Camille

I -Titre du tableau: Des glaneuses -Nom du peintre: Jean François Millet -Date de compositions: 1857 -Format de l'oeuvre: 82,3 x 111 (cm) -Lieu où elle est exposée: Musée d'Orsay à Paris -Mouvement auquelle se rattache le tableau: Réalisme II Jean-François Millet est un artiste réaliste née e 1814 et mort en 1875, il est célébre pour ces scènes champêtres et de la paysannerie réaliste. Il est l'ainé d'une famille nombreuse de paysan, berger dans son enfance et plus tard laboureur jusqu'à

Etude A l'âge de douze ans, il entre au petit séminaire d’Ornans où il reçoit un premier enseignement artistique avec un professeur de dessin . Ensuite, il entre au collège royal de Besançon où, dans la classe des beaux-arts, il suit des cours de dessin d'un ancien élève de David. À cette époque, Charles-Antoine Flajoulot (1774-1840), ancien élève de Jacques Louis David, était le directeur de l'École des Beaux-Arts de Besançon1. Après des études considérées comme médiocres et qu’il abandonne

Mouvement artistique essentiellement littéraire et pictural, le courant réaliste se situe dans la seconde moitié du XIXe siècle (1830-1860). Il marque la rupture avec le romantisme. Il naît au moment de la Révolution de 1848 dans une société matérialiste ; les banques et les industries se multiplient et cela amène à un prolétariat important. Les intellectuels, eux, se passionnent pour les sciences. L'auteur réaliste cherche à dépeindre une réalité sans artifice ni idéalisation ; il souhaite atteindre

 Le réalisme en peinture Le réalisme en peinture a une approche de l'art dans lequel les sujets sont dépeints avec la plus grande franchise possible, sans les idéaliser et sans artifices.Les sujets traités représentent le plus souvent la vie quotidienne du petit peuple en abordant des thèmes ordinaires alors jamais exprimés à travers l'art : travail, relations conjugales, affrontements sociaux etc... Ils sont ainsi une critique des conditions sociales

 Table des matières Pg1: Page de garde Pg2 : Table des matières Pg3-7 : Biographie Pg8 : / Pg9 : Le réalisme Pg10 : / Pg11-14 : Analyse de « Un enterrement à Ornans » Pg15-17 : Analyse de «Les casseurs de pierres» Pg18 : / Pg19 : / Documentation Pg20-27 : Source des œuvres Pg28 : / Pg29 : Légende de couleur et lexique Biographie Il nait un 10 juin 1819, à Ornans. La légende veut qu’il soit né en pleine nature. Courbet arrive à Paris à l’âge

On est tous, un jour ou l’autre, des enfants oubliés de la guerre. Que la guerre soit avec armes, ou philosophique. Même inaudible, une guerre est une guerre. Après on aura droit aux hippies, « Peace and love » les amis, « vas-y fourre la, on est en paix copain ». Et ma main, tu la veux dans ta tronche connard. Ben oui, parce que pour les abrutis de première, ça veut dire, Paix et amour, mais pour d’autres faîtes l’amour pas la guerre. Ouvrons les yeux, cette phrase n’est qu’un prétexte

blessures gouttes de leur sang. Cicatrices décharnés Champ lexical de la souffrance Perdican se moque des religieuses que Camille a fréquentées : elles critiquent les hommes, se plaignent des souffrances qu’elles endurent. A les écouter, on a l’impression qu’elles ont souffert bien plus que le Christ. elles ontcoloré ta pensée virginale des gouttes de leur sang. elles t’ont montré avec horreur la route de leur vie métaphores Les nonnes ont décrit négativement les hommes…

de votre époux,“ - Camille
Sabine garde espoir d une paix malgré de “légers combats”. Faisant semblant d être triste pour Rome, elle maquillait sa joie en faveur de ses frères en pleurant. “Quelque maligne joie en faveur de mes frères, J ai pleuré, quand la gloire entrait dans leur maison.“ - Sabine  Camille - même situation : Sang dans une armé et coeur dans l autre - est aux yeux de Julie à l opposée de Sabine.
Quand Sabine gardait “un esprit tout romain”, Camille était incertaine.

..................................................71 SCENE VIII .......................................................................................77 i On ne Badine pas avec l'Amour Auteur : Alfred de Musset Catégorie : Théâtre Camille et Perdican se déchirent pour ne pas s'avouer qu'ils s'aiment. Licence : Domaine public 1 ACTE PREMIER ACTE PREMIER 2 SCENE PREMIERE Une place devant le château. MAITRE BLAZIUS, DAME PLUCHE, LE CHOEUR LE CHOEUR Doucement

François, Camille. On raconte aussi leurs habitudes qui leur sont personnelles. ==> Chapitre 2 Madame Raquin était une bonne mère. Elle soignait son fils, Camille afin que les maladies ne l'emportent pas. Camille se sent étouffé par sa mère. Par la suite, on parle du passé. Le frère de Madame Raquin, le capitaine Degan lui a apporté auparavant une petite fille . Celle-ci était née à Ornan et sa mère était une indigène. C'était une jeune robuste. Madame Raquin pensa à marier Camille et la jeune