Caisse primaire d'assurance maladie

aux conséquences financières des "risques sociaux". Il s’agit de situations susceptibles de compromettre la sécurité économique de l’individu ou de sa famille, en provoquant une baisse de ses ressources ou une hausse de ses dépenses : vieillesse, maladie, invalidité, chômage, maternité, charges de famille, etc. www.vie-publique.fr (07/06/2012) 2. Les droits sociaux et leur origine Définition : Le droit social est l’ensemble des normes qui régissent le droit du travail, le droit de la sécurité sociale

semaines de stage en fin d'année (de mai à juillet). * Deuxième année : 7 semaines au milieu de la deuxième année (de janvier à février). Un des deux stages doit obligatoirement être réalisé en protection sociale (Caisses d'Allocations Familiales, Caisses Primaires d'Assurance Maladie, Centre Communal d'Action Sociale, Pôle Emploi, les mutuelles non privées, Maison Départementale des Personnes Handicapées…). Et le second stage est réalisé dans le secteur sanitaire et social (CLIC, services d'aide

situation financière initiale et d’autre part la prothèse demande plus de temps en matière de fabrication ainsi que les procédures de remboursement qui sont complexes et qui nécessite un délai de 120 jours pour être rembourser par la caisse primaire d’assurance maladie sans oublier la présence de plusieurs facteurs qui interviennent dans la réalisation de la prothèse : le temps de deuil du membre imputé, le temps de l’acceptation de la prothèse, le temps d’essayage sur le client (patient) ce qui va

Ces prestations sociales peuvent être classées en cinq catégories (entre parenthèses, les organismes payeurs) : - les prestations familiales (les Caisses d'allocations familiales) - les pensions de retraite (les Caisses de retraite) - les remboursements de médicaments et les indemnités journalières (les Caisses primaires d'assurance maladie) -les indemnités chômage (les ASSEDIC) -les aides sociales (les collectivités locales et les organismes sociaux). Sources : http://battu.jeancharles

DEVANT LA SANTé : UNE ILLUSION ? Plaidoyer pour un système de santé qui cesse d’exclure les plus vulnérables décembre 2011 « La santé est un état DE COMPLET BIEN-êTRE physique, mentaL et sociaL, et ne consiste pas seuLement en une absence de maLadie Ou D’INfIRMITé. »* (*) Définition de la santé selon l’Organisation mondiale de la Santé dans le préambule à sa Constitution, telle qu’adoptée par la Conférence internationale sur la Santé, New York, 19-22 juin 1946 ; signée le 22 juillet 1946 par

-1970' 1980' : réel changement d' orientation, suite à la Déclaration d'Alma Ata en 1978 (sur les soins de santé primaires) et à la Stratégie mondiale de la Santé pour tous d'ici l'an 2000,adoptée en 1981 par l'OMS (confirmation définition de nos jours bien connue de la santé: « un état de complet bien-être physique , mental et social ne consistant pas seulement en l'absence de maladie ou d'infirmité et un droit fondamental de l'être humain » Des experts de l'OMS ensuite mandatés pour réfléchir aux

que chacun se fait de son état de santé (santé ou malade), et également à l’avis des professionnels de santé. Définie autre fois comme une absence de maladie, elle est aujourd’hui reconnu par l’organisation mondiale de la santé(OMS) comme un état complet de bien être physiques ; mental et social ; elle ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou l’infirmité (2). De cette définition ; on peut déduire que la santé dépend notre possibilité physique ; biologique mais aussi de notre intégration

 SUJET : Le système français de la redistribution des revenus est-il un système efficace ? Introduction : La répartition primaire des revenus (salaires, revenus du capital, profit) aboutit à d’importantes inégalités. Certains agents ne perçoivent ni revenu du patrimoine ni revenu d’activité (chômeurs, malades, etc.). Cette situation jugée intolérable dans une société développée a amené l’Etat, dès le début du 20ème siècle, à organiser un système de redistribution des revenus. En effet le système

l’individu des risques, l’Etat a créé dans les sociétés dites développées, un système de redistribution des revenus. La répartition primaire des revenus aboutit à d’importantes inégalités. Certains agents économiques ne perçoivent ni revenu du patrimoine, ni revenu d’activité. L’Etat est intervenu au début du 20ème siècle afin de redistribuer une partie des revenus primaires. Problématique : « la capitalisme, c’est la civilisation de l’inégalité ». Faut-il accepter ces inégalités ou bien essayer de

demander l’allocation de décès éventuellement bloquer les comptes s’informer sur les aides financières pour frais d’obsèques Le Pôle emploi Les banques, la Banque Postale, la Caisse d’épargne La Carsat, la Crav en AlsaceMoselle, la Cnav en Île-de-France, les CGSS dans les Dom Les caisses complémentaires La caisse d’assurance maladie Les mutuelles et organismes de prévoyance, assurance décès Les établissements scolaires des enfants : chefs d’établissements, assistants sociaux La Caf l l l l demander