Canon alexandrin

premières strophe : 3 alexandrins + 1 hexasyllabe 4 strophes suivantes : 1 alexandrin + 1 hexasyllabe + 1 alexandrin + 1 hexasyllabe 7 dernières strophes : 3 alexandrins + 1 hexasyllabe LA SOUFFRANCE : En effet la souffrance du poète apparaît a travers l’expression de la solitude qui est mise en évidence par l’adjectif « seul ». Tonalité élégiaque. « Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre » a la moitié du vers, à l’HEMISTICHE, à la césure. 6ème syllabes car alexandrins donc mise en avant

bourgeois d’une ville S’émeut jadis un différend Lui était pauvre, mais habile, L’autre riche, mais ignorant ». (Jean de La Fontaine, Fables). 2 10 syllabes : Décasyllabe(s) : Très employé. 11 vers : Endécasyllabe(s) : très rare. 12 syllabes = Alexandrin Ex : « Ô ce cri sur la mer // cette voix dans les bois » (Paul Verlaine, Jadis et Naguère). Dans sa structure classique, l’alexandrin comporte deux accents principaux sur la 6ème et la 12ème syllabe, deux hémistiches (moitiés), séparés par une césure

dernier est commune à tous. Un poème parfaitement élaboré dans sa métrique servira cette régularité, et donnera une sensation d’harmonie, qui berce, qui s’accorde à la nature elle-même. Il paraît donc évident que des vers en octosyllabe, décasyllabe, alexandrin, servent, grâce à leur aspect pair, un rythme régulier, rassurant, entraînant. Et même les mots les plus violents ne pourront rompre cette harmonie presque archaïque. Ainsi, Verlaine, lorsqu’il évoque le regret, le manque, l’absence, se sert de

syllabes = un tétrasyllabe 5 syllabes = un pentasyllabe 6 syllabes = un hexasyllabe 7 syllabes = un heptasyllabe 8 syllabes = un octosyllabe 9 syllabes = un ennéasyllabe 10 syllabes = décasyllabe ; 11 syllabes = un hendécasyllabe 12 syllabes= un alexandrin, ou dodécasyllabe Au-delà, il faut dire « un vers de 13, 14 ... syllabes » Dans la poésie moderne :  on appelle vers blancs des vers de longueur régulière, donc qui ont bien le même nombre de syllabes, mais qui ne riment pas, ou pas forcément

démontre non seulement que sa femme est naïve, mais qu'elle ne peut pas s'empêcher, sans réfléchir, de propager une rumeur qui est ensuite amplifier par les autres femmes. La fontaine utilise différentes longueur de vers (octosyllabe, décasyllabe, alexandrin) de façon à rendre le récit vivant. ? I - La mise en scène d'unesituation grotesque L'idée du mari de faire croire à sa femme qu'il « accouche d'un œuf » est grotesque car doublement contradictoire (confusion absurdes des poules et de l'espèce

Poète est semblable au prince des nuées (s ) Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; ( r ) Exilé sur le sol au milieu des huées, (s) Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. (r ) Versification : Le poème est composé de quatre quatrains en alexandrin ( douze syllabes ) Rythme et sonorité :- Assonance ( répétition d'une même voyelle dans une phrase ou un vers ) - 1re strophe : Double allitération ([S], [Z])

y a synérèse (lieux au lieu de li-eux). Ex : la nation chérie a violé sa foi Ce vers peut se lire comme un décasyllabe mais dans le contexte du 17ième l’alexandrin était le vers de la tragédie. En relisant le vers on peut y voir un alexandrin en pratiquant une diérèse à nation et à violé . 2- LES SONORITES La rime est le retour d’un ou de plusieurs sons à la fin de deux ou de plusieurs vers. Genre de la rime La rime est féminine lorsqu’elle se termine par

Franco-Prussienne en 1870. L'horreur de la guerre a inspiré de nombreux textes, l'un des plus célèbres par la sobriété de sa dénonciation est peut-être le sonnet Le Dormeur du Val. C'est un sonnet composé de 2 quatrains (alexandrins) et 2 tercets (rimes suivies, rimes embrassés > alexandrins).  I - La Nature : La nature est omniprésente dans le poème, elle occupe intégralement le premier quatrain, et nous la retrouvons jusque dans le dernier tercet. Elle se caractérise par une impression de vie et de bonheur

renforcée par le futur de certitude, responsable désigné. 2. L’ampleur du massacre -Apostrophe « Allemands » vers 4  On désigne nommément les coupables, avec une mise en abîme par rapport au reste du quatrain, un vers trisyllabe contre trois alexandrins. On accable le sujet sous le poids de ses actes. -Métaphore/euphémisme « La nuit met son empire » vers 11  La nuit désigne la mort et l’oubli. Ici la mort ajoute, colonise, cette petite fille à son empire, la plongeant dans l’oubli parmi la multitude

ver vivant », il rappelle comme on l'a dit les vers du poème. Le rythme du poème et donc assez rapide, ce qui est d’ailleurs très renforcée par l’absence totale de ponctuation. De plus, chaque quintile est composé de trois alexandrins, un octosyllabe, puis à nouveau un alexandrin le vers long et noble. Le quatrième vers introduit donc un déséquilibre qui dynamise le rythme du poème, en effet cet octosyllabe va donc bouleverser le quintile composé de vers parfaits. Une volonté de l’auteur de ne pas