Canal Rideau

sommeil la nuit. Cette distinction vie intime /vie commune a été pendant longtemps et pour beaucoup un luxe inaccessible. Seule subterfuge trouvé par les locataires de petit logement recherchant un semblant d’intimité : le morcellement de cet espace (rideau, paravent) à défaut de cloison. Du point de vue de l’architecte, la chambre est un espace formé par 4 murs, un plafond et un plancher ainsi que des ouvertures telles que des portes ou des fenêtres. Les seules variations dans la définition de cette

escabeau » ligne 12, de l'éclairage, « lumière grisâtre » ligne 1, de la décoration :« aux murs de droite et de gauche, vers le fond, deux petites fenêtres haut perchées, rideaux fermés » lignes 3 et 4, « un tableau retourné » ligne 5, « tire le rideau »ligne 13, « à la porte » ligne 25. La cadre ainsi représenté évoque un lieu fermé et sinistre mais aussi totalement neutre, effectivement il est impossible d'identifier le style, l'époque du décor. La cuisine, ligne 29 : « ma cuisine », est évoquée

(règne du on) 3) des prsg eux-même comédiens - voire didascalies - épisode du tailleur : NAGG joue 3 rôles II- Une théâtralité très forte 1) écriture didascalique très importante - didascalie initiale : 3 pages - tt se passe comme au levé de rideau (CLOV qui tire les rideaux) - les 15zaines d'entrées et sorties de CLOV rythment l'échange dialogué qui st parfois vides de sens 2) les objets et accessoires - rythme de l'écriture théâtrale : gouvernée par des objets/ accessoires : lunette, gaffe

que le rideau ne s'ouvre, des objets cachés sous des draps. La pièce n'a pas encore commencé. Ces draps permettent à Clov d'ouvrir petit à petit le monde du théâtre au public, qui découvre avec étonnement Hamm, avec sur le visage un mouchoir rouge, comme la couleur du rideau. La pièce n'a toujours pas commencé, ce sont les objets qui présentent la pièce, mais le mouchoir est aussi celui qui marque sa chute: A la fin Hamm déplie son mouchoir pour le reposer sur son visage, rendant le rideau rouge inutile

constituent la scène / Marches / Porte / Rideau de séparation Autre scène au second plan / Echelle / Fenêtre / Les personnages font groupe et constituent la scène / Marches / Porte / Rideau de séparation Autre scène au second plan / Echelle / Fenêtre / Les personnages font groupe et constituent la scène / Marches / Porte / Rideau de séparation Autre scène au second plan / Echelle / Fenêtre / Les personnages font groupe et constituent la scène / Marches / Porte / Rideau de séparation Autre scène au second

Bonjour. Je suis Rideau de Théâtre et je suis fière de parler aujourd’hui au nom de toutes mes consœurs qui travaillent peut être en ce moment-même. D’ailleurs, il n’y a pas plus de deux heures, j’étais en pleine prestation pour Les Mains Sales de Jean-Paul Sartre au Théâtre du Nord Ouest à Paris mise en scène de Odile Malet et Geneviève Brunet où je suis actuellement employé. Je ne cherche pas à me vanter mais j’ai reçu des roses des spectateurs à la fin de la pièce ! Je dois avouer, en toute

banquette, une de ces grandes papeteries anglaises, montées sur pieds en forme de X, qui, fermées, ne tiennent pas plus de place qu’un épais carton à dessin et, ouvertes, forment tables, avec, à l’intérieur, tout ce qu’il faut pour écrire. Au lever du rideau, ce meuble est fermé. Au milieu de la scène, à gauche, non loin de la banquette et au-dessus d’elle, un petit canapé au dossier d’acajou ajouré, placé de biais et dos au public. Lui faisant vis-à-vis, au-dessus de la banquette, une petite table de

regards verticaux et d’autres vers le centre : De plus le tableau est organisé suivant différents plans successifs avec la table verticale qui est en totale contradiction avec la perspective du tableau et chaques femmes forment un plan avec un rideau. Ce groupe est inscrit dans un rectangle : Ainsi, on distingue des plans ocres, blancs, bleus et gris. Les plans bleu et blanc font ressortir les femmes qui constituent ce groupe. On remarque que ces femmes sont animées par un visage plus clair

danseuse effrénée -Black & Tan, Dudley Murphy,1940- sont le fruit d'une mise en abîme, comme d'un duo dansant entre les franges de la robe et les fils du rideau. Les installations statiques se heurtent visuellement à celles en mouvements, laissant le choix au spectateur de son degré d'investigation dans la lecture de l'exposition. Le levé et tombé de rideau qui semble s'exécuter lors du déploiement du drap de projection -A speciality Dance, Spencer Williams, 1945-, comme le déplacement vertical de certains

Je m’approche de la patiente pour lui dire bonjour et m’assurer qu’elle soit bien réveillée. Elle me salue à son tour me demande de ne pas allumer la grande lumière. J’ouvre donc le volet, j’allume la petite lumière et m’assure que la fenêtre et le rideau sont bien fermés. Ensuite je retourne dans la salle de bain, je prends la bassine personnelle de la patiente et l’a rempli d’eau, je prends un gant jetable pour poser mon savon, mes deux serviettes, mes deux gants et la protection que je pose sur