Capitale-Nationale

lui permettant d’importer des biens qu’il ne produit pas (Cx/y) Critique de la théorie de Ricardo :  Hypothèses restrictives et irréalistes : o Le travail est le seul facteur de production o Parfaite mobilité des facteurs de production sur le plan national o Il n’y a pas de chômage o Immobilité des facteurs de production entre pays  Autres limites : o Ricardo ne précise pas l’origine de la différence des coûts de production comparatifs o Spécialisation absolue de chaque économie (monoproduction) o

destin, fait des choix rationnels afin de maximiser son profit, préoccupation majeur du capitaliste, qui le conduira à une accumulation de capitaux. Cependant cette accumulation n’est possible que lorsque le système de production s’appuie sur la propriété privé, ce qui fut le cas lors des débuts de la révolution industrielle : certains possédaient le capital nécessaire a la mise en place des structures productives tandis que d’autres, n’ayant que leur force de travail, ne pouvait que produire grâce

Le libre-échange est un principe visant à favoriser le développement du commerce international en supprimant les barrières douanières et non douanières et les réglementations nationales susceptibles de restreindre l'importation des biens et des services. Au sens strict, la notion ne s'étend pas aux mouvements de travailleurs ou de capitaux1. Il s'oppose au protectionnisme et au mercantilisme. Le fondement de ce système repose dans les théories économiques classiques de la division du travail entre

particulièrement des BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine). Ces quatre pays sont considérés comme de futures grandes puissances, qui sont actuellement en plein développement. Leur poids dans l’économie mondiale augmente peu à peu. Nous pensons qu’il est capital d’étudier la manière dont ces pays vont passer de pays émergents à puissances mondiales inébranlables, car ils jouent un rôle majeur dans l’économie internationale. Cependant la transition prend du temps, sans compter qu’il est possible que certains

justifiées par l’ordre public. 1. Les libertés économiques posées comme principe L’un des objectifs de l’Union européenne est essentiellement l’intégration des marchés nationaux en un marché intérieur. Pour favoriser l’accès des États membres au marché intracommunautaire, un espace de liberté a été institué (1.1). Le droit national fixe pour sa part et depuis la Révolution française, des libertés économiques fondamentales (1.2). 1.1 Les libertés communautaires Le traité de l’Union européenne, dans

dotation en facteurs de production) III Les nouvelles approches de l’échange international Section 1 : l’ouverture des économies I) La nature des échanges internationaux Les échanges internationaux concernent les biens, les services et les capitaux. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, le commerce international a connu une croissance remarquable, croissance souvent supérieure à celle de la production mondiale. Ce développement des échanges a été favorisé par l’ouverture des frontières

économiques effectuées pendant une période donnée entre les résidents d’un pays (région, union) et le reste du monde But : Répondre aux questions suivantes : Les actifs financiers étrangers détenus par le pays ont-ils augmenté ou diminué ? Les actifs nationaux détenus par les étrangers ontils augmenté ou diminué ? Les avoirs financiers nets sur l’étranger ont-ils augmenté ou diminué ? Le pays s’est-il « enrichi » ou « appauvri » par rapport au reste du monde ? Principe : Chaque transaction entre un

Tunisie……..5 a) la méthode classique de l’analyse de la dette ………………………5 b) la méthode alternative d’analyse de la dette……………………….. 6 c) l’enjeu des intérêts dans la dette ……………………………………10 d) le poids des intérêts sur l’économie nationale……………………..13 3) dette et développement……………………………………………….15 a) le cercle vicieux de la dette…………………………………………..15 b) une charge financière qui s’alourdit…………………………………16 c) la dette, un outil de pillage des ressources locales ………………

tant financiers (inflation) que politiques (crises énergétiques). La mondialisation de l’économie marque aussi profondément la politique financière. Le cadre politique détermine également les conditions de répartition des ressources à l’échelle nationale : ajustement par les marchés ou planification centralisatrice. La structure propre de l’entreprise détermine également sa position à l’égard des autres agents économiques. Dans une économie d’échange , la fonction financière y joue un rôle prépondérant

très large, comme un mode de production fondé sur la recherche de profit. Rappelons que le profit unitaire se définit grossièrement comme le prix de vente d’une marchandise auquel on aurait soustrait le coût des matières premières, de l’usage du capital (coût des machines : amortissement), du travail (salaire) nécessaires à la production1 , des impôts sur la production et auquel on aurait ajouté les subventions à la production octroyées par les administrations publiques. A partir de cette définition