Bérénice Et Titus

de l’Amour et du Hasard de Marivaux * Les Fourberies de Scapin de Molière * Les Caprices de Marianne de Musset * Le Malade Imaginaire de Molière * Hernani de Victor Hugo * Candide de Voltaire * Bel Ami de Maupassant * Bérénice de Racine * Zadig de Voltaire ( 1877 ) L’assommoir, Emile Zola : un roman naturaliste Résumé : L'Assommoir raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, blanchisseuse dans le quartier de la Goutte-d'Or à Paris. Gervaise et

division en actes proprement dite est inconnue de la tragédie grecque, celle qui s'impose à la Renaissance consiste en trois actes, étendus à cinq au siècle suivant : * le deuxième voit apparaître l’élément perturbateur (rupture entre Titus et Bérénice dans Bérénice) *dans le troisième acte, les protagonistes cherchent une solution au drame, tout paraît encore possible *dans le quatrième acte, l’action se noue définitivement, chez Racine du moins, les personnages n’ont plus aucune chance d’échapper

la femme Thésée qui aime le fils de Thésée. Phèdre n'est ni toute bonne ni toute méchante elle nous inspire de la pitié et quand hypolite le fils de Thésée meurt c'est la terreur qui prend le pas .ou comme dans Bérénice de Corneille titus est déchiré entre la passion qui a pour berénice reine de Palestine et la place d'empereur de Rome le conflit entre le destin et la passion. Grace aussi a la politique au théâtre,le théâtre permet par le divertissement de se moquer et critiquer le pouvoir en place

passion qu'elle éprouve elle sera « insulté » par son peuple parce qu'elle sera infidèle. Il y a aussi l'anéantissement des personnages, c'est quand deux héros se sépare lorsqu'ils sont tout deux en vie. Dans Bérénice, il n'y a pas de mort, les deux personnages sont Bérénice et Titus tout deux très passionnés à l'un à l'autre mais doivent comme même renoncer. La séparation final est tellement triste qu'elle provoque de la pitié chez les spectateurs. La preuve qu'il n'y a pas besoins de sang dans

 Plan de dissertation sur Bérénice; Chez Racine, "le drame politique, affaibli", est devenu un simple "ornement plus ou moins important" (Paul Bénichou) ____________________ Intro: Chez Corneille, la politique constituait le fondement de l'action tragique (ex: Horace, Cinna). Chez R. au contraire, il semble que ce soit l'amour qui soit devenu le thème de la tragédie. C'est pourquoi Paul Bénichou,dans Morales du Grand Siècle, s'interrogeant sur l'importance de la politique dans les oeuvres

Pyrrhus, Oreste sombre alors dans la folie, Andromaque devient reine. Bérénice Titus, fils de Vespasien, vient de monter sur le trône. Depuis cinq ans, il aime Bérénice, reine de Palestine, qui l’a suivi à Rome. Rome, d’habitude hostile à l’Orient et aux reines, garde le silence sur leur union présumable. Bérénice, naïvement, voit dans ce silence un consentement, malgré les appréhensions de sa confidente. Mais Titus sait bien que le silence de Rome est, en fait, lourdement réprobateur. Dès

Vision du dilemme amoureux chez Shakespeare (Roméo et Juliette)/Corneille (Le Cid)/Racine (Titus et Bérénice). Message toujours valable 400 ans après. Antithèse entre l'intemporalité du message, "pétrification par le texte" (Artaud) et l'éphémère de la vie. Vie infiniment plus complexe et spécifique à chaque humain, alors que chaque personnage est un stéréotype encore et encore employé par les auteurs (Titus=Roméo, déchiré entre amour et raison) III] Le théâtre, spectacle de la vie > Le théâtre

membres de la troupe à quels moments ils doivent avoir recours à ces jeux de scène particuliers. Par exemple, lors de l'adaptation de Bérénice, de Racine, par le metteur en scène Gwenaël Morin, le comédien qui interprète Titus use de ces jeux visuels. En effet, à la scène 6 de l'acte V, Titus prononce une tirade dans laquelle il reconnaît ses sentiments pour Bérénice, et son souhait de mourir. Dans une scène d'amour comme celle-ci, le jeu de regard entre les deux personnages est essentiel. Ici, Gwenaël

l’action – introduit du récit (volonté didactique) Victor Hugo, Ruy Blas, 1838, (extrait 2) (page 158) Le monologue – Personnage face à lui-même ou confidences au public (registre lyrique) Jean Racine, Bérénice, 1670 (page 282) Monologue délibératif – Titus doit apprendre à Bérénice qu’il la quitte (Voir aussi les stances du Cid – Corneille) Les textes suivants constituent quant à eux un corpus d’idées et de citations à étudier et à relever pour traiter la seconde partie de votre

force de menace pour Iphicrate, dont on comprend alors le geste désespéré. La vois rend également particulièrement sensible le rythme des vers. Racine, par exemple, dans le monologue de Titus (Bérénice, IV, 4), exploite la richesse de l’alexandrin, dont le rythme binaire dit l’hésitation de Titus entre Rome et Bérénice (« Qu’ai-je fait pour l’honneur ? j’ai fait pour l’amour »). Mais ce vers peut se dire de plusieurs façons : le comédien peut choisir de prononcer la seconde partie du vers avec énervement