Camp de transit

le 9 octobre 1942 il furent emmenés dans un séminaire et mis sous la protection dune polonaise par une amie ils ne mangeait point a leur faim puis le 16 octobre emmenés dans un train pour Drancy (30 jeunes enf ,42 femmes et 43 hommes)qui était un camp d'internement il semblait morose froid puis ils ont tondu les cheveux du garçon et de sa sœur tout le monde était serres ils étaient mal nourrit le garçon essayer de s occuper de sa sœur tant quil le pouvait les colis que les gens leur fesait parvenir

interrogés et détenus toute la nuit. Le 5 août ils furent transférés à la Huis van Bewaring (maison de détention), une prison surpeuplée sur le Weteringschans[6]. Deux jours plus tard les huit prisonniers juifs furent transportés à Westerbork, un camp de transit situé aux Pays-Bas. À l'époque plus de 100 000 Juifs y transitèrent. Ayant été arrêtés alors qu'ils se cachaient, ils étaient considérés comme criminels et furent donc envoyés aux baraquements de punition pour réaliser de lourds travaux[7]. Dans

document officiel est destiné à rester confidentiel. On note un vocabulaire très bureaucratique et ne laissant paraître aucune notion « d’anéantissement ». Tandis que le second document qui est un extrait de l’autobiographie de Rudolf Höss (commandant du camp d’Auschwitz-Birkenau) rédigé en 1946, on remarque qu’il emploi clairement l’expression « réduit à néant » . Ce texte, lui, est destiné à la diffusion, il est publié en 1958. Ces deux textes décrivent la création et l’application de « la solution finale

Il est envoyé au camp d’internement de Royallieu. Le 4 juin, il quitte ce camp pour une destination inconnue. Deux jours plus tard, le 6 juin, alors qu’il est enfermé dans un wagon en gare de Francfort-sur-le-Main, il apprend par un conducteur STO d’une locomotive voisine que les Alliés ont débarqué en Normandie. Il est à la fois heureux car cette nouvelle apporte un vif espoir et inquiet pour ses proches, ce débarquement ayant lieu dans sa région natale. Il est envoyé au camp de Neuengamme puis

Au bout de deux jours, les déportés sont emmenés dans un camp de transit, à Beaune-la-Rolande, dans le Loiret, ou les conditions de vie sont insupportable : nourriture mauvaise et en maigre quantité, maladies, sans parler du désespoir psychologique des déportés. Affamés et affaiblis, les juifs affrontent la faim et la soif. Quelques jours plus tard, les parents et les plus âgés de leurs enfants sont déportés dans un camp d’extermination, à Auschwitz, seuls les plus jeunes doivent rester

Juifs effectuée par la Police parisienne : 3 700 Juifs polonais, tchèques et autrichiens sont convoqués par un « billet vert » pour « examen de situation », arrêtés par la police parisienne et internés à Pithiviers et Beaune-la Rolande, des camps de transit dans le Loiret. Le service du commissaire général aux Questions juives transmet une note concernant la procédure d’arrestation des Juifs… « Le commissaire général a remarqué que dans la correspondance de certains services, les juifs étaient dénommés

Heinrich Himmler, et dirigé par Rudolf Höss. Ce camp fut fermé le 27 janvier 1945 par l'Armée Rouge Liberation: Le 26 novembre 1944, le Reichsführer Himmler, sentant la libération proche, decide la destruction des chambres à gaz et des crématoires, espérant cacher les exterminations massives aux vainqueur. Ainsi le 2o janvier 1945, les allemands dynamitent le dernier four crématoire. Avant de quitter le camp, les nazis brûlent les archives du camp, espérant dissimuler l'ampleur du massacre.

tant que déportés dans un camp de concentration. Primo a été fait prisonnier par la milice fasciste le 13 décembre 1943. Avant de se faire arrêter, il part vivre dans la montagne avec un petit groupe d'amis. Un soir, son refuge est pris d'assaut par trois cents miliciens. Lors de son interrogatoire, il préfère avouer sa condition « citoyen de race juive » plutôt que celle de résistant. Par la suite, il est envoyé dans un camp de transit à Folloni en Italie. Ce camp est destiné aux prisonniers

d'Allemagne sans préavis. Dans un premier temps, l'accès à leur pays d'origine leur avait été refusé mais par la suite, conduits physiquement de l'autre côté de la frontière, les parents de Grynszpan et les autres Juifs expulsés avaient été relégués dans un camp de réfugiés près de la ville de Zbaszyn, à proximité de la frontière germano-polonaise. Une boutique appartenant à un Juif est détruite au cours de la la Nuit de cristal (Kristallnacht). Berlin, Allemagne, novembre 1938 Von Rath mourut le 9 novembre

français le 16 juillet 1942 et sont détenus au Vélodrome d'Hiver, dans des conditions épouvantables. Cette rafle fit 13 152 victimes dont 4115 enfants. Les juifs furent déportés quelques jours plus tard vers le camp de transit de Beaune-la-Rolande, dans le Loiret, et enfin vers le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Moins de 100 personnes, dont aucun enfant, ne survécurent.