Campagne de Prusse et de Pologne

Napoléon Ier, rejette la période révolutionnaire française et veut un retour à l'ordre ancien. I. Les mouvements libéraux et nationaux dans l'Europe de la Sainte-Alliance 1. L'Europe de Metternich contre les aspirations nationales et libérales • La Prusse, l'Autriche, la Russie et le Royaume-Uni se réunissent en congrès à Vienne en 1815 pour décider de la nouvelle carte de l'Europe et du sort de la France. • Les aspirations nationales ne sont pas prises en compte dans la nouvelle carte de l'Europe

d’eux-mêmes, à former des nations. Mais cette période est avant tout celle de la naissance de l’Europe des États, car ni le Royaume-Uni, ni la Russie, ni l’Autriche ne pourront faire grand choses face à la transformation de l’Europe centrale. En effet, la Prusse va triompher et va réaliser à son profit l’unité de l’Allemagne, l’Italie va aussi parvenir à son unité. Le nouvel équilibre européen de Vienne n’aura pas duré. Le congrès de Vienne : un champ de bataille diplomatique Sur le continent, c’est l’empire

rassemblent depuis 1792 les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit pour cela les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : ses nombreuses et brillantes victoires (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz,Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à son chef

bataille d'Austerlitz (2 décembre), où il écrase les armées russes et autrichiennes en présence de leurs empereurs. La Grande Armée soumet ensuite la Prusse, suite aux victoires d'Iéna et d'Auerstedt le 14 octobre 1806. Le 21 novembre 1806, Napoléon Ier décrète l'établissement d'un blocus continental à l'Angleterre. En 1807, la Grande Armée entre en Pologne et défait la Russie à la bataille de Friedland. Fort de ces succès, Napoléon peut alors imposer letraité de Tilsit, le 7 juillet 1807, mettant ainsi

rassemblent depuis 1792 les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit pour cela les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : ses nombreuses et brillantes victoires (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à son chef

Mémoires sur la Hollande, la Russie, la Pologne, la Saxe, la Prusse. Il tourne son esprit systématique vers des spéculations hasardeuses. Il se met à fréquenter la Société des gens de lettres. D’Alembert le présente dans le salon de Julie de Lespinasse, mais il y réussit mal et se trouve en général déplacé dans le monde des encyclopédistes. Il se lie, grâce à d’intimes analogies, plus étroitement avec Jean-Jacques Rousseau, avec lequel il va se promener à la campagne, où ils s’entretiennent longuement

rassemblent depuis 1792 les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit pour cela les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : ses nombreuses et brillantes victoires (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à son chef

tchèque, en Serbie avec le serbo-croate et en Moravie avec le Slovaque. Parallèlement, la religion est également porteuse d’unité nationale dans des pays orthodoxes comme la Grèce et les Balkans sous domination d’un pays musulman ou encore dans une Pologne catholique incluse dans un empire orthodoxe. Ces mouvements intellectuels sont portés par une élite bourgeoise fortement représenté chez les étudiants qui profitent de la renaissance du mouvement associatif pour exalter le sentiment national, parfois

voir s’établir passe par l’émancipation des nationalités. Lempereur sera donc le champion des nationalités. De leur libération naitra une Europe nouvelle rééquilibré et pacifié comme la Grèce et la Belgique entre les années 1820 et 1830 ainsi qu’une Pologne et une Italie libéré respectivement de l’impérialisme russe et autrichien, ainsi qu’une Allemagne réorganisé et un empire d’Autriche délesté de ses sujets les plus turbulents. Tout ceci avec pour but la paix en Europe conformément au précepte énoncé

démocratiques alliées (Pologne, Grande-Bretagne et pays du Commonwealth, France, Danemark, Norvège, Pays-Bas, Belgique, Yougoslavie, Grèce, puis URSS, États-Unis, Chine, et la plupart des pays de l'Amérique latine) aux puissances totalitaires de l'Axe (Allemagne, Italie, Japon et leurs satellites, Hongrie, Slovaquie, etc.). La Seconde Guerre mondiale, qui coûta la vie de plus de 40 millions de personnes, a duré six ans, du 1er septembre 1939, date de l'agression allemande contre la Pologne, au 2 septembre