Caracteristiques De La Science Fiction

LE ROMAN Les caractéristiques du roman 1. Classer et définir un roman a. Par sa forme Le roman traditionnel : privilégie le passé, l’énonciation à la troisième personne et le point de vue omniscient Le roman autobiographique : récit à la première personne, histoire du narrateur Le roman à tiroirs : le récit principal est interrompu par des récits secondaires selon la technique de l’enchâssement b. Par son thème dominant - Le roman d’analyse : étude des passions - Le roman d’apprentissage : inexpérience

Le réalisme Pour le prof du français : Année scolaire : 2010/ 2011 Sommaire : I. La définition du réalisme II. Les types du réalisme III. Le réalisme littéraire IV. Les caractéristiques de ce réalisme V. La définition de la nouvelle VI. La différence entre un conte et une nouvelle.  I. La définition du réalisme : Le réalisme est un mouvement artistique moderne apparu en Europe dans la seconde moitié du XIXe siècle, notamment en Italie et en Allemagne. Celui-ci naquit

« récit à l’état pur » 1.1. Aristote contre Platon 1.2. Le récit comme restitution inexacte 1.3. L’héritage benvenistien : opposition récit/discours 2. Fiction et diction : le statut ontologique de l’événement 2.1. Séparation histoire/récit 2.2. Noyaux de cerises et événementialité 3. Les impasses du réalisme genettien 3.1. Le récit de fiction comme réduplication d’une réalité antécédente 3.2. Copie vs récit : vérité vs approximation Gérard Genette s’attache, dans un chapitre fameux de Figures

critique de la société anglaise mais aussi européennes du 16° siècle. Les vertus de l’Utopie qui sont en quelques sortes critiques du monde réel, bien qu’étant œuvre de fiction, l’Utopie affirme que l’Homme peut influer sur son destin. 3) L’Utopie à travers les siècles Cf Bibliographie polycopiée II. Les caractéristiques de l’Utopie. 1) L’organisation politique, économique et sociale L’Utopie a une double fonctions dans des discours politiques : 1. Proposer une

romans qui constituent un monde. Ex : l’expression « entrer en Stendhalie » de Julien Gracq, ou le titre La Comédie Humaine de Balzac, œuvre dans lequel d’ailleurs on voit reparaître dans chaque épisode des personnages déjà connus. 2- La fiction rapporte des faits et fait évoluer des personnages qui sont trop éloignés du réel Il est impossible de s’identifier pleinement à un héros, parce qu’il est trop différent de nous en étant parfait. De la même façon, le monde tel qu’il est représenté

moyen de l’écriture l’illusion de la réalité. • Le but essentiel du roman traditionnel est de se rapprocher du réel (l’écriture n’est qu’un moyen pour arriver à ce but). • Le roman traditionnel veut rendre le personnage vraisemblable. • La FICTION du roman traditionnel est souvent réaliste.  • La NARRATION du roman traditionnel offre les éléments suivants : un écriture, des procédés utilisés pour « faire vrai » même si l’écriture, le style sont très beaux (cf. Stendhal, Flaubert, Balzac

simple sur une durée brève. Elle se conclut sur une fin surprenant et rapide , la chute. Thèmes abordés : Au Moyen-Age, ce genre littéraire était proche du roman et d'inspiration réaliste. De nos jours les thèmes abordés se sont élargie : science fiction, policier, fantastique... Traitement de la nouvelle : La nouvelle a comme le conte ou le roman un schéma narratif (Situation initiale, élément déclencheur, déroulement, dénouement et chute). Elle est aussi composé d'un schéma actanciel, chaque

telle qu’elle est, en s’inspirant des progrès de la science, surtout de la théorie de l'évolution des espèces (travaux de Buffon ou Geoffroy de St Hilaire). • Ex : Balzac commence le roman Illusions perdues par une présentation des nouvelles presses à imprimer. Flaubert, dans Madame Bovary, aborde la question du progrès à travers le personnage du pharmacien Homais et choisit des personnages parmi les classes défavorisées. • Ses caractéristiques : le réalisme veut reproduire avec exactitude ce qui

Laruelle, Jean-Noël Missa, Juliette Simont, Isabelle Stengers, Maurice Weyembergh, Philosophie et science-fiction, Vrin, Paris, 2000, 156 pp. Le présent ouvrage est un travail collectif cherchant à illustrer les liens, a priori plus indéfectibles que l’on ne pense, entre la science-fiction (SF) et la philosophie. Plus précisément à esquisser « une réflexion sur le sens et l’intérêt de la science-fiction (littéraire et cinématographique, c’est-à-dire narrative) pour la philosophie ». Le phénomène culturel

fait partie intégrante de l’éducation lorsque celle-ci a recourt à la fiction et aux personnages inventés pour faire passer un message éducatif. Considérée comme un genre argumentatif moins sérieux que les autres formes d’argumentation par les adultes, ces derniers, portant plus d’attention aux faits réels, oublient le goût du récit fictif mais le retrouvent cependant au théâtre, au cinéma ou dans le roman. Une œuvre de fiction réussi-t-elle à persuader et convaincre le lecteur ? Dans un premier