Ça m'énerve

les moyens de voyager ou quelqu'un qui s'amuse à voler notre traîneau? Ou est-ce quelqu'un que je connais? Il n'arrivait plus à se le sortir de la tête. Puis, les lutins, qu'il avait complètement oublié à cause de ses mots de tête, lui dirent : "- Ca va Bernard? - Oui oui je vais bien! Ne vous inquiétez pas!" Ils reprirent la route. Les lutins voyaient que Bernard était stressé à cause du traîneau. Mais aussi, ils comprenaient un peu. Ils auraient surement fait la même chose à sa place…. stressé

tête du bébé appuyer sur mon col, au même moment la poche des eaux dégouline chaudement entre mes jambes. Je me fige, incrédule et soulagée à la fois. Matiss me regarde bizarrement- je me lève en disant timidement "je crois que je perds les eaux!" -"ça veut dire quoi maman ?"- "que je dois partir à la clinique, bébé a décidé de nous rencontrer". En répondant cela, mes larmes coulent, de joie de connaître enfin une naissance naturelle, d'angoisse de planter mon fils avec ses dés et sa partie de chevaux

n'a plus envie de s'amuser avec toi, de te dire de fausses belles promesses, il s'est lassé, tu comprends? Tu peux rien contre ça, tu peux rien contre le temps qui passe. Alors pars, vas t’en, vas vivre ta vie. Tu es jeune, pourquoi tu restes accrochée à lui ? C'est fini, le cinéma est terminé. Tu n'avais pas d'importance à ses yeux. Crois-moi, c'est vrai, je te dis pas ça pour que tu l'oublies, je veux juste te faire comprendre que toute cette histoire tu l'as mal interprétée. Il s'en est rendu compte

de votre sujet. A ce moment-là, une citation est souhaitable, mais cela peut aussi être une question qui ouvre sur une réflexion. Attention : ne faites pas d’ouverture suspens du genre « On peut ainsi se demander ce qu’il va se passer ensuite »… ça m’énerve ! ( ----------------------- §2 §1 § 3

école secondaire, puis j’ai était diplômer à Henri Bourassa. La première année que j’ai passer la bas était une année sérieusement difficile pour moi ,car je devais avoir beaucoup d’amis et de me faire accepter par les autres . On n’arrêtait pas de m’énerver, on me parlait sur mon dos etc. Après, grâce à mon grand cousin , je me suis fait des amis plus grand que moi , ce qui ma aider a me faire accueillir par plusieurs personne , car au secondaire les plus grand était respecter . Ensuite, je devais m’adapter

facher . Ils ont tous été très sages , quelques uns un peu plus difficiles mais je n’ai pas eu de caractériels où j’ai du vraiment m’énerver . Juste une fois j’ai du me facher car l’élève était vraiment infernal  * Oui , c’est vrai . Toute la classe s’entendait super bien . Jamais de disputes ,sauf quand l’un voulait un jouet qu’un autre avait déjà . Mais bon ,ca reste des enfants et vraiment ils sont très familiers entre eux * Cela dépend des enfants . Certains allaient aux toilettes tout

s'énerver. Autour de moi, les conversations s'étaient tues. Le docteur Bailey et moi étions le point de mire de la salle. Une rumeur réprobatrice s'éleva. Visiblement, parler comme ça à son supérieur n'était pas permis. Dr. Bailey reprit : Maintenant, tu vas sortir d'ici si tu ne veux pas que je m'énerve. Je filai vers la sortie la plus proche et atteris dans les escaliers quelque part entre le second et troisième étage. Je n'en pouvais plus, j'étais vidée de toute émotion. Aussi, comme

On peut dire que j'essayais de me préparer psychologiquement à des changements qui pourraient survenir bientôt dans nos vies... Zangdar : Je ne comprends rien à ton charabia ! Et puis au cas où tu ne l'aurais pas vu, les changements sont déjà là ! Ça fait quatre jours qu'on marche en territoire hostile, nos vêtements sont complètement déchirés ! On a déjà rencontré un kraken d'eau douce, un ours mutant électrique et trois meutes de loups noirs ! Reivax : C'est vrai, c'est vrai... Heureusement que

m'aider à finir le ménage; faut que je replace les pan neaux de la cache, maintenant. MOINEAU — J'y vais Tit-Noir, j'y vais. (Il remet lentement sa musique à bouche dans sa poche de veston et se dirige tranquillement vers le hangar:) TIT-NOIR — Fais ça vite: le chef doit ren trer bientôt. (Il disparait à l'intérieur tandis que Moineau, près du seuil de la porte, constate:) MOINEAU — C'est vrai, le soleil baisse; y a dû traverser à l'heure qu'il est. Il entre lui aussi dans le hangar. Pendant les quelques

argent ! *, Oh d'accord et bien au plaisir, j'y vais ce ne serait pas très ingénieux de louper mon train le jour de la rentrée répondit-elle néanmoins. - Oh oui, en effet et moi qui vous retenez ! Je vais vous accompagner si vous voulez. - Oh non, ça va je devrais apercevoir mes amis bientôt. - Oh mais j'insiste on en sait jamais. - *Ouais ben arrête d'insister parce-que le mur tu vas pas pouvoir y passer mais ton nez lui, il va pa le louper!*, Ah les voilas justement eh bien a une prochaine fois