Candide Situation Finale

dissimulateur. Dom Juan oppose un calme digne de son rang et de son expérience des femmes. Sa réplique reste polie et bien formulée « madame, je vous avoue que je suis surpris, et que je ne vous attendez pas ici » La 1e tirade d’Elvire qui rappel la situation et raconte sa prise de conscience le prend un peu de court par son aspect moqueur et le défit quelle lui lance : « parlez Dom Juan, je vous prie, et voyons de quel air vous saurez vous justifier ». Dom Juan se trouve réduit d’un premier moyen de

provoquée par l’appréhension de se retrouver dans une telle situation et de subir les mêmes retombées. Or la pitié est, elle, amené par une certaine compassion du lecteur envers le sort des personnages. Mais à travers ces deux sentiments, le plaisir ressort. Effectivement, le lecteur éprouve à travers cette pitié le plaisir de ne pas se trouver dans la même situation et peut même en venir à apprécier d’autant plus sa propre situation qui, en comparaison à celle du jeune couple est probablement

de réel, puisqu’une lettre, même fictive, est perçue comme une sorte de « document » authentifiant le récit et l’effet de distanciation qui permet de renforcer la capacité critique et analytique du texte, par le double écart d’une part entre les situations vécues et leur récit et d’autre part entre émission et réponse. De même que Paul Scarron qui, par le biais de son œuvre : Le Roman comique, propose le récit de la vie d’une troupe de théâtre, ancrant ainsi son œuvre dans un réalisme reflétant une

de Batavia » (l. 3), « l’aumônier de la compagnie danoise » (l. 3), « jésuite » (l. 3), « un missionnaire jacobin ». Tous ont des points de vue différents, comme le suggère l’abondance de questions interrogatives du mandarin, incompréhensif de la situation, (l. 24, 25). Ce texte, qui apparaît comme une simple nouvelle racontant une dispute chrétienne, va plus loin dans la perception de ses protagonistes et la dispute prend une fin inattendue. Voltaire a en effet recours à l’apologue sous forme

dissimulateur. Dom Juan oppose un calme digne de son rang et de son expérience des femmes. Sa réplique reste polie et bien formulée « madame, je vous avoue que je suis surpris, et que je ne vous attendez pas ici » La 1e tirade d’Elvire qui rappel la situation et raconte sa prise de conscience le prend un peu de court par son aspect moqueur et le défit quelle lui lance : « parlez Dom Juan, je vous prie, et voyons de quel air vous saurez vous justifier ». Dom Juan se trouve réduit d’un premier moyen de

ciel a permis pour nos péchés cet infortune » insiste sur le lien avec le ciel (roi de droit divin) Thème de la culpabilité (péché, infortune) Superlatif «  le plus coupable »  il souhaite rendre justice en apparence Fonde son analyse sur une situation qui a déjà fait ses preuves. (Ex Œdipe) et cela se prouve par le rapprochement « dévouement » « accident ». 3 occurrences du pronom : « nous », 2 occurrences de l’adj. poss « notre »  semble parler pour l’intérêt général, exprime aussi son souci

▪ Les hommes sont soumis aux mêmes lois naturelles que dans la réalité (la maladie, la mort, les désastres naturels…) ▪ La vie n’est pas facile et implique l’effort et le travail comme dans la vie réelle (cf. Candide les premières pages de l’utopie montrent un maître d’école, une aubergiste, des routiers…) o MAIS les hommes de l’utopie ont trouvé des solutions contre le mal qui vient d’eux : la guerre, l’intolérance, l’injustice,

Pensez-vous que la lecture des fables et des contes ne présentent d’intérêt que pour les enfants ? Les Contes et fables, mettent des personnages aux traits grossiers face à des situations non moins caricaturales. Le personnage est un moyen narratif et la structure du récit imaginaire, cette structure semble se répéter dans le monde entier que se soit dans les fables ou dans les contes selon les différentes cultures. Pourtant, la profondeur que les analyses de contes ou de fables ont révélée dans

François Rabelais Gargantua Parcours Rire et savoir La littérature d’idées du XVI au XVIII s De l'horrible danger de la lecture 1765 Voltaire Introduction : 1) Situation du texte : En 1756, Voltaire écrit ce pamphlet (texte polémique court et violent attaquant les institutions ou une personne) qui illustre bien la philosophie des Lumières. Ce texte se présente comme un édit publié par un mouphti. Sa méthode est celle du décentrement inauguré par Montesquieu avec les Lettres persanes. Voltaire

caractéristiques nécessaires pour une persuasion efficace du lecteur. Dans l’exemple du petit Prince d’Antoine St Exupéry, l’auteur invente de toute pièce un personnage bouleversant de naïveté. Dès les premiers passages, le lecteur est frappé par la nature candide et l’innocence du Petit Prince et va automatiquement le prendre « sous son aile ». En étant touché par le personnage et on est plus apte à recevoir un message et à le comprendre. Aux travers des découvertes d’une part de notre monde et d’autre part