Caresse

rêve ? Comment pouvais-je avoir l’impression de toucher quelque chose, au beau milieu d’un rêve ? Et brusquement, la lumière s’éteignit. Le froid s’enroula autour de moi, et l’ombre de mon corps disparut dans le trou de sable. Je sentais la caresse de la neige au bout de mes doigts, son insoutenable morsure. Non, ce n’est pas possible, ça ne peut pas être un cauchemar ! Pas ici. Je secouai la tête, fis le vide autour de moi. Quand j’ouvrirai les yeux, je n’aurai plus cette

son présent. Il aime mieux vivre dans le passé que dans le présent pour éviter la mort. D’autre part, l’homme se promenait en ville et vu un vieux meuble italien dans une vitrine et le trouvait très intrigant, alors il décide de l’acheter. «On le caresse de l’œil et de la main comme s’il était de chair; on revient à tout moment près de lui, on y pense toujours, où qu’on aille, quoi qu’on fasse.»2. La comparaison nous démontre qu’il porte un attention plus particulière au vieux meuble qu’une personne

pour pouvoir les monter ensuite et bien les éduquer pour qu ils aient de bonnes habitudes car à 3 ans ils sont sociabilisés. Il y a 3 parties dans l éducation 1 la manipulation On commence à le manipuler par seance de 10 min. L éléveur le caresse, le touche, lui tapote les pieds ,touche ses oreilles … cela lui apprend à etre manipuler sans crainte. 2 le travail à pied On lui met un licol autour de la tete quand il dort . Son licol doit etre ajusté à sa taille car il peut passer le

identifions nos besoins d’affects de l’Amour, et nous verrons que nous ne manquons pas d’amour, mais plutôt de reconnaissance et d’affection… Ainsi acceptons enfin cette réalité... Le fond c’est la friction, la Vie ; la forme, elle est au choix… la caresse, quel doux frottement… la claque... est peut être malheureusement parfois utile… et pourtant, est-elle toujours dénuée d’amour ?... La Vie consiste à ramener l’esprit, les idées, les valeurs, dans la matière, quelle belle friction ! Quel Amour

éveil des sens : il fait l'éloge et célèbre la beauté de la femme – idée de gourmandise - la vue «  te revoilà devant moi toute nue » - le goût «  hanches fruits confits » fruit méditerranéen, Lou était méditerranéenne - le toucher « la caresse » Allitération des « s » cela provoque la sensualité Lou est comparée à la déesse de l'Amour « si » émet une hypothèse – une montée en puissance du désir envers Lou – effet langoureux champs lexical du feu «  flamme » « flambe » « phénix » : évoque

d'endroit. 25 Je me tiens droit et regarde loin devant, le plus loin possible : le prix du menu best-of McDeluxe. Elle le sent, elle sent ces choses. Elle prend ma main et la presse doucement. Elle ne me regarde pas. Je me sens mieux. Son petit doigt caresse l'intérieur de ma paume et mon coeur fait zigzague. Elle change d'avis plusieurs fois. Comme dessert, elle hésite entre un milkshake ou une glace caramel. Elle retrousse son mignon petit nez et tortille une mèche de cheveux. La serveuse est fatiguée

[l'empereur] dort et rêve et croit veiller [...] un pur néant fait son bonheur, il enlace du néant, embrasse du néant, tient du néant, se joint au néant [...] »1 Il a l'illusion d'obtenir quelque chose de Fénice alors que son sens du touché le trompe. Il ne caresse sa peau qu'en rêve. Bien sûr, le toucher n'est pas le seul sens illusoire dans ce texte. En effet, la vue aussi est trompeuse. Autant les yeux de l'empereur que ceux du peuple ont été trompés lorsque Fénice a bu une mixture qui devait la faire passer

dans un cadre buccolique. -retour du motif de la danse -syncrétisme > montre la supériorité du prophete -son amour sétend au dela la mort "refleurit" -amour de Salomé se confondant avec celui de sa mere > interrogation indirecte v.3. + la caresse mis en valeur par l'imperatif "n'y toucher pas" v.16 le basculement dans la folie A)le caractere puéril de Salomé -rupture dans le texte (strophe 4) > décasyllabe. -v. 14: changement de Salomé qui rejette la souffrance: négation avec

LES CARESSES     Non, mon ami n'y songez plus. Ce que vous me demandez me révolte et me dégoûte. On dirait que Dieu, car je crois à Dieu, moi, a voulu jadis tout ce qu'il a fait de bon en y joignant quelque chose d'horrible. Il nous avait donné l'amour, la plus douce chose qui soit au monde, mais trouvant cela trop beau et trop pur pour nous, il a imaginé les sens, les sens ignobles, sales, révoltants, brutaux, les sens qu'il a façonnés comme par dérision et qu'il a mêlés aux ordures du corps

résille de muscles épais comme le doigt. La courbe de ses jambes n’était pas rompue par le genou mais les genoux s’inscrivaient dans cette courbe et elle s’en allait plus haut, elle montait, tenant toute la chair de la cuisse dans ses limites. La caresse, la science et la colère de l’eau étaient dans cette carrure d’homme. À ses flancs, les cuisses s’attachaient par un os arrondi comme le moignon d’une branche. Il avait un ventre de beau nageur plat et souple, ombragé en dessous par des poils blonds