Calligramme Sur Le Voyage

entre les Protestants et les Catholiques. Henri IX signe un traité, l’édit de Nantes en 1598 pour la diversité des religions. Vie et forme littéraire En ce temps se crée un grand mouvement littéraire, l’Humanisme. Les humanistes s’inspirent des voyages, des découvertes, des guerres et de l’Antiquité. Les premiers écrits furent en Français. Montagne, Calvin / essais Rabelais / roman C’est l’âge d’or du roman et de la poésie. Marot > lyrisme La Pléiade, Ronsard, Du Bellay Le XVIIème

que anthologie. L’illustration éclaire le sens de ces mots car on voit des carrées avec à l’interieur des caractères repréentés. Ces carrés représentent les extraits de poèmes présents dans les anthologies. Thème choisi pour l’anthologie : Le voyage À travers l’Europe A M. Ch. Rotsoge Ton visage écarlate ton biplan transformable en hydroplan Ta maison ronde où il nage un hareng saur Il me faut la clef des paupières Heureusement que nous avons vu M Panado Et nous somme tranquille

la poésie permet d’exploiter . Il s’agit de créer en congédiant la pensée. Nous retrouvons des , des poèmes en (Eluard, « La Terre est bleue comme une orange ») ; Apollinaire fait disparaître la ponctuation et travaille du poème sur la page (Calligrammes), Henri Michaux invente dans « Le Grand Combat », (Ponge, Le Parti pris des choses). . Pour conclure, la poésie est un genre qui n’a cessé d’évoluer. A l’origine chantée, elle est aujourd’hui davantage écrite pour être lue que pour être

telle qu'il l'interprète. Il porte son interprétation de l'art dans sa poésie, comme moyen de communiquer son expérience de la vie et de la nature à autrui, notamment grâce à la figure du calligramme. Ce genre de poème dont les lignes forment un dessin, comme nous pouvons le voir avec le célèbre calligramme dédié à Lou (Poèmes à Lou, 1915), est une innovation d'Apollinaire qui adapte le fond à la forme. [« Reconnais-toi ; Cette adorable personne c'est toi ; Sous le grand chapeau canotier ; Oeil ;

est celui des poètes envers cette ville ? Et pendant la Guerre ? Etaient-ils fidèles à leur ville ? Je vous laisse le découvrir grâce à trois poèmes, d’abord un calligramme nationaliste d’Apollinaire puis deux autres poèmes d’Eluard et Aragon qui nous décrivent la grande ville pendant la Guerre. Chers lecteur, je vous laisse désormais voyager tranquillement puis vous demande de répondre à cette question que nous pose Scarron « C'est là Paris ; que vous en semble ? ».

Guangyi TANG 1S4 Sommaire Préface --2 Expression des sentiments - Paul Verlaine,《Chanson d’automne》, Poèmes saturniens - Victor Hugo,《Elle était déchaussée》, Les Contemplations --4 --5 Jeux sur le langage -Guillaume Apollinaire，《Il pleut》，Calligrammes -Francis Ponge，《Notes prises pour un oiseau》, La rage de l’expression --6 --7 La réflexion du sens de la vie - Charles Baudelaire, 《l’albatros》, Les fleurs du mal - François Villon，《L’épitaphe villon (ou ballade des pendus) 》 --8 --9 Engagement

2-Distinguez les registres de ces différents poèmes. Voici les documents : doc A : L'albatros de Charles Baudelaire Souvent,pour s'amuser,les hommes d'équipage Prennent des albatros,vastes oiseaux des mers Qui suivent,indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches Que ces rois de l'azur,maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Commes des avirons trainer à coté d'eux. Ce voyageur

effet, cela porte un nom, celui de « la poésie précieuse », autrement dit : le baroque. Dans cette légèreté, nous pouvons également retrouver l’amusement, à travers des jeux de mots (souvent utilisés dans la poésie de Raymond Queneau) et dans « Les Calligrammes » d’Apollinaire. De plus, la poésie est légère parce qu’elle est aérienne, laissant notre esprit s’envoler jusqu’aux divins, comme si « un formidable esprit descend[ait] dans [notre] pensée » (Victor Hugo). Nous pouvons donc citer Paul Claudel

étymologique, latinismes)… -La poésie est un moyen d'explorer des terres nouvelles, elle transfigure, crée des mondes nouveaux. Elle va chercher ailleurs, « là-bas », elle cherche le rêve, l'imaginaire, l'idéal…(cf le refrain de « L'Invitation au voyage », Baudelaire). La poésie invente un univers de métaphores, de figures qui déplacent, éclairent. Elle embellit le monde, le rendant « inconnu » au sens de « ce dont on a encore aucune connaissance ». Elle le colore (on parlait d'ornements, des couleurs

musical au sein du vers. Les assonances (répétitions d’une voyelle) et les allitérations (répétitions d’une consonne) permettent de créer une harmonie imitative : les sonorités en elles-mêmes expriment le sens du poème. Le lecteur peut alors vivre et voyager dans l’esprit du poète. Par exemple, dans Andromaque (1667), Racine écrit « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? ». Ici, l’allitération en [s] imite un sifflement, on peut l’assimiler à celui des serpents. Ainsi, les mots ont