Capital productif

les deux revenus nationaux, réel et nominal restent constants, la création d’un nouvel équipement engendrera un gaspillage de ressources dans un premier temps. Dans un second temps, la substitution du capital nouveau au capital existant apportera un danger pour l’economie. Finalement, le capital peut être substitué au travail s’il résulte d’une réduction volontaire de la main-d’œuvre ou de la durée de travail. Le problème est que l’emploi est une fonction du revenu national sur une courte période

Q4 – La croissance économique chinois repose sur plusieurs supports. - La Chine est passée à une économie de marché. -Les salariés ont quitté leur secteur agricole peu productif pour travailler dans les industries plus efficaces qui ont permis d’augmenter la productivité du pays. -Grâce à un taux épargne élevé, La chine a permis a l’industrie chinoise de se modernisé. -L’Etat a fait des investissements immatériels afin de former d’avantage la main-d’œuvre pour qu’elle s’adapte au progrès technique

certains ont investit des capitaux avec l’objectif d’en retirer une rentabilité financière (les capitaux investis dans les entreprises ont pour finalité d’être valorisés) entreprise organisée autour de la relation salariale Ce cours s’articule en deux parties : Première partie : Nous allons regarder comment l’entreprise s’organise par rapport à son environnement, par rapport à l’extérieur. L’entreprise contracte avec d’autres entreprises, va chercher des capitaux auprès d’actionnaires, etc

certains pays, comme l’Angleterre ou les Pays-Bas. Il développe des théories économiques sur la division du travail, le marché, la monnaie, la nature de la richesse, le « prix des marchandises en travail », les salaires, les profits et l’accumulation du capital. Il examine différents systèmes d’économie politique, en particulier le mercantilisme et la physiocratie. Il développe aussi l’idée d’un ordre naturel, le « système de liberté naturelle », résultant de l’intérêt individuel se résolvant en intérêt

gains de productivité : leurs origines, leur répartition et leurs effets sur l’économie. Les facteurs de production (travail et capital) sont les éléments dont la combinaison permet de produire. Or, entre plusieurs combinaisons productives permettant de produire les mêmes quantités, l’entreprise choisira la moins coûteuse, qui dépend du coût du travail et du coût du capital. L’efficacité de la combinaison productive dépend donc de l’efficacité des facteurs de production utilisés, appelée productivité

On a un équilibre ou un déséquilibre qui retrace à quelque nuance près l’équilibre interne entre le revenu et la dépense des agents. A cette balance des transactions courantes on ajoute le compte de capital et le compte financier qui vont refléter les mouvements de capitaux. Le compte de capital est peu important, il reflète les transfères et les acquisitions d’actifs non financiers. Le compte financier est important, on y trouvera tout les prêt qui se font à l’occasion du commerce international :

profits du capital Chapitre 10 : Des salaires et des profits dans les divers emplois du travail et du capital Section I. Des inégalités qui procèdent de la nature même des emplois. Chapitre 11 : De la rente de la terre LIVRE II: De la nature des fonds ou capitaux, de leur accumulation et de leur emploi INTRODUCTION Chapitre 1 : Des diverses branches dans les quelles se divisent les capitaux Chapitre 2: De l'argent, considéré comme une branche particulière du capital général de

d’être le meilleur possible. Il doit sans cesse chercher à s’améliorer et être le plus productif possible. Son engagement premier est le bien être de la compagnie et son travail est dédié au bon fonctionnement de celle-ci. Donc en visant l’excellence, le travailleur sera plus productif et fera augmenter le capital ($). Tout cela semble bien beau et sans problème mais ce qui est pourtant incroyable, c’est que ce capital ira directement dans les poches du bourgeois, et qu’une très faible partie sera donné

rencontre des mercantilistes . En Ecosse, il écrit "Recherche de la nature et des causes de la richesse de la nation " . Il pose la question de l'enrichissement de la nation . Plusieurs concepts : - la richesse de la nation provient d'un travail productif . Selon Smith, le vrai richesse, ce n'est pas l'or (stock) comme l'affirmait les mercantilistes, mais ce sont les biens consommables . Il s'agit d'instaurer des flux. La plus parfaite liberté est l'unique moyen de rendre cette reproduction annuelle

s'effacent peu à peu pour permettre une meilleure circulation des marchandises, des services et des capitaux étrangers. De plus, ce phénomène s'accompagne d'une libéralisation sur le plan financier. Les transactions financières ont un poids de 6 000 milliards de dollars à la fin 2005, ce qui équivaut à près de 15% du PIB (Produit Intérieur Brut) mondial. On assiste à une augmentation des flux de capitaux qui sont de plus en plus mobiles et imposants donnant une importance croissante au développement