Calibration

d’absorption L→ longueur de la distance optique (ici, longueur de la flamme) C → concentration de la solution 3 L’absorbance est donc proportionnelles à la concentration de l’espèce que l’on veut titrer. Nous pouvons établir une droite de calibration pour une espèce en particulier à partir de différentes solutions dont nous connaissons parfaitement la concentration. Après cela, il est alors facile de déterminer la concentration d’échantillons inconnus dès lors que l’on connaît son absorbance

différentiel - Suivi de polymérisation • • • • • Colonne : Styragel HR 4E (Waters), 35°C Eluant : THF Calibration : Poly(N-acryloylmorpholine) Débit : 1 ml/min Réfractomètre différentiel (2410 Waters) Mn (g/mol) ? CES + Réfractomètre différentiel - Suivi de polymérisation - 50000 ? Mpic (g/mol) Poly(N-acryloylmorpholine) ou P(NAM) 30000 40000 30000 20000 10000 Calibration P(NAM) Calibration P(St) Diffusion de la lumière ? ? 30 40 50 60 N O ? n MM? ??? 10.00 Signal (mV) 5

manipulation 3 Schéma du montage 3 Liste du matériel utilisé 3 Description de la méthode utilisée 4 Calibration du pycnomètre 4 Calibration de l’hydromètre 4 Calibration de la jauge et de l’anneau de consolidation 4 Densité relative des grains solides 4 Densité à l’état lâche 5 Densité compactée 5 Déroulement de la manipulation 5 Calibration du pycnomètre 5 Calibration de l’hydromètre 5 Calibration de la jauge et de l’anneau de consolidation 5 Densité relative des grains solides 6 Densité à

l’eau du robinet pour au moins 30 minutes. NE jamais utiliser de l’eau non-ionisée. La calibration doit être faite de façon régulière, idéalement à chaque utilisation de l’appareil. Le pH mètre peut se calibrer aux trois points suivants (4-7-10). 1. Appuyez sur le bouton On / off. 2. Trempez l’électrode dans environ 1 pouce de la solution tampon 7. 3. Appuyez sur le bouton CAL afin d’entrer dans le mode de calibration. L’afficheur clignote les lettres « CA », ensuite, une valeur rapprochée de celle du

5. Atelier frein 6. Atelier Roue 7. Atelier Traitement 8. Atelier accessoire et sécurité (Toboggan) 9. Département de la Révision Avionique (DRA) a) Gyroscopique b) Instrument de bord. 10. Atelier Calibration 11. Etalons 12. Atelier Batterie 13. Conclusion PRESNETATOIN DE TUNISAIR A. HISTORIQUE DE L’ENTREPRISE La relation entre la Tunisie et la navigation aérienne a commencé dès le début de l’aviation civile, à l’orée de ce siècle

INOUBLI SALEM le chef atelier calibration pour leur accueil et leur patience. Je remercier également tous les responsables et les personneles du centre pou l’accueil dans divers service, et en m’apportant leur aide et leur assistance . I. Remerciment. II. Sommaire. III. Introduction. IV. Representation de TUNISAIR. * Direction de la maintenance V. Représentation des divers ateliers du centre technique. Chapitre(1): Atelier Calibration et atelier DRA (Département Révision

travailler, pour avoir fait preuve de disponibilité et d’attention à mon égard tout au long de mon stage. SOMMAIRE Introduction ¶ PRESENTATION DU L.P.N.H.E. 1. Le C.N.R.S. 2. Le L.P.N.H.E. 2.1 Généralité. 2.2 L’expérience D0. 2.3 Le système de calibration. 2.4 But de mon stage. · REALISATION DE LA CARTE DE MULTIPLEXAGE. 1. But du multiplexage. 2. Le cahier des charges. 3. Conception et réalisation de la carte. 3.1 Les outils de conception. 3.2 Choix des composants et réalisation de la carte

sont au nombre de deux et indiquent les transformations (translation et rotation) à faire subir pour un point dans le monde réel pour retrouver ses coordonnées dans le repère de la caméra. Retrouver ces deux paramètres constitue la procédure de calibration de la caméra et c’est ce qui permet la projection des objets virtuels ou la résolution du problème de pose. Notre travail touche à l’augmentation d’une scène en utilisant un marqueur planaire en utilisant le principe d’un système d’augmentation

Probabilit´ de d´tection des erreurs . . . . . . . . . . . . . . e e 2 Les composants CAN 2.1 Le P82C150 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.1 Configuration du SLIO . . . . . . . . . . 2.1.1.1 Choix de l’ID . . . . . . . . . . 2.1.1.2 Calibration . . . . . . . . . . . 2.1.2 Utilisation du 82C150 . . . . . . . . . . 2.1.2.1 Format des trames . . . . . . . 2.1.2.2 Les registres . . . . . . . . . . 2.2 Le PCA82C250 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 Codage physique des bits . . . .

Nous avons ensuite entrepris de mesurer un spécimen à l’aide de la calibration de l’oculaire micrométrique. Ce procédé requiert d’aligner les graduations de l’oculaire et de la lame micrograduée et de mesurer une seule division de la graduation de l’oculaire. Nous avons trouvé qu’une division de l’oculaire à un grossisement de 100x mesurait 10 µm , à 400x : 2,5 µm , et à 1000x : 1 µm. À l’aide de cette calibration nous avons pu ensuite déterminer le diamètre d’un de nos cheveux, qui mesurait