Canut

s'achèvent par une répression encore plus sanglante. 2) Quelques mouvements sociaux importants : -Le Luddisme apparaît en Grande Bretagne ; des bandes armées détruisent les machines accusées de prendre leur travail. -La célèbre révolte des Canuts, à Lyon en 1831 sera réprimée très sévèrement. Ces artisans de la soie se révoltent à cause de la remise en question des tarifs par les fabricants. -A Paris, les ouvriers se barricadent dans les rues, face à l'armée. -La Commune de Paris en

roi homme tres imp (mais roi n’aime pas la resistance et veut écarter les grds figures pol). Hernani (Hugo) b/ L’agitation populaire *février 1831 destruction de l’archeveché de Paris, Mgr de Quelen (légitimiste, pas aimé de la pop). 1831 = Les canuts de Lyon (gens qui travaillent la soie) sont enervés contre le gvt pr des pb de salaires = état de résurrection = intervent° armée. *1832 choléra et émeutes (Lamarque) = Des 100n de victimes, mauvaise qulité de l’eau = quartier pauvre. Lamarque meurt

mais peu innovante, la monarchie de Juillet. Le « roi-citoyen » rassure les plus fortunés. Plus libéral que son prédécesseur, il adopte le drapeau tricolore et élargit le droit de vote, mais frustre complètement les républicains. En 1831, à Lyon, les Canuts*, ouvriers de la soie, se révoltent. En 1834, à Paris, les républicains se soulèvent. 2. Des lendemains qui déchantent1 Le règne de Louis-Philippe prend fin avec la révolution de 1848 : crise économique et immobilisme du gouvernement Guizot, lois

l’association internationale des travailleurs en 1864. Les syndicats, sans en avoir conscience, sont devenus des foyers d’organisation de la classe ouvrière. Trois soulèvements jalonnent l’histoire ouvrière au cours de XIXème siècle : l’insurrection des canuts lyonnais en 1831, révolte de juin 1848 (3000 morts), soulèvement du peuple parisien en 1871. Une transition vers la reconnaissance légale du syndicalisme apparaît sous le règne de Napoléon III qui tenta de conduire une politique sociale. L’empereur

(mouvement féministe, militante socialiste) est une figure du débat socialiste. Le développement commence sous la restauration (1814) et se développe particulièrement lors de la monarchie de juillet (1830-1848) et spécialement au moment de la révolte des canuts Lyonnais (ouvriers tisserands de la soie) au début de 1830. Saint Simon réfléchit sur le mouvement socialiste en ajoutant une vision industrialiste. Proudhon produit un impact plus profond sur le mouvement ouvrier français. Il prône un socialisme

l'international. Comme le mouvement est décapité, le mouvement ouvrier est canalisé en dehors du champ politique et se retrouve cantonné sur le lieu de travail. L'échec de la Commune est le 3ème échec de la gauche dans ce siècle (La révolution des canuts de Lyon en 1832, 1848 ce sont des révolutions du prolétariat). Cette défaite a donné à réfléchir à la bourgeoisie française et on assiste à la naissance de mouvements qui se donnent pour objectif d'éviter que ces classes laborieuses deviennent des

elles ne sont pas suffisamment efficaces. Après la vague de grèves des syndicats se structurent mais sous l'égide du Guomindang qui marchandent avec les employeurs en prenant en compte leurs propres intérêts plutôt que celle des ouvriers. coolies, canuts et mécanos en grève. Les coolies extérieurs, cantonniers, vidangeurs et éboueurs, maçons et peintres, docker portefaix et les tireurs de pousse ne compte aucune grève importante. Les conflits se font entre les membres de la professions qui sont

Présence de cette influence dans la proximité onomastique entre (Rose)Annette et Anna  o La concierge du Théâtre des Variété s’appelle Mme Bron qui est aussi le patronyme de Rosanette. o Même origine sociale : Rosanette est fille de Canuts o Reprise de scènes identiques : Sortie aux courses o Rosannette, comme Nana est Blonde et grasse, peau nacrée - Nana dans l’Assommoir : o « Mademoiselle Jordonne ». o « exerçant un despotisme fantasque

républicains) et les républicains du lendemain (les bourgeois orléanistes qui se proclament républicains après la chute de leur régime). Cela n’empêche pas des troubles : pillage du château de Louis-Philippe à Neuilly, assaut des couvents lyonnais par des canuts qui ont pâti de leur concurrence, luddisme, mise à sac de perceptions, paysans pauvres se servant en bois dans les forêts privées ou domaniales (c’est-à-dire d’état), éclusiers saccageant la voie ferrée Paris-Le Havre qui les concurrence. On s’en

engagent une politique de contrôle du milieu ouvrier. D’autres formes de contestation plus sourdes précèdent ou remplacent la grève qui ne peut être qu’un « instrument ultime, porteur de risques majeurs » pour ceux qui en sont à l’origine. Les grèves des canuts lyonnais en 1831 et 1834 qui donnent lieu à de sévères répressions n’en sont que plus symboliques et importantes. Entre 1864 et 1946 c’est la reconnaissance d’un droit : La loi du 25 mai 1864 ouvre le deuxième âge de la grève qui prend fin avec