Capital productif

repose sur une conception particulière de la monnaie : la théorie quantitative de la monnaie d’I.Fisher . Celle-ci ne sert qu’à favoriser les échanges . Ainsi , les individus ne sont pas victimes d’illusion monétaire et ne veulent pas garder des capitaux sous forme liquide ( c’est-à-dire thésauriser ) , car ils perdraient la rémunération d’un placement financier . L’épargne est donc intégralement placée ; il n’ y a donc pas de fuite du circuit économique . L’entreprise en produisant verse des revenus

de la révolution libérale US&UK 1985-1988: afflux IDE japonais vers E-U puis CEE 1987 : faillite caisses d’épargne américaines 1988 : ouverture de l’Uruguay Round 1994 : signature de l’UR (Accords de Marrakech), GATT->OMC 1995 : fuite brutale capitaux du Mexique 1997-1998 : crise asiatique 1999: 1ère grande manifestation altermondialiste (Seattle) I) Un monde sans frontières pour les investisseurs: A) La forte croissance des IDE: -Des vagues antérieures : Forte croissance au cours du

La plupart des économistes accordent beaucoup de vertus à la croissance économique : elle permet surtout de créer des emplois, vertu essentielle dans un contexte de chômage important. Si toute production résulte d’une combinaison de travail et de capital, il faut alors s’attacher à déterminer les contributions respectives de ces deux facteurs de la croissance de la production. ha yy am Toutefois, les études empiriques ont longtemps buté sur un résidu inexpliqué de la croissance de la production

DEVOIR N°1 économie générale PROGRAMME : L’économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le système productif La répartition primaire des revenus La redistribution des revenus La consommation et l’épargne Les consommations collectives et le mode de consommation 1. La science économique étudie comment les ressources rares peuvent être utilisées pour produire des biens puis comment ces biens

provient que du travail productif. Adam Smith associe le terme « richesses » à la production de marchandises, de biens matériels. N’est productif que le travail qui consiste à créer des marchandises. En effet, pour A. Smith, tout travail n’est pas créateur de richesse. Constatant que les services disparaissent dès qu’on les rend, il affirme que le travail qui est à leur origine est improductif (EX: le travail des domestiques, du souverain, des magistrats…). Il n’est pas productif car il ne crée pas

a 2 type de décisions dans l’ entreprise * Les décisions à court et moyen terme (aussi décisions stratégiques). Ex : choix de la distribution d’un produit, choix de la R&D, … * Les decisions a court terme. Ex : décision du planning productif opérationel de la semaine… On mesure l’ efficacité de la gestion selon le degrés d’atteinte du projet. On mesure l’ efficience de la gestion selon l’engagement des ressources necessaires à la réalisation du projet de l’ entreprise. La gestion

qu’en louant et utilisant cette force de travail. L’une des composantes de ce système est la recherche du profit, accumulation du capital qui s’accompagne de l’exploitation de l’homme par l’homme. Le capitalisme est fondé sur l’entreprise privée, la liberté des échanges, la recherche du profit et l’obsession de rentabilité, la possibilité d’accumulation du capital et la spéculation, la rémunération du travail par un salaire, faible intervention de l’Etat. 2. MAIN INVISIBLE La main invisible

la production par rapport aux besoins immédiats. Cette épargne est le fruit d’un “surtravail” et représente une surproduction, pour un individu comme pour l’ensemble de la collectivité. Cette épargne constitue une sorte de “fuite” pour le système productif qui ne peut écouler toute sa production. Cette épargne doit être réinjectée dans le l’économe sous forme de demande pour assurer l’équilibre entre l’offre et la demande c’est : l’investissement l 1. Karl Marx, qui considérait que les prolétaires

travail productif Le travail est central dans l'analyse de Smith : seul le travail crée de la richesse et de la valeur et donc toute richesse provient du travail productif. Smith émet toutefois deux remarques : • Tout travail n'est pas créateur de richesse ; Smith, constatant que les services disparaissent dès qu'on les rend, affirme que le travail qui est à leur origine est improductif : le travail des domestiques, du souverain, des magistrats... est utile mais il n'est pas productif car

apports du capital humain et ses limites L'économie mondiale est en train de changer. La mondialisation signifie que l'emploi se déplace d'un pays à l'autre, alors que les ordinateurs et l'état avancé des communications modifient nos façons de travailler, ainsi que la nature des travaux que nous effectuons. Aujourd'hui, la valeur du travail qualifié, complexe et créatif, croît rapidement. En conséquence, le succès économique des pays et des individus repose de plus en plus sur le capital humain