Ça m'énerve

LES VIOLENCES DANS LE SPORT DE COMPÉTITIONTravail personnel Gymnase de Marcelin, 3CAVCI4, 2021-2022Maître spécialiste : Mme. Fabienne TaricLaura Abetel & Sofiane Ben SalemLaura Abetel & Sofiane Ben Salem 1Laura Abetel & Sofiane Ben Salem Résumé  Dans ce travail nous avons traité le thème de “la violence dans les sports de compétition”. Plus précisément sur le sujet des violences psychologiques, verbales et physiques, d’un entraîneur envers son athlète. Nous avons commencé par

permis que tu les garde après les avoir fait photocopier, pour que tu voies tes progrès. Tu avances à grands pas, Charlie " Ça m'a réconforté. Après la leçon je suis descendu jouer avec Algernon. Nous ne faisons plus la course. 10 avril. — Je me sens tout malade à l'intérieur. Pas malade à appeler te docteur, mais dans ma poitrine ça sonne creux comme un tambour et ça me brûle en même temps. Je ne voulais pas en parler, mais je crois qu'il le faut, parce que c'est important. Aujourd'hui c'est

gentille Là, sous la charmille L'amour nous attend Les tables sont prêtes L'aubergiste honnête Y a des chansonnettes Et y a du vin blanc. A ces jeux charmants La taille souvent Prend de l'avantage Ça n'est pas méchant Ça finit tout le temps Par un mariage Le gros de l'affaire C'est lorsque la mère Demande, sévère A la jeune enfant Ma fille raconte Comment, triste honte As-tu fait ton compte? Réponds, je t'attends...

Partie 1 Ce sont les vacances! J'attendais ca avec tellement d'impatience! J'avais prévu avec les jumelles d'aller quelque part puisqu'on allait ni Mali ni au Senegal cet été. Je suis très proches des filles meme si souvent elles font des trucs sans me dire ou en le cachant. Je me rappelle a quel point j'en voulais a ma mère de ne m'avoir pas donner de soeur jumelle mais je n'etais qu'une petite fille en ce moment la, je ne pouvais savoir que ca se planifiait pas. Je me sentais encore plus

avec des adultes : c’est le même personnage, dans un environnement et avec des interlocuteurs chaque fois différents, qui prononce les phrases. 1re légende : Je ne peux pas voir cette fille. 2e légende : Je trouve ça affreux, mais la jupe n’est pas si mal. 3e légende : J’ai trouvé ça intéressant ; j’aime bien les films d’aventure. 4e légende : Cette mousse au chocolat est un délice ! Réfléchissons 1. Quels sentiments exprime chaque phrase  ? 2. Ces phrases sont-elles prononcées par des personnes

manquer de contacts sociaux entraînerait un sentiment douloureux, une frustration. C’est ce que Mme E nous a précisé à plusieurs reprises : « C’est ça, on est seul. On a personne à qui parler. C’est pas marrant, vous savez…J’ai passé ma vie dans le commerce. Alors, ça me…Je suis…Beaucoup gênée de ça, de ne pas parler, de ne pas avoir de contacts. Ça, ça me manque. » C’est une situation insatisfaisante quant à la qualité des contacts. Cela ne veut pas dire que la personne est seule physiquement. Le

malheureux de voir des enfants comme ça ! Il a fallu la vacciner, tout lui apprendre, mais maintenant qu'elle est apprivoisée, c'est elle la vraie maîtresse de maison. Elle apprend vite... N'est-ce pas Myriama ? Tu veux bien apporter le plateau ?"       "Personne n'a vu le petit lézard, juste au-dessus de leur tête, à l'envers sur le plafond. Qu'est-ce qu'il fait là ? Il s'est perdu sûrement... il n'aurait jamais dû entrer ici. C'est pas sa place... Les lézards ça doit rester au soleil, dans la chaleur

la liste suivante : ébruiter, rapporter, réitérer, ressasser, rabâcher, radoter. 1) Si votre ordinateur ne démarre pas, éteignez-le et répétez l’opération. 2) Elle vieillit et passe sa journée à répéter ce qu’elle a déjà dit. 3) Ma mère m’énerve : elle me répète sans arrêt les mêmes conseils. 4) Camille a fait de moi un grand éloge à Sylvie qui me l’a répété. 5) Son histoire de cambriolage l’a vraiment marquée : elle ne cesse de la répéter. 6) Théodore a répété ce qui lui avait

TOI… … Je t’aime …..toi toi …. … …. Anaïs…. Mon bébé... «Voir le réel, vouloir vivre l'irréel.» Chapitre 1 Plus rien n’a de sens. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis la. Mais ça n'a aucune importance car je suis avec elle. Elle chante, elle me parle, parcours les contours de mon visage. J’aimerais la prendre dans mes bras, la rassurée de ses craintes, la protéger de tous cela. Mais c’est elle qui prend soin de moi, qui me protège

de soins… C’est vrai, il m’énervait à tourner en rond… (rires nerveux)… Je l’avais baptisé Fonfon… Ce n’est pas gentil pour mon mari… J’hésite à vous dire pourquoi… (silence)... Parce que près de chez moi, il y a un restaurant qui s’appelle comme ça, j’y avais dîné il y a longtemps avec mon amoureux de l’époque, Rémi… Il était vendeur dans un magasin d’ameublement : « Le vieux noyer »… La scansion revêt ici une double fonction : d’une part, l’arbre bien sûr mais qui, selon cette ambivalence