Canaux parisiens

retour, idéalisait la presse. Il fallut très vite déchanter. Les désillusions, plus nombreuses d’année en année, ont pris le pas sur cet espoir que les journaux avaient fait naître. Un siècle après que le journal qui s’appelait alors le Petit Parisien, né en 1876, était devenu, avant 1914, le plus grand journal du monde, avec un million et demi d’exemplaires vendus chaque jour, après un demi siècle d’une télévision omniprésente, alors que les grands quotidiens sont pris en tenailles entre les

journalistes. Ces derniers se sentent visés et lui reprochent d'avoir critiqué les habitudes des journalistes. Lorsqu'il écrit son roman, une loi en faveur du droit de divorce venait d'être voté, c'est pourquoi il décrit les mœurs de la société parisienne dans les années 1880. Il prend comme modèle Balzac qui peint un monde impitoyable ou seuls les forts survivent, comme Duroy, qui était un jeune provincial ambitieux qui n'avait qu'une idée en tête : faire fortune. . En quoi Duroy apparaît-il comme

Français, le mensonge patriotique prime sur l'effroyable vérité. N'en déplaise à la liberté d'expression... Le 2 août 1914 la censure, baptisée Anastasie, s'empare de la presse française Le Figaro, Le Temps, Le Petit Journal, Le Matin, Le Petit Parisien... Aucun journal n'est épargné par la censure. Pour s'en assurer, un bureau de la presse est créé au ministère de la Guerre, à Paris, et contrôle les articles avant parution pour vérifier que ne s'y trouve des informations propices à l'ennemi ou

lecteurs et pressions politique. La fê est très rpz, notamt Marianne pr définir la Rep. Dans "La revue blanche" : valeurs de justice, vérité. Du côté Antidreyfusard, il y a "Libre Parole", "La croix", "Le Petit Journal", "Le matin" et "Le petit Parisien" La fê est plus ronde, guerrière et vulgaire. 3) Les multiples conséquences politiques, sociales et morales de l'affaire L'Affaire a bcp divisé les français et la presse va amplifier l'opinion de ses deux camps. Cette division ne correspond

le relient aux principaux centres urbains et aux principaux centres d'activités de la dorsale européenne. Ainsi, avec l'élargissement vers les pays de l'Est, le port de Hambourg progresse alors que celui du Havre à l'arrière pays limité au Bassin parisien et à l'Ouest est moins puissant. D'autant plus que les connections fluviales des ports français avec les autres bassins fluviaux sont insuffisantes. Chacun des ports est relié à son arrière-pays par des réseaux de transport de fret très denses, qu'il

moitié entre 1871 et 1914) créent un média de masse. En France, des quotidiens tirent à plus de 9 millions d'exemplaires en 1914. À la veille de la guerre, les journaux d'opinion sont supplantés par des titres populaires (Le Petit Journal, Le Petit Parisien). Ceux-ci offrent une information brève et souvent dramatisée à une opinion dont la demande augmente. Le nombre croissant des lecteurs fait émerger une opinion publique qui devient un acteur majeur en temps de crise. En 1898, le «J'accuse» d'Émile

nous sommes entrés a pris son véritable essor dans les années vingt à trente lorsque les media se multiplient et deviennent de plus en plus puissants. La presse se développe mondialement, inspirée des Etats-Unis. Dans la presse écrite, Le Petit Parisien, déjà premier quotidien en 1914, continue sa progression en tirant à plus de 1.5 million d’exemplaires tous les jours. La presse continue de se diversifier, avec la création de journaux sportifs, musicaux, etc.… Les journaux jouent effectivement

s'embarquer avec les marins de Baudelaire. Il débute donc sa carrière de poète en se faisant publier dans la revue d'avant garde comme « l'Epatant » qui était un journal de bandes dessinées hebdomadaire qui paraissait tous les jeudis ou encore « le Petit Parisien » qui était un journal qui annonçait le quotidiens d'avant-guerre à la veille de la guerre de 1914-1918 (1ère G.M). Pour Desnos, la lutte est désormais clandestine. Le 20 janvier 1940, il écrit à Youki : « J'ai décidé de retirer de la guerre tout

du xixe siècle, les quotidiens atteignent des tirages spectaculaires, Le Petit Journal (quotidien), Le Petit Parisien et Le Matin dépassant le million d'exemplaires. L'impact de certains articles est alors considérable, comme le célèbre J'accuse d'Émile Zola paru dans L'Aurore à l'occasion de l'affaire Dreyfus, ou l'enquête d'Albert Londres sur le bagne de Cayenne parue dans Le Petit Parisien. Après la Première Guerre mondiale, l'expansion de la presse périodique et le développement de la presse régionale

le seul média et son lectorat touche désormais les masses, car l'école libre et républicaine depuis les lois Ferry de 1882 fait progresser l'alphabétisation. •Plusieurs types de presse coexistent. La presse populaire (Le Petit Journal, Le Petit Parisien) touche un large public en cherchant le sensationnel. La presse engagée, ou presse d'opinion, est particulièrement vive dans ses propos. Certains journaux sont de droite, comme La Croix, d'autres de gauche, comme L'Humanité. Des lobbies ou des réseaux