Caprice des Dieux

CUBA 2/ LA DIVERSITE DE LA POPULATION ESPAGNOLE 3/LA CRISE DE CONSCIENCE 4/L’ESPAGNE LITTERAIRE DU DEBUT DU SIECLE Deuxième partie : l’Esperpento, de Quevedo à Valle-Inclán 1 /LA CARICATURE ET LA SATIRE SOCIALE DANS L’HISTOIRE 2/LES CAPRICES DE GOYA, PREMICES DE L’ABSURDE 3/VALLE INCLAN, DU MODERNISME à L’ESPERPENTO 4/ L’ESPERPENTO : FARCE GROTESQUE OU TRAGEDIE ? Troisième partie : Les miroirs concaves dans « Lumières de Bohème » et d’autres pièces. 1 / « NOTRE TRAGEDIE »

particulière du point de vente + favorise les ventes ambiance chaleureuse opération facile à monter, ne nécessitant pas un gros budget choix des produits difficiles RETENU ACTIONS DIRIGEES CA  PROJET 2 Promotions flash Ex : Caprice des Dieux, pâtisserie… impact : recherche des petits prix ambiance différente (micro) marquant bien l’événement festif + pas possible à monter : organisation difficile augmentation des volumes difficiles à évaluer - REJETE  PROJET 3

l’on a réuni les différents objets antiques exhumés des fouilles de Pompéi et d’Herculanum. Ils s’étaient répandus à travers les salles et regardaient les mosaïques, les bronzes, les fresques détachés des murs de la ville morte, selon que leur caprice les éparpillait, et quand l’un d’eux avait fait une rencontre curieuse, il appelait ses compagnons avec des cris de joie, au grand scandale des Anglais taciturnes et des bourgeois posés occupés à feuilleter leur livret. Mais le plus jeune des trois

et nos grands parents ont été élevés. L’objectif de cette pédagogie est de faire obéir l’enfant en toute circonstance et ce dès le plus jeune âge, même nourrisson. Le « bon » pédagogue sait faire oublier à l’enfant toute forme d’entêtement ou de « caprice ». A un point que l’enfant ne se souviendra pas d’avoir eu une quelconque volonté. Dans son livre Schwarze Pädagogik (1977), Katharina Rutschky recense des textes au sujet de cette éducation. Toutes les techniques traditionnelles de conditionnement

judéo-chrétienne est marquée par la désobéissance originelle d’Adam et Ève qui valut aux parents de l’humanité et à leurs descendants d’être exclus du paradis terrestre. Montesquieu a donc pris soin de rendre son peuple des Troglodytes « chéri  des  dieux ».  « Dès  qu’il  ouvrit  les  yeux  pour  les  connaître,  il  apprit  à  les craindre, et la Religion vint adoucir dans les mœurs ce que la Nature y avait laissé de trop rude ». Fénelon note que les habitants de la Bétique ont gardé leur pureté originelle

qui lui permettront d'éviter la confusion, le trouble et le malheur. Songeons ici au tétrapharmakon d'Épicure, c'est-à-dire au « quadruple remède » : les biens sont faciles à obtenir, les maux faciles à éviter, la mort n'est pas à craindre et les dieux ne sont pas à redouter. Pour les épicuriens, en effet, tout plaisir est en soi un bien, une qualité insusceptible de degrés ; en revanche, il existe plusieurs genres de désirs. Il faut, en effet, distinguer les désirs naturels et nécessaires (boire

le "jus". (droit garantit par les dieux; et le droit humain). Dans cette vision, le juge à une fonction qui l'assimile à une fonction de prêtre. Dans sa forme primitive, il est chargé de transposer le "fas" dans l'ordre humain, de rendre les lois divines traductibles, utilisables aux hommes. Ce qui explique que tous les interdit religieux (les jours fastes et les jours néfastes)donne une solénité de la procédure. Fonction intermédiaire entre les hommes et les dieux. La procédure est une sorte de rite

animalier subsiste mais se rétrécit. La nouveauté est l’arrivée du monde végétal, soit seul [« le gland et la citrouille ». 4] , soit dans ses rapports avec les autres règnes [ « Rien de trop ». 11]. On assiste à la cohabitation des hommes et des dieux [« Jupiter et le rossignol. 13] , à la métamorphose d’une souris en fille [7] Le Discours à Madame de la Sablière est un plaidoyer vigoureux de l’existence de l’âme des bêtes. - 6 fables relèvent des animaux (2, 3, 10, 14, 17 et 18) 6 sont consacrés

accomplir vos souhaits Et le faire venir jusque dans ce palais, J’irai plus loin encore ; et pour faire connaître Qu’il a tort en effet de me nommer un traître, Et que je ne suis pas un tyran odieux, Que l’on fasse parler et le peuple et les dieux. Si le peuple y consent, je lui cède ma place ; Mais qu’il se rende enfin, si le peuple le chasse. Je ne force personne, et j’engage ma foi De laisser aux Thébains à se choisir un roi. Scène 4 Jocaste, Étéocle, Antigone, Créon, Olympe Créon

contingence, dans lequel la norme du droit est simplement tirée du fait, c’est-à-dire des traditions et des mœurs en vigueur. Un règne où la loi, dépourvue de toute nécessité intrinsèque ou même extrinsèque, suit futilement « les fantaisies et les caprices des Perses et Allemands », déplore Pascal. Universellement divers et toujours inconstant, le droit positif « a ses époques ». Qu’on songe, par exemple, que, sous le régime de Vichy, le droit français imputait à crime et punissait de mort la pratique