Caractéristiques Du Rire

travers La farce de Maître Pathelin ou la Farce du Cuvier qui mettent en scène des personnages ridicules et grotesques, et utilise les ressorts scéniques comiques de la commedia dell’arte pour contribuer au développement de comédies nouvelles dont le rire devient l’instrument privilégié d’une critique lucide de la société. Ainsi, c’est à la lumière de deux œuvres issues de la seconde moitié du dix-septième siècle, âge d’or du classicisme que nous pourrons aborder l’étude du comique et de ses procédés

pièce afin de mettre en scène une réalité (défaut, par exemple) en grossissant les traits, en insistant sur le ridicule, sur l’absurde. Ex : Molière veut faire prendre conscience des défauts par le rire. Développer cette idée à partir de cet auteur ou d’un autre. Ex : caricature de l’avare, il fait rire et donc le spectateur prend conscience de son propre défaut. B. L’habit fait le moine • Indicateur social --> l’habit fait le moine. Dom Juan : quand Sganarelle veut jouer au médecin, il se déguise

scènes 1 et 2 − L'entrée d'Harpagon : Acte I, scène 3 − Le conflit Euclion et Strobile, Acte IV, scène 5; La Marmite, Plaute (étude comparative) − Les scènes de conflits : Actes I, 3 et 4 ; II,2 ; III, 2 ; IV,3 et 5 (extraits) − Les procédés pour faire rire : Actes I, 3 et 4 ; II, 1 et 5 ; III, 1et 5 (extraits) − Le monologue d'Harpagon : Acte IV, scène 7. − Le monologue d'Euclion, Acte IV, scène 9; La Marmite, Plaute (étude comparative) − Le quiproquo et le dénouement : Acte V, scènes 5 et 6. Etude de

part, on l'associe au rire: est dit comique ce qui déclenche le rire, mais la comédie ne fait pas toujours rire. La registre comique dont nous parlons ici correspond au second sens, même si certains extraits qui l'illustrent sont eux-mêmes issus du théâtre. Analyser les raisons pour lesquelles rient l'auditeur d'une histoire drôle, le lecteur d'un texte humoristique, le spectateur d'un sketch est une tâche difficile: parfois, ce qui fait rire les uns ne fait pas du tout rire les autres... On peut

désir de voyage, de l’insouciance et de la jeunesse. Il utilise souvent des rejets, et illustre souvent ses poèmes avec des éléments de la nature (« Ophélie », « Ma Bohème », « le dormeur du Val ») pour les rendre plus poignants. Enfin, une des caractéristiques des poèmes de Rimbaud réside dans le fait qu’il n’hésite pas à mêler des expressions soutenues avec des expressions plus familières (« Au cabaret-vert »). Ce recueil se concentre sur la conception qu’avait Rimbaud de la jeunesse. En effet

ressortir les méfaits ou le ridicule. L’humour noir, souvent grinçant, consiste à rire des sujets graves (maladies, mort, guerre…) pour tenter de dépasser la souffrance qu’ils génèrent. * L’ironie consiste à dire le contraire de ce qu’on veut faire entendre, ce qui suppose la complicité du destinataire chargé d’interpréter le véritable sens des propos. Le plus souvent, l’ironie vise non seulement ç faire rire mais aussi à critiquer des personnages ou des situations. * La veine satirique

(art du mime). 2. Deuxième partie. Charlot est un personnage comique, émouvant, maladroit, et devient fou dans ce film. Ses mimes sont drôles, il est souvent une victime. Mais malgré ses malheurs il reste positif. Il a une silhouette caractéristique : Il porte un chapeau melon, une moustache, un vieux costume trop grand, une canne, des chaussures trop grandes qui rappellent un clown et il a une démarche en canard. Il y a plusieurs thèmes dans ce film : la misère consécutive à la crise

La comédie : -mise en scène de personnage de la vie quotidienne et confrontés à des problèmes quotidiens. –La société bourgeoise y est représentée et souvent tournée en pour amuser et pour faire rire. – Le dénouement est généralement heureux. c) La tragi-comédie : - présence de toutes les caractéristiques d’une tragédie mais son dénouement est heureux. -Les 3 unités : a) Unité d’action : la pièce met en scène qu’une action principale. Une fois échappé au danger qui le menace, le héros ne doit

représentait la force, le courage et l’honneur. Puis, lorsque les premiers écrits apparurent au Moyen-âge, le héros en était le personnage principal, un personnage légendaire, auquel on prêtait des exploits remarquables. Cependant, au fil du temps, les caractéristiques de ce héros se sont amplement dégradées et le héros est devenu, pour de nombreux romanciers médiocres, faible, voire ridicules. Nous nous interrogerons sur l’intérêt de cet anti-héros dans le roman. Pour ce, nous verrons que le héros est indispensable

abusive du professeur qui ne tolère aucune intervention de son élève notamment lorsque celle-ci est susceptible de lui faire de l’ombre : « l’élève : Phonème le professeur : J’allais vous le dire. N’étalez pas votre savoir. Ecoutez, plutôt. » Ainsi le rire que suscitent ces trois extraits repose sur trois des quatre grands types comiques : le comique de langage, de mots et de caractère. Ils sont ici mis au service d’une dénonciation féroce de la vanité des savoirs, le plus souvent envisagés ici comme