Bérénice Acte 4 Scène 4 Le Monologue De Titus

se développe en jouant sur la régularité des rythmes, la force des parallélismes. 3. Le sonnet oppose la beauté des lieux longuement évoquée dans les dix premiers vers à la tristesse du poète exprimée en un vers et expliquée dans le dernier tercet. 4. Les deux derniers vers du poème surprennent en nommant ce qui fait le malheur du poète : Caliste. La longue description des beautés du château cachait donc un poème d’amour. La peine était-elle trop vive pour être dite d’emblée ? Ou le poète était-il

composantes. - études des registres et du mélange des tonalités. - une mise en scène moderne. (DVD de Dom Juan – Daniel MESGUISH) Passages étudiés : 1 - Acte I scène 1 : exposition et poétique de la rupture baroque 2 - Acte III scène 2 : la tentation du pauvre – une scène de séduction ? 3 - Acte III scène 1 : itinérance baroque et considérations sur le monde – Sganarelle : un médecin malgré lui ? 4 - Acte V scènes 5 et 6 : le dénouement – une dramatisation surprenante des vanités ou une

aux spectateurs ? Il existe en effet diverses manières de les faire apparaitre mais également de les mettre en scène dans une représentation théâtrale. Nous nous attacherons dès lors, dans une première partie, à analyser les diverses formes que peut prendre le conflit au théâtre, pour en venir, ensuite, aux multiples mises en valeur de l’affrontement que les choix de mise en scène proposent. Il n’est pas rare de trouver dans les pièces de théâtre des scènes de conflits qui soutendent l’action

La tragédie est une œuvre théâtrale dont l’origine remonte au théâtre grec antique. On l’oppose à la comédie au contraire de laquelle elle met en scène des personnages de rangs élevés et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Aristote lui assigne pour but d’inspirer « terreur et pitié ». Origine La tragédie apparaît à Athènes au Ve siècle av. J.-C.. Elle est représentée dans le cadre des fêtes de Dionysos (fin janvier et fin mars). Il veut dire le « chant du bouc ». Mais

devient reine. Bérénice Titus, fils de Vespasien, vient de monter sur le trône. Depuis cinq ans, il aime Bérénice, reine de Palestine, qui l’a suivi à Rome. Rome, d’habitude hostile à l’Orient et aux reines, garde le silence sur leur union présumable. Bérénice, naïvement, voit dans ce silence un consentement, malgré les appréhensions de sa confidente. Mais Titus sait bien que le silence de Rome est, en fait, lourdement réprobateur. Dès sa première entrée en scène, il paraît ferme et résolu

ISBN 978-2-7011-5139- 7 192 pages — 3 € le ir Andromaque Racine Édition de Stéphan Ferrari LIVRET PÉDAGOGIQUE Arrêt sur lecture 1 p. 38-42 Pour comprendre l’essentiel p. 38-39 Une exposition habile et bien menée Ce premier acte constitue un acte d’exposition. Relevez les informations qui nous sont données sur le cadre spatio-temporel et sur le contexte de la guerre de Troie. Nous sommes à la cour du roi d’Épire Pyrrhus (voir les didascalies initiales, p. 20), peu de temps après la

jours. groupement de textes (lectures analytiques d’extraits) : 1. Paul Scarron, Le Roman comique (portrait de Mme Bouvillon) 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir (portrait de Mr de Rênal) 3. Gustave Flaubert, Madame Bovary (portrait de Catherine Leroux) 4. Alain Robbe-Grillet, La Jalousie (portrait de A… ) Documents complémentaires : Alain Robbe-Grillet, extrait de Pour un nouveau roman sur le personnage Histoire des Arts : George de La Tour, « La Madeleine pénitente » p 46 du manuel de l’élève. Lecture

Séries technologiques Sujet 1. Objets d’étude : Le théâtre : texte et représentation. Convaincre, persuader et délibérer ...... Texte A. Marivaux, La Colonie, scène 13 ................................................................................................................ Texte B. Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, acte III, scène 16 ............................................................................ Sujet 2. Objet d’étude : Le biographique .....................................

les indications didascaliques) : des indications destinées au metteur en scène et/ou aux acteurs cf Mme Argante (d’un ton vif et sec) • corpus théâtral/ dramaturge / dramaturgie • Un aparté, une parole qui ne doit pas être entendue par l’interlocuteur principal que le personnage s’adresse à lui-même et qui, en réalité, s’adresse soit seulement au public, soit au public et à d’autres personnages présents sur scène => l’aparté témoigne de la spécificité de l’écriture théâtrale (écriture

princes…) ou même mythologies (tel Œdipe dans La Machine Infernale de Cocteau) à haute élévation morale représentant des valeurs. Cette exemplarité de l’action et des personnages est illustrée dans la préface de Bérénice, de Racine, pièce dans laquelle Titus est empereur romain et Bérénice est reine de Palestine. L’auteur y explique que la tragédie n’est pas nécessairement faite de sang et de mort, mais qu’ « il suffit que l’action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions