Cante jondo

forme, la rumba comporte un chant, une danse et des percussions. Elle est définitivement l’un des plus beaux fleurons du folklore afro-cubain. Les origines mélodiques sont attribuées aux Espagnols et plus précisément aux andalous par le biais du cante jondo. La paternité rythmique est sans nul doute bantoue. En effet, la rumba descend de la yuka, danse de fertilité congo mais également de la macuta, autre danse congo mais guerrière cette fois-ci. On appelle les rumbas les plus anciennes : rumba de

Languedoc-Roussillon, Montpellier : L'Aram LR, p. 43-47. " .2002. Les chemins musicaux de l'identité gitane, Mediteria, n°16, p. 18-20. SAUMADE, F . 1994. L'hispanité en Languedoc. Une image de l'autre, Ethnologie française, XXIV, p.728-737. 1954. Anthologie du cante flamenco. Paris : Ducretet-Thompson. Voir aussi : SADAK, S. 2001. Enquête régionale sur les musiques et danses traditionnelles communautaires et musiques du monde. Enquête réalisée par l'ARCADE. Provence-Alpes-Côte d'Azur, Mission régionale des

Suites se encuentra "Cancioncilla del niño que no nació" pág. 71 , y en Poemas en Prosa "Degollación de los Inocentes", pág. 150. En estos escritos el poeta hace referencia al drama del aborto. La época de plenitud Comienza con el Poema del cante jondo (1921) que, mediante la unidad temática, formal, conceptual y la expresión de los sentimientos, debida en parte a su inspiración folclórica, describe la lírica neopopularista de la Generación del 27. En Primeras canciones (1927) , y Canciones (1936)

tradicional de los gitanos con elementos árabes, judíos e incluso hindúes. Al principio, dominaba el cante en sus dos versiones más representativas: el "cante jondo" y el "cante chico", el último con un carácter más alegre. El flamenco se cantaba en acontecimientos privados, como en fiestas familiares, o también en los burdeles. A mediados del siglo XIX surgieron los "cafés cantantes", donde se une el cante con el "baile" y el "toque" de la guitarra. Durante algunas décadas los cafés gozaron de gran popularidad

populaires : c’est en Andalousie que se retrouvent les formes les plus célèbres du chant populaire espagnol : le Cante jondo et le Cante flamenco. Le Cante jondo recouvre la partie la plus ancienne du chant andalou. Il s’est formé à partir de la liturgie byzantine et il a subi l’influence des « maures d’Andalousie » et des tribus de gitans établies en Espagne au XV° siècle. Le Cante jondo est caractérisé par la multiplication des inflexions vocales : chaque degré est altéré selon un fractionnement

période son œuvre est profondément marquée par la figure du gitant dont il fait le paradigme de l’homme libre qui doit affronter une société qui ne le comprend pas mais aussi supporté le poids des traditions. En 1921 il publie son recueil « Poema del Cante Jondo » qui est l’essence même du chant gitant souvent a capella. En 1928 il publie la « Romancero gitano » forme de poésie en octosyllabe et un autre recueil de poésie Llanto por Ignacio Sanchez Mejias il met en scène la dernière corrida du torero.

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fait intervenir dans trois de ses œuvres la figure de la sibylle. On peut mettre en avant les racines espagnoles de Maurice Ohana pour expliquer la fascination pour ce personnage caractérisé, selon lui, par le chant tragique (analogie avec le cante jondo qu’il connaît bien, tradition survivante de Majorque). L’œuvre Sibylle (1968), dont le titre est emprunté à un souvenir virgilien, est d’essence vocale, mais ne s’appuie pas sur le texte traditionnel20. Comme il le fera dix ans plus tard dans Messe