Camp de prisonniers

Auschwitz comporte trois camps concentrationnaires: le camp principal d’Auschwitz I, le « Stammlager », le camp d’extermination « Birkenau » et le camp de travail « Auschwitz III ». Autour de 1942, les Polonais et les Juifs furent les premiers à êtres déportés dans les compartiments dégradants des camps de concentrations. Obéissant aux ordres de Heinrich Himmler, les officiers SS, ayant comme auxiliaire des Kommandos, veillent à ce que les prisonniers respectent les règles du complexe concentrationnaire

mère et ses enfants furent séparés du père de famille. Il y eu 3 jours d’attente, une attente interminable. La famille fut alors transportée à la prison St-Gilles, puis au camp de Malines(Drancy). Chaque jour, les déportés subissaient une visite de propreté alors qu’ils n’avaient rien pour se laver. On les emmena enfin au camp de Ravensbruck. Le voyage se fit en wagon à bétail, il y avait plus de 100 personnes dans un compartiment prévu pour 7 voire 8 chevaux tout au plus. A leur arrivée beaucoup

Document 5 – Treblinka : un camp d’extermination. Le témoignage d’un ancien SS Shoah – Extraits, de Claude Lanzmann Témoignage de Franz Suchomel (6,9 Mo). Extrait 2, séquence 1, 00 :01 :22 © CNDP, 2001. Ce document présente le témoignage du sergent SS Franz Suchomel qui a participé au processus d’extermination à Treblinka. Ce témoignage a été enregistré en caméra cachée par Claude Lanzmann. Le camp d’extermination de Treblinka a été achevé en juillet 1942. Le camp a eu trois chambres à gaz

membre des Sonderkommando (ou Kommando spécial, chargé de brûler les corps).David Olère réussit, comme d'autres membres du dernier groupe de Sonderkommando, à se mêler aux autres prisonniers du camp lors de l'évacuation de Birkenau et Auschwitz le 18 janvier 1945. Il partit alors pour une « marche de la mort » jusqu'au camp autrichien d'Ebensee. Il ne fut libéré par l'armée américaine, que le 6 mai. Revenu à Noisy-le-grand (près de Paris), il ne nourrit plus son art (dessins, peintures et sculptures)

de l'entreprise Opekta d'Otto Frank, le père. Anne a alors treize ans environ. Après deux ans passés dans ce refuge, le groupe est trahi et déporté vers les camps d'extermination nazis. Sept mois après son arrestation, Anne meurt du typhus dans le camp de Bergen-Belsen quelques jours après le décès de sa sœur Margot. Son père Otto, l'unique survivant du groupe, revient à Amsterdam à la fin de la guerre et apprend que le journal d'Anne dans lequel elle relate sa vision des événements depuis le 12

parasites à éliminer. Il va donc faire construire des camps destinés à ceux-ci où ils vont effectuer du travail forcé à longueur de journée et où les conditions de vie sont atroces. Dans ces effroyables endroits, également appelés camps de la mort, les prisonniers finissaient par mourir assez rapidement soit simplement de faim, de froid, d’une des nombreuses maladies qui se dispersaient, lors d’une exécution ou bien asphyxiés dans une chambre à gaz. Il n’y a pas de mot pour qualifier à quel point ce que les

équipe de chasseurs établit son camp (un carré de 10m de côté) et le délimite de façon visible.Les yétis partent se cacher dans les bois et les chasseurs attendent 5 minutes dans leur camp avant de se lancer à leur poursuite.Pour capturer un yéti, il faut l'atteindre d'une boule de neige (ou autre). Quand le yéti est touché, il doit pousser son hurlement d'agonie et le chasseur reçoit en trophée une fourrure de yéti (un sac poubelle) qu'il doit ramener à son camp. Le yéti lui ressuscite et poursuit

convenaient pas. Après obtention de l'accord d'Himmler, et suite à une conférence regroupant les membres du service médical de la Luftwaffe au tout début de l'année 1942, Rascher débuta ses expérimentations, dans le camp de concentration allemand de Dachau, sur près de 500 prisonniers. Les prisonniers étaient forcés de rentrer dans des caissons basse pression (fournis par la Luftwaffe), attachés par des sangles de parachutes afin de rendre la simulation plus crédible. Enfermés par groupes de 15 à 25 personnes

plupart des détenus ont ignoré la résistance car il y avait une minorité de résistants et cela se faisait dans la clandestinité. Certaines actions de résistances ont été niées ou falsifié durant la guerre froide. Pour certains déportés, résister au camp est la poursuite de leur engagement contre le nazisme. Pour d’autres, cela relève de la découverte. Pourtant, malgré les différences, cette résistance est toujours une question de dignité et de survie. Actes de solidarité, soutien moral, créativité

Le Struthof ->1. Le site avant le camp ->2. La création du camp Le camp de concentration de Natzwiller-Struthof est le seul camp de concentration sur le territoire aujourd'hui français. Lors de sa création, l'Alsace-Lorraine et la Moselle sont annexées par le Troisième Reich. Heinrich Himmler, alors chef de la Gestapo, décide en 1941 de créer un "camp de travail" réservé aux "criminels notoires et asociaux". Le choix du Struthof par l'ingénieur allemand Blumber est dû à l'existence à 1 km d'une