Capétiens directs

Philippe II Auguste (Règne: 1180-1223) Philippe est connu pour avoir gagner la guerre des Bouvines en 1214. Il participe aussi à la 3ème croisade en compagnie de Richard Cœur de lion mais part en prétextant avoir une maladie. C'est l'un des rois des Capétiens Philippe IV le bel (règne: 1285-1314) Sous son règne, en près de trente ans, la France consolide ses frontières. La monarchie échappe à l'emprise du pouvoir religieux. Elle s'écarte des traditions féodales en se dotant d'une administration

société est inévitable. Le texte « la société trinitaire » est un extrait d'un poème dans Carmen ad Robertum regem écrit par Adalbèron vers 1025 adressé au roi Capétien Rober II le Pieux. L'auteur de ce texte était évêque de Laon. Son lien à l'ancienne dynastie des Carolingiens et ses liens de famille avec les Capétiens, lui ont donné un statut particulier puissance. Vers les années 1020, le pouvoir royal est affaiblit par la perte de l'autorité, mais aussi par le rétrécissement

aussi de rendre la justice. B) Le serment au royaume : le roi justicier Détenteur du pouvoir suprême que lui confère le sacre, le roi est responsable du bon exercice de la justice dans son royaume: Saint Louis est sans doute, de tous les Capétiens, celui qui a le plus ouvertement insisté sur cet aspect de son rôle, mais c'est un souci qu'ont partagé tous les souverains, d'autant que l'exercice de la justice a souvent été une façon d'imposer aux seigneurs du royaume - mais aussi à l'Eglise

défaites. La victoire du Milanais, lui redonne espoir mais Pavie semble résister aux envahisseurs : ancienne capitale de Rois Lombards, elle est solidement défendue et dans la nuit du 23 au 24 février 1525, François 1er est fait prisonnier. Aucun roi capétien n’a jamais abdiqué, mais le roi d’Espagne fait signer un traité à François 1er dans lequel ce dernier renonce à la couronne. Cependant le pouvoir royal ne peut être cédé, vendu ou légué par testament ou autre. Cette loi remonte au XVème siècle, à

défense du royaume ont pour corollaire de rendre la justice. Cette mission idéale de la monarchie capétienne, est très tôt reconnue par l’entourage du roi, y compris les grands laïcs tel Eudes II, comte de Blois, écrivant au roi Robert le Pieux(996-1031) « que racine et le fruit de l’office royal c’est la justice ». A la fin du Xème siècle, la dynastie carolingienne s’éteint au profit de la dynastie capétienne. L’héritage de Robert Le Fort a été entamé durant les décennies qui ont précédé l’élection de

A : une querelle dynastique : la succession au trône de France En 987 Hugues Capet est élu roi des Francs par une assemblée de grands seigneurs du royaume et d'évêques. Il met en place un pouvoir monarchique héréditaire qui permet aux rois capétiens de se succéder de père en fils jusque la mort de Charles IV en 1328, dernier fils de Philippe le Bel. Charles IV meurt sans héritier mâle (ses deux autres frères, Louis X et Philippe V sont morts sans descendance). Sa sœur Isabelle, mariée au roi

Une pression de l'opinion publique Au début de la dynastie capétienne, le roi de France se comportait vis-à-vis de son domaine comme un seigneur. En tant que propriétaire, le roi disposait de son domaine. Mais à partir du 13ème siècle, les sujets du roi de France ont commencé à se préoccuper que le roi puisse vivre des ressources de son royaume, cependant le roi pouvait avoir à faire des dépenses extraordinaires, le roi pouvait solliciter une aide à ses sujets, en levant un impôt. A partir de la

vassalisation a – 847 : le capitulaire de Mersen b – 877 : le capitulaire de Quierzy-sur-Oise Leçon III – Les temps féodaux ou l’ordre seigneurial Introduction : les nouvelles invasions ; le chassé-croisé Carolingiens-Robertiens (futurs Capétiens). I – La réorganisation féodale de la société : le lien inaltérable entre l’homme et la terre A – La condition des personnes 1 – Les trois ordres de la société a – Les origines indo-européennes de la trifonctionnalité b – La reformulation

(A). Un besoin nécessaire de justification s’est donc très vite fait ressentir (B) . L’origine de la question de la succession immédiate Lors de la fin du miracle Capétien a été affirmé le principe de masculinité (1). Celui- ci a ensuite été étendu avec l’exclusion des descendants par les femmes (2). La fin du Miracle Capétien : l’affirmation du principe de masculinité De 987 avec Hugues CAPET à 1316 avec la mort de Louis X le Hutin, la question de la succession royale n’avait jamais posé

afin que la fonction royale soit permanente et sans rupture, mais également la régence qui assure l’organisation du gouvernement (II). I- Le principe d’instantanéité de la succession « le roi est mort, vive le roi » Dans la monarchie capétienne, le pouvoir royal se transmet de père en fils (A) mais il est assuré par le principe d’instantanéité de la succession (B). a) L’hérédité et la masculinité « Charles, par la grâce de Dieu, roi de France, etc », cet apostrophe vise le