Cadre Spatio Temporel Les Femmes Savantes

Loujine, déboussolé par la rupture avec Dounia : L’essentiel était que, jusqu’à la toute dernière minute, il ne s’attendait pas du tout à ce dénouement-là. Il avait fanfaronné jusqu’à l’extrême limite, sans envisager même l’éventualité que deux femmes, sans défense, dans la misère, puissent d’une façon ou d’une autre, échapper à son emprise. Cette conviction était entretenue par la vanité et ce degré d’assurance qu’il vaut mieux appeler l’amour de soi. Piotr Petrovitch, sorti du néant, s’était

humaines des influences de la culture d’appartenance, des habitudes sociales et des normes culturelles ambiantes. CADRE DE RÉFÉRENCE : Contexte personnel.(connaissances, valeurs, motivations, opinions, âge, expériences, statut et rôle, responsabilités, ....). Le cadre de référence est implicite; nous n’avons pas conscience de faire constamment confiance à cet arrière plan personnel. Ce cadre de référence évolue tout au long de notre vie. CAPITAL SYMBOLIQUE : Défini par Pierre Bourdieu comme relevant

o Faire un plan en trois parties montre une aptitude à penser de manière logique et équilibrée. Cela dit, il n’est pas obligatoire de faire un plan en trois parties : vous pouvez très bien vous contenter de deux parties (par exemple dans le cadre d’un sujet de dissertation comparatif) ou proposer quatre parties... ▪ Le plan dialectique (ou critique) ▪ C’est le fameux plan « thèse, antithèse et synthèse ». Il est couramment utilisé lorsque l’opinion exprimée

énonciative et familier des littératures anglophones, le choix d’un sujet de thèse centré sur l’œuvre d’un illustre auteur français classique peut susciter un certain étonnement. Pourtant, à aucun moment de ce travail il ne nous a semblé sortir du cadre de notre terrain d’étude, ni de la problématique générale qui occupe les enseignants de langue autant que les linguistes : mieux délimiter et envisager, par une constante expérimentation d’un contraste entre deux ou davantage d’idiomes, ces visions

pollueurs ? » (Allons au bout de l’idée d’écologie.) « Que se passerait-il si… les humains se reproduisaient comme des fleurs ? » « Que se passerait-il si on obligeait les gens à oublier le passé ? » « Que se passerait-il s’il n’y avait plus que des femmes sur Terre ? » Dans ce recueil j’ai mélangé des vues sur les « futurs possibles » de l’humanité, et des événements de ma propre vie : les « passés probables ». J’ai rédigé ces derniers pour ne pas les oublier. Car plus je regarde le futur, plus

est pourvu d'une certaine force de caractère et d'une certaine personnalité souvent complexe qui ont parfois été comparées avec celles des personnages de Charles Dickens. Hergé a utilisé les seconds rôles pour créer un univers réaliste servant de cadre aux aventures de ses personnages. Pour plus de réalisme et de cohérence, ces personnages réapparaissaient tout au long de la série d'albums. On a prétendu que l'occupation de la Belgique et les limites imposées à Hergé l'avaient obligé à se focaliser

c) Lucie présente la vie des résistants comme une attente permanente : celle de tous les hommes et femmes de l’époque pour manger et circuler, mais aussi celle de l’action clandestine propre à sa vie de résistante. 4- Bilan Dans son journal intime, Lucie Aubrac témoigne en tant que membre de la Résistance. De ce fait, elle donne accès à un monde clandestin. Elle témoigne aussi de la place des femmes dans la Résistance. Le journal intime de Lucie Aubrac est un témoignage historique. B – RÉÉCRITURE

158 159 VI. CONCLUSION GENERALE……………………………………………… 161 1. Les puissances chtoniennes……………………………………………….. 162 2. La notion du métissage……………………………………………………. 165 3. La symbolique de la rivière…………………………………………………166 4. La subversion du décor spatio-temporel…………………………………… 166 5. Le lyrisme………………………………………………………………….. 167 6. Le choc entre l’oral et l’écrit………………………………………………..168 7. La généalogie………………………………………………………………..169 8. L’obsolescence du père……………………………………………………...169 9. La légitimité…………………………………………………………………

21 « Épopées dites « de forêt », elles proviennent de sociétés structurées en clans, lignages, et chefferies […]. Le seul point commun extratextuel de ces récits, n’est-il pas cette structure sociale où la famille étendue prédomine et sert de cadre de référence ? On a parlé, à propos de ces peuples, de sociétés « communautaires » ou « communaucratiques », ou encore de « communisme primitif ». Car les pouvoirs du chef y sont fortement contrôlés par d’autres groupes (notables, prêtres, sociétés

Le besoin par ailleurs renvoie à la vie du corps (manger, dormir, se désaltérer) En ce sens il est d’ordre physiologique. Le désir bien qu’il renvoie à la vie du corps (le désir sexuel), excède cette dimension physiologique pour s’inscrire dans le cadre spirituel. Désirer est en effet solliciter son âme, sa conscience. Ce qui désire en nous n’est point le corps uniquement, mais aussi l’âme. Et la philosophie a pris le soin de distinguer les désirs physiques (ex : la sexualité) des désirs spirituels