Cadavre exquis

extrait du chapitre 13 et se situe dans une morgue où Laurent va régulièrement à la recherche du cadavre deCamille afin de pouvoir être sûr que la mort de ce dernier est officielle. Un jour il se retrouve face à face avec le mort et l’on peut réellement parler d’un « duel » entre la victime et son bourreau, un duel qui tournequelque fois au spectacle puisque Laurent semble totalement fasciné par la vue du cadavre. Qu'est ce que emile zola a voulu nous montrer par ce passage descriptif En premiere patie

Alain-Fournier Le Grand Meaulnes « Me voici … tant aimée… » La mort d'Yvonne : la fin de la grande aventure, mais pas la fin du rêve L’extrait représente le scène de désolation dans le domaine d’Yvonne de Galais que précède la morte de cette femme. Récité par le narrateur, l’extrait montre que le protagoniste, même ayant déjà commence la vie adulte, garde ses impressions naïves d’adolescence (le rêve). I. La fin de l’aventure a. De-romanisation de la mort Le premier passage introduit une

trouvé le cadavre. => acte de décès. Il n’est pas nécessaires que la constations médical est eu lieu, certif médicale est nécessaire pour que l’officier d’état civil donne autorisation d’inhumer. La mort transforme la personne en chose, néanmoins, art 16- du CC précise que le respect du corps humains ne cesse pas avec la mort => impose le respect de la dépouille mortelle => donne souvent lieu à des décisions de la jurisprudence (ex : interdiction de présentation « artistique » de cadavre humain)

L’âme comme une chose inséparable du corps vivant, alors elle est l’énergie du corps l essence qui anime le corps .sans âme, le corps est un cadavre sans vie qui ne peut ni grandir ni sentir. Donc qu’est-ce que une âme ? Aristote définit l’âme comme si elle est la forme du corps, c’est elle qui l’anime. Sans âme, le corps est un cadavre qui retourne à la matière. Aristote distingue trois parties de l’âme : Premièrement, il y a l âme végétatif que les humains partagent

camps deconcentration qui torturent les prisonniers en les affamant, les séparant de leur famille, les dépouillant de leurs biens, de leurs noms, de leur dignité, en les réduisant a l’esclavage, en les faisanttuer leur semblables et enterrer leurs cadavre

premières planches, en haut à gauche, une photographie représente un portrait du soldat. A droite de ce portrait, des extraits de la lettre, dans des bulles blanches, décrivent l’horreur de la guerre, avec sa campagne dévastée, l’enchevêtrement de cadavres d’hommes et de chevaux, qui ne sont rien, selon le Poilu, comparés à la « ruine des choses », « le saccage des chaumières », et « le pillage des maisons… ». Au fil des pages, le portrait du Poilu est de plus en plus incliné vers la gauche, comme

-couleur des maisons -souplesse du pavé -fleurs qui poussent sur le pavé On peut observer que la nature change. P169 : le mot « cadavre » fait penser à la mort. Par conséquent, le champ-lexical de la mort peut faire imaginer un avenir tragique… (la mort de Chloé !). Après l’appel au téléphone de Chloé à Colin à la patinoire, l’atmosphère change : « les parois de la cabine se resserraient »

description du meurtre, Maupassant n'hésite pas à faire une description très réaliste des deux cadavres. On peut dire qu'il ne «mâche pas ses mots et nous fait voir la mort de la façon la plus réaliste possible». Il y a une énumération de mots, ce qui montre l'insistance sur l'apparence des deux corps sans vie. Maupassant nous dit que les cadavres étaient «meurtris, broyés, saignants». On nous apprend que le cadavre de Julien avait «le front ouvert et toute la face écrasée». Quant à Gilberte, son sort n'en

corps d’Œdipe et du visage du Sphinx, mais aussi avec l’expression de douceur, de langueur et presque d’amour des visages. Les personnages expriment de la douceur dans une ambiance générale sombre. En bas du tableau, on remarque les pieds d’un cadavre humain ; ils évoquent les voyageurs qui ont péris parce qu’ils n’ont pas su résoudre l’énigme. La composition de ce tableau est faite de lignes de force qui structurent l’espace. Il y a deux lignes de force dans ce tableau : 1) le regard entre

bras de Le Bret et de Ragueneau ». Chacun d’eux périssant alors qu’ils sont amoureux, deux l’exprimant clairement, Ruy Blas meurt en avouant à la Reine son amour « Cet amour m’a perdu ; je vous ai bien aimée ». Juliette boit la poison restant sur le cadavre de son amour et utilise le poignard sur elle-même «Elle l’embrasse » et le troisième, Cyrano qui n’exprime pas directement son amour dans cet extrait mais qui l’avoue dans le reste de la pièce et qui finit dans les bras de Roxane, la femme qu’il aime