Ça m'énerve

Soudainement j'eus l'impression de voler. Je volais. Mon poids avait disparu.Était-ce ça la mort : la libération du corps avant celui de l'esprit ?Quelque chose me fis dire que je me trompais. J'avançais.La femme à la jeune voix me portait.Courrais même. Je sentais le vent me fouetter le visage.L'odeur des pins remplaça celui de l'iode. Le vent me fouetta le visage de plus en plus fort.Où espérait-elle courir comme ça ?Il était trop tard pour moi de toute façon.Nous traversions les bois à une vitesse

c’est important quand même. Ca met de l’ambiance aux après midi shopping. Ca motive et ca donne de l’énergie pour tenir tout l’après midi. 69 Marie Caroline : Quand j’étais plus jeune, c’était pareil pour moi. Mais maintenant j’ai moins de temps, je vise les magasins où je vais et j’achète ce dont j’ai besoin. J’entends la musique, ça participe à l’ambiance du magasin mais je n’y fais pas particulièrement attention. J’aime quand la musique est présente mais discrète. Ca fait comme si tout était

-Prologue- [ FLASH-BACK ] - Pourquoi ils sont comme ça tes parents ? - La bonne question est pourquoi ils sont pas comme les parents normaux ? - Oui, c'est vrai ça. Dis-moi Hâyat, ils ont quoi tes parents ? - Pourquoi vous parlez de ces parents, ils ont quoi ? - Son père il a les yeux bizarre et sa mère elle a une tâche sur la joue. - Hâyat tu veux te marier un jour ? - Pourquoi tu lui poses la question, qui oserai aller voir des parents comme les siens ? [ FIN DU FLASH-BACK

même s’ils ne sont pas tous heureux ; chaque objet, chaque meuble est le support d’un investissement psychologique. Ainsi Mme C. confie : « La vente de la maison a été douloureuse mais la famille a gardé tous les meubles, ils restent donc parmi nous, ça m’a fait plaisir. » Le résident vient en établissement pour y occuper un nouveau « chez soi ». Il quitte ainsi un domicile auquel il associe une grande partie de son histoire personnelle. Partir, c’est tirer un trait sur le passé pour se tourner

entourage allait enfin cesser de se moquer d’elle. On lui expliqua les principes de l’émission. Les responsables lui demandèrent si cela la choquait. — Non. C’est fort, répondit-elle. Pensif, le chasseur de têtes lui dit que c’était exactement ça. — C’est ce que veulent les gens, ajouta-t-il. Le chiqué, le mièvre, c’est fini. Elle satisfit à d’autres tests où elle prouva qu’elle était capable de frapper des inconnus, de hurler des insultes gratuites, d’imposer son autorité, de ne pas se

fille ambitieuse, volontaire, réservée. Elle contrôle sa vie. Son petit ami Noah est le gendre idéal. Celui que sa mère adore, celui qui ne fera pas de vagues. Son avenir est tout tracé : de belles études, un bon job à la clé, un mariage heureux… Mais ça, c’était avant qu’il ne la bouscule dans le dortoir. Lui, c’est Hardin, bad boy, sexy, tatoué, piercé, avec un « p… d’accent anglais ! » Il est grossier, provocateur et cruel, bref, il est le type le plus détestable que Tessa ait jamais

par beaucoup d’adultes comme un événement ingérable et un peu insensé : c’est un corps tiraillé entre l’enfance et l’âge adulte qui porte un autre enfant. C’est un jeune jugé comme incompétent ou immature qu’on pointe du doigt, c’est une aberration et ça ne devrait pas exister. Au-delà du scandale que provoque la grossesse précoce, il faut s’interroger et réfléchir à notre responsabilité d’adulte : pourquoi cette situation ? Car plus que tout autre chose, la grossesse précoce est la part visible du

en attrapant un pantalon ainsi qu'une chemise légère, Emma va m'attendre ! » J'ouvris brusquement la porte de ma chambre et courais vers la cuisine. « Bonjour darling, comment tu vas ? Me demanda ma mère en me préparant mon petit déjeuner. - Ça va, mais je dois rejoindre Emma à la place de la Concorde à 11h ! J'ai plus qu'une demi-heure, et j'ai encore plein de choses à faire, dis je en soupirant. - Appelle Emma, elle a l'habitude de tes retards. - Et oui ! Répondis-je en rigolant. »

se montrer fortes et défendre leurs droits, et voyez un peu ce que j’ai fait ! Je devrais être le sujet d’un article-témoignage dans un magazine pour ados. « J’ai construit toute ma vie autour d’un garçon ! Et maintenant je le regrette ! » Bien sûr, ça n’a pas le poids émotionnel de certaines autres histoires, comme « J’ai attrapé une MST sans coucher », mais c’est tout de même important. — Tout va bien se passer, dit ma mère en remuant son café, debout devant l’évier. Ta réaction est ridicule. —

entourage allait enfin cesser de se moquer d’elle. On lui expliqua les principes de l’émission. Les responsables lui demandèrent si cela la choquait. — Non. C’est fort, répondit-elle. Pensif, le chasseur de têtes lui dit que c’était exactement ça. — C’est ce que veulent les gens, ajouta-t-il. Le chiqué, le mièvre, c’est fini. Elle satisfit à d’autres tests où elle prouva qu’elle était capable de frapper des inconnus, de hurler des insultes gratuites, d’imposer son autorité