Caprice des Dieux

raison, et la mise en place de ce qu’il appelle Béatitude (aponi et ataraxie). Une fois l’accès à celle-ci assuré, tout ce qui m’arrive dans ma vie me permettra d’être heureux, même la souffrance car elle ne m’inquiètera plus. Je serais alors « tel un dieux parmi les hommes », car satisfait de tout, et jamais troublé. Epicure ne cherche pas tant à me rendre heureux qu’à me garantir l’accès inconditionnel au bonheur, que je trouverai en suivant ensuite mon chemin, mes inclinations, mes goûts ou la vie

raison, et la mise en place de ce qu’il appelle Béatitude (aponi et ataraxie). Une fois l’accès à celle-ci assuré, tout ce qui m’arrive dans ma vie me permettra d’être heureux, même la souffrance car elle ne m’inquiètera plus. Je serais alors « tel un dieux parmi les hommes », car satisfait de tout, et jamais troublé. Epicure ne cherche pas tant à me rendre heureux qu’à me garantir l’accès inconditionnel au bonheur, que je trouverai en suivant ensuite mon chemin, mes inclinations, mes goûts ou la vie

raison, et la mise en place de ce qu’il appelle Béatitude (aponi et ataraxie). Une fois l’accès à celle-ci assuré, tout ce qui m’arrive dans ma vie me permettra d’être heureux, même la souffrance car elle ne m’inquiètera plus. Je serais alors « tel un dieux parmi les hommes », car satisfait de tout, et jamais troublé. Epicure ne cherche pas tant à me rendre heureux qu’à me garantir l’accès inconditionnel au bonheur, que je trouverai en suivant ensuite mon chemin, mes inclinations, mes goûts ou la vie

consultés le moins. - 19 -SCÈNE III. Agrippine, Britannicus, Narcisse, Albine. AGRIPPINE. Ah, Prince ! Où courez-vous ? Quelle ardeur inquiète Parmi vos ennemis en aveugle vous jette ? Que venez-vous chercher ? BRITANNICUS. Ce que je cherche ? Ah dieux ! 290 Tout ce que j'ai perdu, Madame, est en ces lieux. De mille affreux soldats Junie environnée S'est vue en ce palais indignement traînée. Hélas ! De quelle horreur ses timides esprits À ce nouveau spectacle auront été surpris ! 295 Enfin on me

- Bergson : fonction fabulatrice : fabuler = inventer des personnages grâce auxquels on apprend à se connaître (ex : perso qu’on déteste)« les hommes ne sont pas qu’intelligents, ils ont aussi des fonctions fabulatrices » = capacité à inventer des dieux et à y croire- un enfant à qui on ne raconte pas d’histoires passe à côté de son enfance ; notre vie affective et sentimentale dépend des histoires vues/lues- Kant : philosophe allemand des lumières (XVIIIe) * l’idée de la moralité c’est

Takemikazuchi (ja) contre Takeminakata (ja), deux dieux anciens lors d'un combat de sumo. C'est ainsi que le peuple mené par Takemikazuchi obtint la possession des îles japonaises et que fut fondée la famille impériale dont est issu l'actuel empereur1. Mis à part cette légende, il semble que les combats sumo soient apparus il y a près de 1 500 ans, sous forme de rituels religieux shinto : des combats sumo ainsi que des danses et du théâtre étaient dédiés aux dieux (kami) en même temps que des prières pour

d’impensable pour un prince troyen, un fait qui doit forcément être puni par les dieux. De la même manière que Paris, Dom Juan vit de l’amour des femmes plutôt que de celui de Dieu, mais ce qui rachète Paris c’est sa fidélité envers Hélène et la beauté de celle-ci qui conduit à justifier n’importe quel acte (on peut ajouter qu’Hélène est un présent fait à Paris par la déesse Aphrodite, donc c’est un cadeau des Dieux que Paris doit chérir). Or, le seul présent que Dom Juan reçoit de Dieu, c’est sa

lecteur lʼimpression que les personnages menent l'action,mais avec lʼintervention vers 19 du narrateur,va tourner sous la forme dʼun vautour et non des coqs. La moral donne un sens au récit,la formule au vers 29 suggère lʼidée que nous sommes au caprice du hasard. Une inconstance de lʼopinion publique est représenté par les femmes qui sont toujours au côté du vainqueur au vers(9et 10,27 et 28) Il y a une satire de la fable accusée de ne pas réagir rationnellement. Conclusion:Cʼest un récit parodique

de Phèdre ? 5. De qui Hippolyte est-il amoureux ? 6. Quels sont les obstacles à l’amour d’Hippolyte ? 7. Comment s’appelle le gouverneur d’Hippolyte ? 8. Combien la pièce compte-t-elle d’actes ? 9. Quels personnages meurent dans la pièce ? 10. Des dieux interviennent-ils dans l’action ? Lesquel(s) ? 9 Classiques & Cie    Guide pédagogique  Séance 4. Maîtriser la construction de la pièce • Documents : – piste 1, p. 129-141 ; – « Vers la question d’écriture » (p. 140-141). • Afin d’aider les élèves

révélation du futur tyran que Racine reconnait comme terrifiant. Cette préface pose donc la question du monstre et de comment nait un monstre. Le mot monstre vient du latin monstrum et signifie un fait prodigieux et en même temps un avertissement des dieux. En français moderne, il peut désigner une personne effrayante par son caractère, son comportement, spécialement sa méchanceté. Dans quelles mesures peut-on voir en Néron le monstre en puissance que décrit Racine ? Ou plutôt, jusqu’à quel point Racine