Caprice De Marianne Romantique

libertin Octave dans les Caprices de Marianne. Fantasio se réalise en devenant le bouffon du roi dont il a revêtu les habits. Dans Lorenzaccio, c’est Lorenzo lui-même qui se dédouble avec sa face d’idéaliste et sa face de débauché, le crime étant la seule façon de retrouver sa pureté primitive et son unité « Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma vertu ? » dit Lorenzo ; -la trahison de la parole L’amour est, plus que chez tous les romantiques, le sujet de Musset ;

Il entreprend des études de droit et de médecine, qu’il abandonne peu après. A partir de 1828, il fréquente le cénacle (=salon pour échanger les idées romantiques). →1ère comédie en prose en 1830 : échec, « La nuit vénitienne » →écrit des pièces de théâtre (1834 : Fantasio, Lorenzaccio, On ne badine pas avec l’amour, Les caprices de Mariane) →Il rencontre George Sand (une italienne) et rompent en 1835. →Bibliothécaire au ministère de l’Instruction publique et est élu à l’Académie française

A) Biographie Alfred de Musset (Paris 1810- Paris 1857), poète et dramaturge romantique. Brillant élève au lycée Henri IV, il commence dès 1824 à écrire des vers. Après s'être essayé à la médecine, au droit, au dessin, à l'anglais, au piano, au saxophone, il se consacre très vite à la littérature. En 1828 il est introduit dans le Cénacle Romantique ( réunions d'artistes et de jeunes écrivains romantiques rassemblés autour de Charles Nodier et Victor Hugo, afin d'échanger leurs idées) : il

études. En 1819 il rentre au lycée Henri Vl. Puis en 1827 il obtient le premier prix de dissertation française au concours général, et se passionne pour le théâtre. Un an plus tard Alfred de Musset est reçu au baccalauréat. Il fréquente le cénacle romantique chez Victor Hugo et chez Charles Nodier. A l'age de 19 ans il publie les Contes d'Espagne et d'Italie qui remportent un succès immédiat. Après l’échec de sa pièce La Nuit Vénitienne, en décembre 1830, il s’éloigne peu à peu de la scène. Cependant

Alfred de Musset, Lorenzaccio : • Auteur : né à Paris, le 11 décembre 1810. Il fréquenta le salon de Charles Nodier à l'Arsenal et fut un des premiers romantiques. Poète, il publia les Contes d'Espagne et d'Italie ; ses poésies les plus célèbres sont Rolla et les Nuits ; il fit jouer des Comédies et des Proverbes : Le Chandelier, On ne badine pas avec l'Amour, Il ne faut jurer de rien, Lorenzaccio sont restées au répertoire du Théâtre-Français ; il écrivit aussi de jolies nouvelles en prose

Musset Les Caprices de Marianne, I, 2   Coelio est un jeune Napolitain amoureux de la belle Marianne, épouse du juge Claudio. Paralysé à l’idée de déclarer ouvertement son amour à l’objet de ses pensées, il utilise un entremetteuse, Ciuta, comme intermédiaire, puis sollicite l’aide de son ami Octave dans ce même but. A la scène 2 de l’acte I sa mère prépare chez lui un dîner à l’occasion duquel elle voudrait lui faire rencontrer une femme de son choix à elle. Coelio entre, Hermia sa mère lui reproche

libérer des règles classiques : L'écrivain romantique réclame la liberté de création. Au théatre, il abandonne la règle des trois unités. En poésie, il trouve dans les formes poétiques médiévales une nouvelle source d'inspiration. Dans le roman, il se concentre sur le développement des états d'âme d'un héros inquiet, déchiré devant le monde moderne. -Ensuite le romantisme sert à affirmer l'expression de l'émotion et du lyrisme : L'écrivain romantique exprime avant tout les passions du moi. Il

prise entre les exigences de l’histoire et les premières aspirations romantiques. - Les exigences de l’histoire. Ce sont d’une part, les écrits liés aux affrontements politiques révolutionnaires. D’autres part, la littérature officielle de l’empire fortement inspiré comme son maître, par une nostalgie classique. Seul héritage de l’empire, les monuments de style qu’on appellera néo-classique. - Les 1ères aspirations romantiques. Elles s’expriment souvent dans une prose narrative mettant en scène

(« arc-en-ciel »…)… Conclusion : Très beau passage poétique qui ouvre la longue confession de René et qui permet aussi un autoportrait élégiaque tout en nuances. On assiste à la naissance du héros romantique qui inspirera de très nombreux auteurs, par exemple Musset et son Coelio des Caprices de Marianne. Les deux personnages paraissent des frères tant leur mal de vivre, le fameux « mal du siècle », est ressemblant. Autres plans possibles : Suzon : A. René, un héros complexe 1. Les

Le mal du siècle: Le mal du siècle caractérise l'état d'esprit des auteurs romantiques au début du XIXème siècle. Ce mal du siècle se représente par un état de malaise, de mélancolie, un sentiment d'impuissance et d'instabilité qui résulte du décalage entre les espoirs et la réalité historique. Cette expression dénote un sentiment de nostalgie, l'idée que c'était mieux avant, une sorte de mélancolie généralisée. Pour Chateaubriand cela concerne plutôt le mal de vivre: un problème personnel