Caricature Grandjouan

Blâmes, caricatures, et figures monstrueuses… avec Victor Hugo commentaire : portrait de la Thénardier Victor Hugo, Les Misérables, 1862. On n'a encore aperçu dans ce livre les Thénardier que de profil; le moment est venu de tourner autour de ce couple et de le regarder sous toutes ses faces. Thénardier venait de dépasser ses cinquante ans ; madame Thénardier touchait à la quarantaine, qui est la cinquantaine de la femme; de façon qu'il y avait équilibre d'âge entre la femme et le mari

procédés : la diminution réduit la taille de quelque chose en vue de la faire paraître ridicule l'exagération est une technique commune de satire où l’on prend une situation réelle et on l'exagère à un point tel qu'elle devient ridicule. La caricature se rattache à cette technique. la juxtaposition compare des choses d'importance inégales, ce qui met l’ensemble au niveau de moindre importance. la parodie imite les techniques et le style d’une personne, d’un lieu ou d’une chose en vue

: Loi sur l’audio visuel et fin du monopole d’état sur la radio et la télévision Les dessins de presse : Le personnage caricatural se retrouve dans le récit humoristique, parodique et satirique. Son essor dans la presse apparaît en 1950. La caricature n’est pas seulement liée à l’exagération, elle naitra en Italie au XVII° et XIX° siècle en France, elle sera un moyen privilégié d’expression et de revendication sociale, politique, culturelle. Plusieurs procédés existent : - Le procédé du paradoxe

montagne jusqu’en bas. Suite à cela, nous ne pouvons pas dire que celons-nous, que le sportif de haut niveau évoque un idéal pour la société. D’autant plus que dans notre société, il y a des choses plus important comme de représente Cabu dans sa caricature disant « du pain... pas trop mais des jeux, tant qu’on en veut ! ». D’un point de vu sociétal le sportif de haut niveau n’est pas utile pour le développement de la société ; comme le dit l’alpiniste de haut niveau Lionel Terray dans son ouvrage

L’humour représente une grande force. La caricature est l'expression la plus évidente de la satire dans le graphisme, la peinture, la statuaire »[1]. La caricature est un élément indispensable de la presse dans une société démocratique puisqu’en exagérant les traits d’une personne, elle représente un instrument efficace de la critique de la vie politique. La caricature dans la presse joue donc un rôle social très important dans chaque pay démocratique. Ce genre humoristique est basé sur les exagérations

preuve d’une grande attention. Hypothèse renforcée par la suite de la phrase : « mes paroles firent TANT d’impression » hyperbole. « Rappelant tout ce qu’il lui restait de force » GB insiste sur le caractère craintif et faible de la jeune femme : caricature de la jeune femme en perdition, à la merci des brigands. «  se jeter à mes pieds » valorisation de GB : libérateur et garant de son « honneur » « elle pouvait compter sur moi » GB=preux chevalier Il relève la jeune femme : geste significatif

Dans cet extrait les femmes se déguisent en leur mari et prennent leur place à l'assemblée afin d'usurper le pouvoir à Athènes. Gaillardine répète son discours devant ses camarades dans le but de remettre le pouvoir aux femmes. I_ Une farce où triomphe le gros comique. 1) Le travestissement. Femmes se déguisent en homme = Stratagème pour convaincre les hommes de remettre le pouvoir de l'assemblée du peuple aux femmes. Ruse, fourberie, habilité à tromper et manipuler

abondance de détails concrets et réalistes (plats, jus sauce, ragoûts, service, place dans le carrosse, choisir le meilleur lit, etc...) II- Un portrait comique et fantaisiste (observation des registres, du style) A- Les outils de la caricature 1- Hyperboles généralisatrices (tous les hommes, le genre humain, tous tout à la fois, tout à son usage, tout ce qu'il trouve, tout le monde, personne) ou descriptives (pas plus pressé au théâtre que dans sa chambre, on le suit à la trace) :

Dans l’Antiquité, il était dictateur, un homme de pouvoir absolu et totalitaire. Dans la BD, c’est un homme d’honneur, se montrant indulgent et reconnaissant envers ses adversaires. CONCLUSION René GOSCINNY et Albert UDERZO, à travers la caricature et la parodie, appuient sur le côté dur et autoritaire de Jules César, en délaissant la face efféminée de ce personnage emblématique, et en le faisant « très masculin ». De plus, ils accentuent son côté tout simplement humain en le faisant très

d'atteindre à sa majorité que l’ éducation de Camille est terminée, on peut supposer qu'on ne va pas tarder à les marier. 4 – le genre : une comédie ? - Le comique, le grotesque : avec les personnages de maître Blazius et Dame Pluche, tous deux caricaturés. L’objectif est bien de faire rire le spectateur par le ridicule de la situation. - La présentation des deux jeunes est trop élogieuse et trop idéalisée. L’effet de décalage avec les précepteurs donne une certaine ironie à la scène. Mais certains