Calembours

Il provoque le rire, le sourire, l'amusement. Les thèmes sont extrêmement variés : les défauts d'un personnage, la vie quotidienne etc. Répétitions, quiproquos, propos décalés, actions ou paroles qui semblent illogiques, jeux de mots (calembours, néologismes amusants)... Comédies, théâtre de l'absurde, farce, histoires drôles; sketches... LE REGISTRE LYRIQUE On y trouve des émotions intimes, des sentiments personnels. L'auteur exprime ses états d'âme : épanchement ou exaltation

partie est un festival de formes comiques. En effet, la pièce met en scène tous les types de comiques existant : -le comique de mots : répétitions (comme lorsque Hamm demande son calmant ou qu’il veut faire le tour de la pièce), la pièce regorge de calembours, de jeux de mots, d’homonymies, ou rapprochements de mots aux sonorités voisines : par exemple, « coite » et « coït » -le comique de gestes : lorsque Clov installe l'escabeau sous la fenêtre pour observer la terre à la lunette et qu'il oublie systématiquement

Georgette, la servante d Arnolphe. Le valet est très fâché envers elle et tente de lui mettre une gifle, par accident cette gifle touche Arnolphe. Ensuite, il existe le comique de mots qui exploite les ressources du langage : répétitions, jeux de mots, calembours, déformations, recours au jargon, aux dialectes. Des façons de parler outrées ou quelques fois la communication ne se fait plus. Je pourrais parler de nouveau de Molière dans son oeuvre « L’Ecole des femmes », lorsqu' Horace se confie à Arnolphe

un cantabile doctoral, un glissement entier, un révolté paniqué, un menu voyageur, un toucher écorcé, un méfiant perturbant, un soja reposé, un rabbin nutritif, un hip-hop surgelé, un cartilage cold, un déshabillage fluet, un couperet défendu, un calembour exorbitant, un obusier frisé, un campement cinglé, un lego embarrassé, un gabarit viral, un partiel couvrant, un nid dansant, un cautère interposé, un cimeterre représentatif, un colza arraché, un marécage éducateur, un pneumo aimant, un somnambulisme

défauts d'un |paroles qui semblent illogiques, jeux de mots |de l'absurde, farce, | |parodie, au burlesque, à la caricature, à la parodie ou encore | |personnage, la vie quotidienne |(calembours, néologismes amusants)... |histoires drôles; | |au travestissement. Le comique peut naître d'une situation | |etc. |

imagée, dans une logique poétique (une source de vitalité) Hyperbôle : représentation exagérée, distorsion d’échelle Figures de mots : Répétition (écoutez, écoutez) Allitération (La saucisse juste sèche de Justin Bridou) La rime (Dior…j’adore) Le calembour (BHV L’âge du faire) L’onomatopée (La cracotte) Construction graphique Mise en page (dépouillement, complexité, originalité, effet spécial, orientation du regard, code couleurs…) Référence au contexte Connivence avec le média, avec la tendance (ex

sens possible d’un même mot. Permet de créer plusieurs niveaux d’analyse, du plus superficiel au plus profond. Le deuxième sens est souvent symbolique ou ludique et il crée des correspondances avec d’autres mots du texte. - Jeux de mots, calembours… : l’auteur affiche le caractère ludique de son écriture. Il s’inscrit dans une perspective humoristique, qui peut contraster avec d’autres aspects plus « sérieux » du texte. - Registres de langue : familier, courant ou soutenu. L’auteur

l’église de Notre-Dame qu’il a volé. Son nom signifie « Janot du Braquemart », ce dernier mot désigne ordinairement le sexe masculin. Rabelais fait cela pour se moquer de lui mais aussi pour faire rire le lecteur. Gargantua va faire un calembour en homophonie avec la ville Paris : « par ri » lorsqu’il va se reposer sur les tours de l’église de Notre-Dame. Il va leur uriner dessus « pour rire ». D’après Rabelais c’est à cause de cela qu’on appela la ville « Paris ». Durant son chemin pour

tutélaires comme Coluche [...] on est plus sur du comique consensuel" "S'il faut qu'il s'avilisse, et s'il y consent, le mérite est encore plus grand" "Raconteur d'histoires où les parties les plus basses du corps jouent le premier rôle, amateur de calembours et de blagues sexuelles chaudes" Les deux acteurs sur l'affiche du film sont visiblement ivres. Le rire d'aujourd'hui est différent de celui d'y à 20ans. Peut être plus simple, plus accessible, avec moins de revendications. "Il y a un vrai besoin

bataillons» - la surprise comique du trivial : «moisir» fait suite à un alexandrin aux termes recherchés et emprunts de préciosité. Idem pour l’hypallage «mes amours décomposés» très inattendu et placé en fin de poème. - l’antanaclase, proche du calembour sur «qui vous mangera de baisers». -hypallage: on paraît attribuer à certains mots d’une phrase ce qui appartient à d’autres mots dans cette phrase, ex: enfoncer son chapeau dans sa tête au lieu de «enfoncer sa tête dans son chapeau». (antanaclase: