Journal de Trévoux

l'espace Européen de la presse savante » est tiré de la revue Dixseptième siècle. Synthèse : L'auteur analyse, en premier lieu, le journal de Trévoux ( Les Mémoires de Trévoux ou Journal de Trévoux, sont un important recueil de critique littéraire, puis scientifique, historique, géographique, ethnologique et religieux, fondés par des jésuites en 1701 à Trévoux dans la principauté de Dombes, alors indépendante) comme un moyen de comprendre les différentes dynamiques et mobilités des jésuites

228 romans pour seulement 96 entre 1720 et 1730) et un titre Le journal de Trévoux, choisi pour son importance et il faut bien le reconnaître pour sa disponibilité étant entièrement accessible (du moins théoriquement) en numérique sur Gallica1. Toutefois, nous nous autoriserons quelques excursions qui nous servirons de repère d’une part à travers les critiques d’un autre journal, le Journal des Savants (qui peut être vu comme le journal officiel artistique et scientifique de l’époque ou plutôt scientifique

des Encyclopédistes et rédacteur du « Journal de Trévoux ». Idée 3 : quelle est la mise en scène ? Frère Berthier et frère Coutu sont chargés de distribuer leur journal à de petites gens de la Cour. Frère Berthier, suivi de frère Coutu, va se sentir mal : fatigue, sensation de froid, paralysie. Il se trouve dans un état critique nécessitant l’intervention d’un médecin : le plus compétent va poser son diagnostic : il est empoisonné et c’est le « Journal de Trévoux » qui en est responsable. Idée 4 : structure

entraîne alors la jeune fille, qui a rassemblé prestement quelques affaires, dans la région rurale de la Côtière de l'Ain. Quelques-unes de ces jeunes filles comptent parmi ses victimes, entre 1855 et 1861. L'enquête conduite par le juge Genod de Trévoux « ne retiendra » finalement que douze agressions (dont trois assassinats), projets d'agressions et vols avec ruse. Les agressions sont extrêmement violentes comme en témoigne celle de Marie-Eulalie Bussod, le 26 février 18619, qui après avoir été

volumes, atteindra, à son achèvement, 28 volumes - 17 de discours et 11 de planches - et aura demandé plus de 25 ans de travail. Les innovations de l'Encyclopédie par rapport aux autres grands Dictionnaires universels de son temps, comme celui de Trévoux, dont elle fut à la fois la critique et le dépassement, se marquent essentiellement sur quatre plans : -c'est une entreprise collective qui fait appel aux savants spécialisés et ainsi aux savoir même et non plus aux livres y faisant référence

politiques, religieux, scientifiques du temps (lisons, p.e., DROIT NATUREL, INTOLÉRANCE de Diderot, COLLEGE, ELÉMENS DES SCIENCES de d'Alembert, INOCULATION de Tronchin). Très vite, une redoutable conjuration - les jésuites, menant campagne dans leur Journal de Trévoux et dénonçant l' "impiété" des articles, bientôt relayés par les jansénistes et leurs représentants au Parlement - alerte le pouvoir royal et aboutit à l'interdiction de l'Encyclopédie (temporaire en 1752, définitive en 1759, avec révocation

Aussi, avant d’arriver à son diagnostic, il a procédé par observation comme le veut la recherche scientifique. Également, Voltaire veut valoriser la raison et la philosophie. En effet, le frère Berthier était empoisonné par le Journal de Trévoux. Alors il brûla les journaux sous le nez de Berthier, il était un peu soulagé, mais comme la tête a été touchée, le mal subsistait toujours. C’est alors que le médecin décida de lui donner un remède : « Le médecin imagina de lui faire avaler une page de l’Encyclopédie

Journal des Sçavans, t. CLVI, janvier 1751, p. 121-127. b.r., Impr., ni 33.544 A. Mémoires pour l'histoire des Sciences et des Beaux-Arts... de Trévoux, janvier 1751, vol. II, p. 302-327, rendant compte du Prospectus de l'Encyclopédie. b.r., Impr., n 2142 a. D. diderot, Lettre... au R.P. Berthier, Journal des Sçavans, i. CLVI, mars 1751, p. 411-416. G.-Fr. berthier, Lettre à M. Diderot, Mémoires... de Trévoux, fév. 1751, p. 569-578. D. diderot, Seconde lettre au R.P. Berthier, Journal des Sçavans

Jean de Bruyère a écrit les caractère ou des mœurs de ce siècle en 1688 , on va s’intéressé particulièrement à un passe ou il dresse le portrait de IPHIS voltaire lui raconte une histoire drôle avec des personnage bien réel pour se moqué du Journal de Trévoux en 1759 dans Relation de la maladie , de confession , de la mort et de l’apparition de jésuite Berthier . Ensuite nous avons Fable ou Histoire par Victor Hugo, les châtiments qui présente le récit d’un exil. enfin, plus récent et plus contemporain

caricaturistes s'en sont donnés à cœur joie contre le roi Louis-Philippe Ier qu'ils aimaient portraiturer sous la forme d'une poire. En Allemagne, la même dénotation était utilisée après 1982 pour Helmut Kohl par le caricaturiste Hans Traxler dans le journal satirique Titanic2 et après était utilisée généralement comme surnom péjoratif pour le chancelier3. En 1977, Renault connaissait un fiasco commercial avec le modèle R14, notamment du fait de son moteur bruyant et de son allumage sensible à l'humidité