Capital financier

Math´matiques financi`res e e Int´rˆts ee Calcul du taux d’int´rˆt ee Taux ´quivalent e Placement ` versements fixes a Actualisation Annuit´s constantes e Investissement Int´rˆts ee On place un capital C0 ` int´rˆts simples de t% par an : chaque a ee ann´e une somme fixe s’ajoute au capital ; cette somme est e calcul´e par t × C0 ; ainsi, l’ann´e n : e e Cn = C0 + n × t × C0 = C0 (1 + nt) On est donc dans le cadre de l’´tude d’une suite arithm´tique. e e On place un capital C0

une entreprise CAD lui donner une valeur. 2. Quels sont les utilisateurs d'une analyse financière ? Expliquer brièvement a) le gestionnaire : L’analyse financière présente un intérêt fondamental pour le chef d’entreprise ou le directeur financier. Ex : marge bénéficiaire réduite, concurrence,… b) les créanciers : C’est intéressant pour eux de voir si l’entreprise pourra les payer ou pas. c) Banques et autres organismes de crédit : Pour voir si l’entreprise peut rembourser son prêt

ISCAE/INTEC - IAS 21/IAS29 Effets des variations des cours des monnaies étrangères 10 mars 2012 Intervenant : Mehdi EL ATTAR Expert-Comptable D.P.L.E. SOMMAIRE 1. Principes généraux 2. Opérations en monnaies étrangères 3. Conversion des états financiers 4. Informations à communiquer 1 06/03/2012 SOMMAIRE 1. Principes généraux 1. Principes généraux Normes concernées : • IAS 21 – Effets des variations des cours des monnaies étrangères • IAS 29 – Information financière dans les économies

préparation et d’établissement des états financiers Introduction au cadre conceptuel Définition et Objectifs du référentiel IFRS Objectifs du référentiel IFRS Le champ d’application des normes IFRS Les sociétés cotées Les sociétés non cotées Les petites et moyennes entreprises Le champ d’application des normes IFRS Le cas du Maroc Les états financiers : Hypothèses de base et caractéristiques qualitatives Jeu complet des états financiers Destinataires des états financiers Les hypothèses de base 1. La comptabilité

intermédiaires financiers Section III : le coût de la dette Chapitre II : l’effet de levier indicateur des stratégies d’endettement Section I  : effet levier de l’endettement Section II : la rentabilité économique et la rentabilité financière CONCLUSION INTRODUCTION La politique d'endettement d’une entreprise permet d’appréhender sa stratégie de financement,  elle dépend de critères spécifiques à l’entreprise (niveau des capitaux propres, endettement

Chapitre 4 Les comptes financiers Introduction • Enregistrés comme comptes d’accumulation, les comptes financiers retracent les opérations financières effectuées par les SIR. • NB: ce sont des comptes de flux (et non de patrimoine). • Leur construction nécessite au préalable le découpage du secteur des SF en plusieurs sous-secteurs ainsi qu’une présentation détaillée de la nomenclature financière. • Enfin, les comptes financiers des différents SI sont regroupés dans

maîtrise et au doctorat. Ses champs d’intérêts sont la théorie et la gestion de portefeuille ainsi que le financement des PME. À titre de directeur du groupe de recherche en capital de risque, il oriente ses réflexions vers l'évaluation des performances ainsi que les stratégies de retrait des placements privés des sociétés de capital de risque. Table des matières À propos de l’auteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

compte de capital Il tient compte des transferts en capital reçus de l’UE et comprend aussi diverses opérations (annulations de créances, remises de dette). LE COMPTE FINANCIER Les flux financiers. Ils correspondent aux investissements directs réalisés par les entreprises nationales à l’étranger et par les entreprises étrangères en France. Ces investissements désignent la création par une firme d’une unité de production hors de son territoire ou l’acqui sition d’au moins 10 % du capital d’une

en salaire (4) en échange du travail fourni. !!! Dans le cas d’un indépendant, celui-ci est gérant et travail dans sa propre entreprise. Il apporte un capital financier et du travail, c’est-à-dire l’organisation de l’entreprise (1), il engendre ainsi des revenus mixtes (2) dans lesquels se trouve son salaire et ses intérêts sur le revenu du capital (qui va lui permettre de rembourser ce qu’il a investie dans l’entreprise). Avec cette argent il va pouvoir acheter des bien est service de consommation

milliards contre 290 pour la décennie précédente. Entre 1998 et 2001, la France et l’Europe ont connu une croissance relativement forte et cette richesse supplémentaire a servi à accroître un peu l’investissement, à gonfler beaucoup les revenus du capital et à augmenter sensiblement la masse des salaires (essentiellement sous la forme d’embauches supplémentaires). Sous l’effet de la croissance , les entreprises se sont remises à investir, même si elles n’ont consacré à ce poste que 20% de leur valeur