Calligrammes La Cravatte Et La Montre

2). On relève également l’utilisation du champ lexical des sentiments : « rongé de soin et d’ire » (Ronsard, v.9) ; « triste » (Hugo, v.8) qui révèle le caractère personnel du poème. Enfin, ils font tous les deux référence à la nature, comme le montre la présence du champ lexical de la nature : « ciel, air et vents » (Ronsard, v.1) ; « par la forêt, j’irai par la montagne » (Hugo, v.3). Ronsard interpelle ainsi la nature pour lui demander de l’aider à déclarer son amour à Cassandre, tandis que

2). On relève également l’utilisation du champ lexical des sentiments : « rongé de soin et d’ire » (Ronsard, v.9) ; « triste » (Hugo, v.8) qui révèle le caractère personnel du poème. Enfin, ils font tous les deux référence à la nature, comme le montre la présence du champ lexical de la nature : « ciel, air et vents » (Ronsard, v.1) ; « par la forêt, j’irai par la montagne » (Hugo, v.3). Ronsard interpelle ainsi la nature pour lui demander de l’aider à déclarer son amour à Cassandre, tandis que

sur le thème de la peur et de l’angoisse Les ténèbres de Charles BAUDELAIRE………………………15 L’angoisse de Paul VERLAINE………………………………..16 Mors de Victor HUGO………………………………………….17 Le départ de Guillaume APOLLINAIRE Extrait du recueil « Calligrammes », Guillaume Apollinaire écrit cette poésie en 1918 durant la première guerre mondiale. La plupart de ses poèmes ont été écrit alors qu’il était au front et sont généralement dédiés à son épouse Jacqueline. On peut remarquer dans cette poésie des

nouvelle organisation graphique".  L'intérêt des poètes pour une écriture qui imite le réel est très ancien, Il s'est renouvelé avec les calligrammes qui consistent à représenter l'objet décrit par la disposition des mots et des lettres sur la page imprimée: Apollinaire a ainsi mis en accord la forme (visuelle) et le sens en dessinant la pluie, la cravate, la montre, etc., avec les mots chargés de les décrire. Eléments de métrique Le vers est traditionnellement l'unité de base du texte poétique

veille de la Grande Guerre ………………………………………………….. 7 1. 1. Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918) ……………………………………….. 8 a) Alcools (1913) ……………………………………………………………… 10 b) Calligrammes (1918) …………………………………………………………11 c) L'OBJET EN POESIE : l´exemple d´un calligramme d´Apollinaire intitulé "La colombe poignardée et le jet d'eau" ……………………………………..............13 d) le poème à analyser de Guillaume Apollinaire : Automne malade (ALCOOLS)

Premiers vers à la fois pathétique & tragique. → Un renard vieilli : Personnage commun des fables, à vieilli comme La Fontaine. Sa description est faite en alexandrins, & allitération en [s], & par une périphrase "vieux hôte des bois". Cela montre on certaine fidélité de l'auteur à ses personnages. Mais cette fois le renard est victime & dès qu'il prend pas la parole il attire notre compassion par l'humiliation qu'il subit. Maintenant, Sage, très humanisé = La Fontaine qui a peur de la Mort

Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure. 6. Guillaume Apollinaire, Calligrammes (1918) : « La cravate et la montre » [pic] 7. Robert Desnos, Contrée (1944) : « Le paysage » J'avais rêvé d'aimer. J'aime encor mais l'amour Ce n'est plus ce bouquet de lilas et de roses Chargeant de leurs parfums la forêt où repose Une flamme à l'issue

~pltiresias. ~Fluxus de sang, et ~dyssenterias! ~> Carnavalesque, comique, commedia dell'arte, farce, pastiche - ~Bakhtine, 1970; Bar ~F., Le Genre burlesque en France au xvi~e siècle. ~Etude de style, Paris, d~'Artrey, 1960. 29 Calligramme. Terme créé par Apollinaire pour désigner des poèmes où le texte est disposé de façon à former une image. Ce type de poésie iconique existait en fait depuis ~l'Antiquité sous le nom de vers figurés ~(carmina ~figurata) ou vers rhopali~ques ~(Simmias

commune » (Du Bellay), doit être réservée à une aristocratie de l’esprit. 2. Poésie, prophétie La théorie platonicienne de l’inspiration a été renforcée par sa rencontre avec les spéculations bibliques sur la parole de Dieu. L’Ancien Testament montre volontiers comment l’esprit de Dieu se saisit d’un homme pour le faire agir et parler « L’esprit de Iahvé s’abattit sur moi et il me dit : « Dis » ». Le prophète est littéralement celui qui parle à la place d’un autre. Si l’inspiration divine tardait

Par le verre brûlé d’aromates et d’or, Par les carreaux glacés, hélas ! mornes encor L’aurore se jeta sur la lampe angélique, Palmes ! et quand elle a montré cette relique A ce père essayant un sourire ennemi, La solitude bleue et stérile a frémi. Ô la berceuse, avec ta fille et l’innocence