Bérénice De Molière

Voyage en grande Garabagne, « Ailleurs » Diderot, Salon de 1765 ; Jacques le fataliste ; le Paradoxe sur le comédien. Nerval, Sylvie ; Les Chimères, « Vers dorés ». Rousseau, Confessions. Beaumarchais, le Barbier de Séville ; la Mère coupable. Molière, Dom Juan ; Eluard, Capitale de la douleur (« les Gertrude Hoffmann girls ») ; Corps mémorable (« Je t’ai imaginée ») Baudelaire, les Fleurs du mal, « le Serpent qui danse », « les Métamorphoses du vampire », « Bohémiens en voyage », « Sed non satiata

domaines de compétences suivants : - structure / progression logique - analyse/réflexion - expression/communication N’oubliez pas d’envoyer la notice individuelle si vous ne l’avez pas jointe avec le 1er devoir. ■ 4. Type humain modèle idéal. Molière, dans ses comédies, s’est inspiré de différents types humains comme l’avare, le malade imaginaire ou le faux dévot. Devoir 02-FR20-10 31 evoir 03 à envoyer à la correction Attention > Collez l’étiquette codée FR20 – DEVOIR 03 sur

Véritables scènes de combats : cf Phèdre qui entraîne à la mort Hippolyte puis elle-même. • Le drame, le conflit est ainsi le moteur de l’action. Cf. le conflit intérieur à Phèdre (elle aime son beau-fils), celui de Titus qui ne peut se marier avec Bérénice ou celui d’Arnolphe qui veut épouser Agnès. C. Le combat de deux idéologies 2. DISSERTATION (Sujet et corrigé adaptés et complétés à partir des propositions d'un collègue) Sujet : Dans un ouvrage général sur le théâtre de Jean Duvignaud et

éloignés des adolescents d'aujourd'hui. Cependant, ces différences sont-elles si importantes ?   I- Des personnages bien loin de nous                        A- Modes de vie différents • Les héros de tragédie sont des rois, des demi-dieux. Cf. Bérénice, Néron, Titus, Phèdre, Hyppolite... vs le lecteur ou spectateur ou alors valets, paysans. • Soumis à des passions, des sentiments extrêmes, exacerbés (parfois, pas loin de la folie) et aucune véritable occupation autre que leurs passions (les femmes

traits de l'occupant espagnol. B) Molière : Le XVIIe siècle est donc une période faste pour la bourgeoisie française qui s’enrichit considérablement. La bourgeoisie du commerce est la plus dynamique et Colbert la soutient d’autant plus qu’elle donne un essor important à la nation. Afin de promouvoir ces nouveaux hommes d’affaires, il crée de nombreuses institutions ainsi que des compagnies commerciales dont la Compagnie des Indes est la plus célèbre. Molière est lui-même un bourgeois et se moque

injouable " : Victor Hugo (Cromwell : plus de 60 personnages, sans compter les foules, 74 scènes, 6 000 vers). c) Le théâtre de Racine n'est pas très théâtral. C'est le point de vue du scénographe Gilles Aillaud qui a participé à la mise en scène de Bérénice par Klaus Michael Grüber (Comédie Française,1984). Pour cet artiste, la pièce de Racine est plus un poème élégiaque qu'une véritable œuvre théâtrale. Le mettre en scène est presque aussi absurde qu'une transposition scénique d'un poème de Baudelaire

comme chaque semaine, je suis allé voir Bérénice d’Arthez qui est, comme la qualifient certains, ma courtisane, et je n’ai pas pu m’empêcher de lui demander ce qu’elle en pensait. Celle-ci m’a tout d’abord expliqué que Paris était de loin la capitale de la prostitution en Europe. Cela m’a énormément surpris : comment la capitale d’un état aussi contrôlé que le nôtre où presse et littérature sont quasiment muselées pouvait-elle être celle de prostitution ? Bérénice, contrairement à moi, ne voit là rien

(spectacle sanglants, batailles, duels et meurtres sont évoqués par des récits). C'est qu'on appelle la bienséance externe. 7°) Buts. La tragédie a une visée esthétique : « la principale règle est de plaire et de toucher. ». (Racine, préface de Bérénice). La tragédie a une visée morale : toucher et instruire (par la terreur et la pitié, ou l'admiration chez Corneille) : en s'identifiant au personnage, en éprouvant à travers lui des passions mauvaises, le spectateur parvient à maîtriser ces passions

Mon histoire littéraire de seconde Auteurs 17eme → Pierre corneille ( 1606-1699 ) Classicisme → Jean De La Fontaine ( 1621-1695 ) Classicisme → Molière ( 1622-1673 ) Classicisme → Jean Racine ( 1639 – 1673 ) Classicisme → Jean De La Bruyère ( 1645 -1696 ) Classicisme 18eme → Montesquieu ( 1689 – 1755 ) Siècle des Lumières → Voltaire ( 1694 – 1778 ) Siècle des Lumières → Louis De Jaucourt ( 1704 – 1779 ) Siècle des Lumières → Jean-Jacques Rousseau

Ode sur la convalescence du roi qui lui fait obtenir l'année suivante une pension qu'il conservera jusqu'à sa mort. Racine réussit à faire accepter par Molière sa tragédie La Thébaïde ou Les Frères ennemis (1664). L'année suivante, Alexandre le Grand connaît une meilleure fortune qui encourage sans doute le poète à enlever sa tragédie à Molière pour la confier aux « grands comédiens ». En rappelant la condamnation traditionnelle du théâtre par l'Église et le peu d'estime pour les auteurs dramatiques