Capside

médiation cellulaire (CMI), principalement en éliminant les lymphocytes T «CD4» en se fixant sur leurs récepteurs, mais aussi sur les macrophages, et d'autres cellules, tel que les cellules nerveuses. Le virus peut alors pénétrer (avec son génome et sa capside) à l’intérieur de la cellule pour s'y multiplier et provoquer la mort progressive des cellules hôtes. L'apparition d'infections opportunistes et de certains cancers est dû à l'immunodépression causé par le virus. Ces infections opportunistes sont

maladies provoquées par d'autres virus, bactéries, parasites et champignon . La Structure du virus du sida : Le virus du SIDA se compose d'un matériel génétique (ARN) accompagné de quelques protéines, le tout contenu dans deux "coques" protéiques (les capsides), elles-mêmes entourées d'une membrane, portant des protéines spécifiques (cette membrane et ces protéines forment l'enveloppe du virus).Le gémone du virus du SIDA se compose d'un ARN simple brin de 9181 nucléotides. Il comporte trois gènes principaux

: 3.4 Le cas particulier des virus Structure : Les virus constituent un 6ème règne. Ils possèdent une organisation NON CELLULAIRE. Ils se caractérisent par la présence  Un ACIDE NUCLEIQUE (ADN ou ARN): support de l’information génétique.  Une CAPSIDE PROTEIQUE : qui protège l’acide nucléique.  Certains virus possèdent en plus une ENVELOPPE. Taille : entre 0,01 et 0,1 µm Particularités des virus : Ils sont incapables de produire de l’ATP => ce sont donc incapables de produire seul leurs constituants

des cellules examinées. Il est aussi possible de détecter les protéines virales après électrophorèse sur gel de polyacrylamide et transfert sur une membrane de nitrocellulose : on parle alors de « Western blot »(FIgUrE: Western blot BVQ protéine de capside). cette technique permet notamment, outre la détection de la protéine virale, que l’on peut détecter au moyen d’anticorps, de mettre en évidence son poids moléculaire. cette technique est également utilisée pour la recherche d’anticorps contre des

ils sont en général des germes pathogènes. C’est un parasite intracellulaire obligatoire. Il est composé d'une ou plusieurs molécules d'acide nucléique (soit d'ADN, soit d'ARN, simple ou double brin) entourées d'une coque de protéines, appelée la capside, et parfois d'une enveloppe. Il ne possède en général aucune enzyme pouvant produire de l'énergie. Les virus sont le plus souvent de très petite taille (comparée à celle d'une bactérie, par exemple), en règle générale inférieure à 250 nanomètres

antigènes véhiculés par le sang. Les cellules B de la ZM ont une expression élevée des IgM et des récepteurs du complément Martin F, Kearney JF. "Marginal-zone B cell" .Nat Rev Immunol. 2, 323-35.(2002) 3 - Réponses B T-I de type I Certaines capsides virales ont des structures quasi-cristallines, et les structures rigides hautement répétées n'existent pas dans l'organisme. Bachmann MF, Zinkernagel RM "Neutralizing antiviral B cell responses". Annu Rev Immunol.15, 235 (1997) C - L'ACTIVATION

fragments de génome avec le bras droit et gauche du génome du phage. Quel traitement appliquerezvous ensuite sur le mélange d’ADN pour produire les phages recombinants ? A. Incubation du mélange d’ADN avec un extrait contenant les protéines de capside du phage ƛ. B. Incubation du mélange d’ADN avec les protéines précoces du phage ƛ. C. Transformation de bactéries avec le mélange d’ADN. D. Incubation du mélange d’ADN avec l’ADN polymérase du phage ƛ. E. Incubation du

et intervenant dans le processus de transformation (E5, E6, E7) et d’immortalisation cellulaire (E6, E7). Le cadre tardif de lecture représente environ 40% du génome et est composé de deux ORF (L1, L2) codant pour les protéines de structure de la capside. La région non codante (NCR) comprenant 400 à 1 000 nucléotides, elle contient un site ori (site d’origine de la réplication virale), les promoteurs des gènes précoces et des séquences de régulation de la réplication et de la transcription. Figure

toutes les pièces. 1.4.2 Statut particulier des virus 1.4.2.1 Définition d’un virus Un virus se définit comme un fragment de matériel génétique ADN (Exemple: Herpèsvirus) ou ARN (exemple : VIH), mais jamais les deux, entouré d'un manteau protéique (capside) et dans certains cas d'une enveloppe membranaire additionnelle. 1.4.2.2 Un virus est-il une cellule ? Non un virus n’est pas une cellule. Mais il possède des macromolécules retrouvées dans les cellules et qui lui confèrent des propriétés caractéristiques

(glycoprotéines) associées à une molécule de glucide et permettant la reconnaissance et la fixation du VIH sur sa cellule cible La présence ou l’absence de membrane chez certains virus est déterminante dans la transmission de la maladie. - une capside -> coque de protéines qui renferme le matériel génétique et qui s’ouvre lors de la fusion du virus avec sa cellule cible, pour libérer le génome viral dans le cytoplasme de cette dernière - un matériel génétique sous forme de deux brins d’ARN séparés