Capitalisme Et Libéralisme

2. La droite ......................................................................................................... 20 2.1 La gaullisme .......................................................................................... 20 2.2 Le néo-libéralisme .................................................................................. 22 2.3 « Nouvelle droite » ou droite de toujours ? .................................................... 23 2.4 Le « phénomène Le Pen » : une remontée spectaculaire

(grâce au travail+esprit d’entreprise). b. Liberté d’expression, de la presse (grande marge de manœuvre). c. Un pays multiculturel avec plus de 320 courants religieux. B. « L’american way of life ». 1) Le pays du libéralisme et du capitalisme : a. Les principes du libéralisme afin d’augmenter les bénéfices. b. Le « Welfare State » ou l’Etat providence. c. 1945, Truman met en place le « Fair deal » afin de lutter contre le chômage, la discrimination et d’augmenter les salaires. 2) Une société

violentes manifestations. Il fait un peu suite à la contestation du FMI que le Tiers-Monde avait engagé 20 ans plus tôt. Le débat sur le traité européen de Maastricht fut l’occasion de raviver l’opposition à un capitalisme féroce, à un libéralisme destructeur, à la 3e révolution du capitalisme, celle de la société postindustrielle. Le mouvement se teintait donc d’idéologie internationaliste (antimondialisme?) pour faire échec à une autre idéologie, la mondialisation (mondialisme?). L’évolution

d’hier et d’aujourd’hui. À en croire les théories de ses grands auteurs, le libre jeu des intérêts individuels suffit à fonder et à réguler une société. En effet, avec son concept de la « main invisible », Adam SMITH, l’un des pères fondateurs du libéralisme, préconise une intervention de l’État aussi limitée que possible, et évoque ainsi une société régie par le « tout économique », c’est-à-dire une société qui s’autorégule naturellement par les marchés.

- 19 ème siècle : Courant marxiste : capitalisme industriel traverse une crise - 20 ème siècle : courant Keynesien : JM KEYNES : crise boursière, Keynes développe l'économie mixte (capitalisme social) • 1- Le courant libéral classique le 18ème siècle est marqué par la révolution industriel : invention des machines (à tisser, chemin de fer …) c'est le début du capitalisme car la propriété privé des moyens de production est reconnue . Capitalisme basé sur la propriété qui est un sujet

éthiquement aveugles. Le courant de pensée évoqué ici est le libéralisme intégral : il ne dépend ni de l’état, ni des marketers de changer l’ordre social mais au consommateur souverain (informé, disposant d’un pouvoir d’achat et immunisé contre les instruments qui le soumettent à la tentation) de faire ses choix dans un contexte de libre concurrence afin de bénéficier du meilleur produit au meilleur prix. Le développement du capitalisme : quatre thèses contradictoires : Selon Hirshman, quatre thèses

1     Les théories du marxisme au XIXeme siècle                   1 Sommaire Introduction………..………………………………………………p.3 La vision Marxiste du capitalisme………....……p.4 Les classes sociales L'aliénation des travailleurs L'accumulation du capital L'idéal du marxisme……...p.7 Une révolution vers une société de coopération et de gratuité L’internationalisme L'état détenteur des moyens de production La méthode……………….p.9 Le libre exercice

conjoncture économique pour s’approcher le plus possible d’un état de plein emploi Se fait par les mécanisme de la politique budgétaire et la politique monétaire. 3. Les 2 conceptions de l’État moderne c) Le Libéralisme (Après 1er guerre mondiale) C’est un système politique qui prône une action limitée de l’État dans le champ économique et social Le marché est bon l’état est mauvais. d) La social-démocratique (Après crise de 1929) L’inverse

développement du capitalisme industriel (Révolution : Fin du 18 ème : Royaume uni). Tout d'abord, les physiocrates proposent une vision de l'économie, considérée comme un système, ce qui constitue une première étape pour faire de l'économie une science autonome. Ceux-la défendent ainsi une perspective libérale de l'économie selon laquelle le souverain ne doit pas perturber « l'ordre naturel » (Le roi ne doit pas intervenir dans l'économie, elle doit se réguler toute seule). 12) Mais ce libéralisme attribue

L'avenir du libéralisme Pour nombre de commentateurs, les milliers de milliards de dollars et d'euros mis sur la table par les Etats et les banques centrales pour sauver le système financier mondial, les nationalisations partielles ou totales de banques, les appels à un "nouveau Bretton Woods" et les plans de relance budgétaire tous azimuts ont signé l'arrêt de mort du libéralisme économique. C'est peut-être aller un peu vite en besogne. Oui, une bataille diplomatico-économique est engagée depuis