANISE II/ UNE FABLE BURLESQUE III/ UNE MORALE EXPLICITE CONCLUSION I/ UN RECIT BIEN ORGANISE ET RYTHME à pour le récit plaisant : tt d’abord c’est un récit qui a pour but de plaire au lecteur à La fable respecte un schéma narratif précis cherchant à rendre la lecture plus agréable, qui contient : - une situation initiale décrivant les 2 personnages principaux ; le temps utilisé est l’imparfait - intervient ensuite au vers 1 un élément perturbateur

utilise largement, le ressort de la mort « pathétique », comme Albert Camus, l’utilise dans Caligula, mais d’une façon différente. « Les tragédies modernes », font de la mort de leurs personnages, tel Béranger 1er, des personnages « comiques », « burlesques »: la mort du roi, mise en scène par Ionesco est du ressort d’une « quasi-comédie ». Le dramaturge met le « ridicule » en avant: c’est le théâtre de l’absurde. Dans un premier temps, nous verrons comment la mort « pathétique » est éludée, car elle

Jarry auteur car il a compris l’intérêt de cette caricature, c’est lui qui 8 ans pus tard fait éditer cette pièce en 5 actes et en décembre 1897 la fait jouer au théâtre de l’oeuvre à Paris et écrit ensuite Ubu enchainé (1889) et Ubu cocu Parodie burlesque car on pense a Oedipe roi de Sophocle Interet de cet caricature dépasse le simple comique d’une blague de lycéens car elle chasse la psychologie et le vraisemblable qui sont 2 ecceuilles du theatre et laisse place au guignol Pierre-Aimée Touchard

Plan :Partie 1. Les Caprices de Mariannes, un œuvre romantique à aspect varié· Amour impossible· Drame romantique/ tragédie · Personnage romantique coelio / lyrisme· Ignore les régles classique Partie 2 : Railleur en tant que comique et burlesque · Le burlesque dans la pièce· Le comique Partie 3 : Railleur en tant que critiquen contre le romantismeCritque contre le romantisme · Octave exageration· ceilio· Critique contre la société· Ignore les régles classique · Autoportrait, critique de soi même/critique