Candide Allégorie

Fiche de figures de Style : Allégorie : (féminin) action de rendre concret ce qui est abstrait par un tableau, une image, un être vivant (exemple : Marianne est une des allégories de la République) Allitération : (féminin) répétition d’une même consonne pour produire un effet sonore. Anaphore : (féminin) répétition d’un même mot ou d’une même expression (au moins trois fois), au commencement de plusieurs phrases ou de plusieurs vers ou de membres de phrases. Antiphrase : fait entendre

La Fontaine : La fille Comment La fontaine dénonce t-il la prétention à travers sa fable ? I- A travers un récit ludique A) Un récit dynamique verbes à l'impératif seconde personnes interpellant le lecteur recit en vers : vivacité au récit figures de style tel répétitions, rythmes ternaires, allitérations, anaphores, ... B) Un personnage ridicule Mise en valeur par des majuscule pour mieux être dévalorisé après Oxymore "un peu trop fière" : montre sa prétention la façon dont elle

qui va s'intégrer à une méditation plus vaste sur le temps et la condition humaine. II/Méditation sur l'homme et le temps 1)Les allégories 1ère strophe, formulé avec un "nous" qui semble désigner les hommes pose le thème général du receuil : une méditation sur la vie humaine soumis au temps et à la mort. Le début de cette méditation est une allégorie très traditionnelle de la vie : Idée Représentation Métaphore reprenant la même représentation Temps Mort Vie humaine "océan"

La fable classique : Lafontaine, Les obsèques de la Lionne Mise en situation -17e siècle, sous le règne de Louis XIV, le régime est une monarchie absolue de droit divin. Jean de La Fontaine (1621-1695) écrit 2 recueils de 6 livres chacun, le seconde livre dont il est ici question, parait entre 1678 et 1695. -Les Obsèques de la Lionne viennent de ce livre, et sont inspirés d’une fable d’Abstémius, du recueil d’une centaine de fables Hécatomythion, écrits vers la fin du 14e siècle, sous la renaissance

et privilégié, maléfique et bénéfique et enfin que le poème devient pour Baudelaire un moyen d’évasion. I] Poète souffrant cherchant à se couper du monde. a) Poème organisé autour d’un dialogue (intérieur, dédoublement) Douleur → personnifiée (allégorie)- invocation : ô → considérée comme un enfant capricieux : « sois sage » v.1 + 1er hémistiche du v.2. → allitération en «s» (doux) et «t» (pr calmer le caprice de l’enfant «tu réclamais»)/ →rythme apaisant

C 'est une allégorie de la guerre civile entre catholiques et protestants. Esau (Esaü dans la Bible) représente les Catholiques et Jacob les protestants qui ont le bon rôle dans le conflit dans ce poème. II Le tableau allégorique de la France en mère affligée De toutes façons c'est la mère càd la France qui est victime de cette lutte fratricide et c'est l'allégorie de la France qui est l'image dominante et structurante du poème. A Mise en place de l'allégorie Cette allégorie se met en

différentes lors de chaque rencontre à l'intérieur du merveilleux ( fée ) cela met le lecteur dans une atmosphère plaisante . Tandis que pour la Fontaine il est très important de divertir ses lecteurs avant de l'instruire à travers ses personnifications , allégories.....Afin que les lecteurs se distrait des fables " avec plaisir ".  3.Argumentation indirect  L'apologue à pour fonction d'instruire et de divertir ses lecteurs pour leur enseigner des morales que ce soit jeunes publics ou adultes. "Les Fées

Analyse de la tirade d'Octave « Figure-toi un danseur de corde », les Caprices de Marianne, MUSSET INTRO : Drame romantique écrit en 1833 mais joué pour la première fois en 1851 (avec un texte modifié Témoigne du désœuvrement de la jeune société aristocrate (le « mal du siècle ») présente des personnages qui doutent (Coelio, Marianne) opposés à Octave, personnage qui ne doute pas dont l'auto-portrait est dressé dans cette tirade. LECTURE DU POEME DEVELOPPEMENT I] Un personnage extraordinaire

haute ». Le caractère énigmatique de cette description, les personnifications, les nombreuses figures d’analogie, nous obligent à changer de point de vue et à avancer l’idée que ce poème s’apparente à une allégorie. II. La bougie qui brûle, symbole, allégorie de la vie, de la poésie A. Poème emblème et écriture allégorique. La flamme s’élevant, toujours seule, « impassible » et droite, symbolise la force intellectuelle. La force ascensionnelle, l’élévation

roi v 10-12-13 • Disproportion des punitions v 19-25 • Vérité et flatterie excessive déplaisent également au roi → les courtisans ont très peu de latitude pour s'exprimer On peut éventuellement soulever le voile et voir dans ce Louvre une allégorie de Versailles construit sur des marécages à l'odeur pestilentielle . B)C'est aussi une satire sociale • Le singe : flatteur excessif v21 , accumulation , gradation du rythme seul le renard « s'en tire » v 32 • Même les efforts pour plaire