Capside

polysaccharides (chaînes polymères d'acides aminés) (chaînes polymères de nucléotides) (chaînes polymères de glucides simples) ▸ édifices macromoléculaires (assemblages de macromolécules) ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ribosomes systèmes enzymatiques oligomères capsides virales systèmes membranaires ... structure 3D des molécules ► rôle fondamental dans les systèmes biologiques ► base de tous les mécanismes de reconnaissance entre partenaires moléculaires. ► interactions intermoléculaires guidées par

répliquer de façon indépendante par rapport au chromosome, mais non indépendamment de la cellule hôte. Sous la forme extracellulaire, les virus sont des objets particulaires, infectieux, constitués au minimum d'un acide nucléique englobé dans une capside de protéines. Virémie vir : virus émie : sang Virulence Pouvoir pathogène détenu par un germe et lié à sa capacité à se multiplier dans un organisme et y sécréter des toxines. Page 21 présence d’un virus dans le sang nombre de particules virales

gp41 et la glycoprotéine de surface gp120 qui recouvre la première. Le complexe gp41/gp120 est habituellement retrouvé sous forme trimérique. Sous l’enveloppe, une matrice formée de protéines p17 entoure une capside de forme conique constituée de protéines p24. À l’intérieur de cette capside se trouve la nucléocapside et le génome viral composé de deux copies d’ARN simple brin à polarité positive (Duriez 2011). Les particules virales contiennent aussi certaines enzymes dont une transcriptase inverse

utilise celui de la cellule hôte pour réplication. Parasite intracellulaire obligatoire Structure du virus III‐ Virus   Virus   2) Structure du virus Génome Capside Nucléocapside ± Enveloppe = éléments cte III‐ Virus   Virus   2) Structure du virus (1) 1/ Acide nucléique ADN ou ARN 2/ La capside sous unités protéiques  Symétrie cubique = icosaédrique 20 faces 12 sommets  30 arêtes III‐ Virus   Virus   3) Multiplication Virale • Intracellulaire  détournement de la machinerie 

virus Ebola peut être linéaire ou ramifié, long de 0,8 à 1 μm mais pouvant atteindre 14 μm21 par concatémérisation (formation d'une particule longue par concaténation de particules plus courtes), avec un diamètre constant de 80 nm. Il possède une capside nucléaire hélicoïdale de 20 à 30 nm de diamètre constituée de nucléoprotéines NP et VP30, elle-même enveloppée d'une matrice hélicoïdale de 40 à 50 nm de diamètre constituée de protéines VP24 et VP40 et comprenant des stries transversales de 5 nm22

enzymes Eco RI et Xho I dans notre exemple), puis de propager nos ADNc soit en transformant directement des bactéries (dans le cas du vecteur plasmidique) soit en encapsidant nos ADN de phages contenant maintenant notre population d'ADNc dans des capsides de phages vides. Les particules phagiques sont alors utilisées pour infecter des bactéries et ainsi propager notre population de clones d'ADNc. La banque d'ADNc représentent donc une copie fidèle de l'ensemble des gènes activement transcrits, donc

Page 55 Un virus est constitué : 1) d’un acide nucléique, soit de l’ADN ou l’ARN. l’Ensemble formé par le matériel nucléaire forme le coré. 2) d’une enveloppe protéique appelé capside, formée d’unités protéiques semblables. La capside + le matériel génétique (ARN ou ADN) formant un ensemble appelé nucléo- capside 3. Classification On distingue : a) Les virus des végétaux comme la mosaïque du tabac. Ils sont formés en général par une molécule d’ARN. b) Les virus des bactéries Ce sont

victimes, ce «poison» n'est visible qu'au microscope électrique car celui-ci ne mesure que entre 12 et 300 (10^-9) nanomètre. Il est constitué d'acide nucléique, c'est généralement un germe pathogène. Cette structure complexe est enfermé dans une capside (coque de protéine), ce tout est appelé nucléocapside. Un virus ce situe en quelque sorte à la limite matière inerte, en dehors d'une cellule hôte, et matière vivante, c'et à dire que son organisme n'est pas vivant et qu'il ne possède pas de métabolisme

d’un acide nucléique protégé par une capside, l’ensemble formant une nucléocapside. Il a +/- une enveloppe. La multiplication intra cellulaire est indispensable et la survie dans le milieu extracellulaire est limitée. Classification des virus : on peut les classer selon leur forme, les pathologies qu’il peuvent engendrer selon son acide nucléique (ADN simple ou double brin ou, ARN linéaire ou segmenté). On peut aussi les classer selon la symétrie de sa capside, selon la présence d’une enveloppe

(voir figure 1) Les Myxoviridae (ex le phage T4), les Siphoviridae et les Podoviridae (Phage T7), ont la particularité de présenter une tête ou capside à symétrie cubique et une queue à symétrie hélicoïdale. La tête de nature protéique, icosaédrique (20 faces) est formée de capsomères (unités morphologiques de la capside) peu visibles et contient une molécule unique d’ADN double brin, linéaire. La queue est, également, de nature protéique, est constituée d’un cylindre central