Carmen Femme Fatale

aristocrates, les honnêtes gens, les gens de biens; les riches. bonum, i, n. : le bien, l'honnête, le beau (moral). brevitas, atis, f. :brièveté caedes, dis , f meurtre caelum, i, n ciel campus ,i, m plaine caput, pitis, n. :tête carmen, minis, n. :poème, incantation castra , rorum, n pl camp casus, us, m. :hasard, malheur cena, ae, f. : cène, repas du soir censor, oris, m. :censeur centurio, onis, m centurion certamen, minis, n. :combat circus,i, m: cirque

consacrés à la passion amoureuse, à Aphrodite, à la beauté, à la nature et à la mort. © Eyrolles Pratique Pour aller plus loin Sappho, Poèmes et fragments, édition bilingue de Philippe Brunet, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1991. 11 Murasaki Shikibu Femme de lettres japonaise (vers 970 - après 1010) « Que les rois gardent leur Palais de jade ! Dans la chaumière feuillue, on peut dormir à deux. » 200 femmes de l’histoire Connue pour son roman Le Dit du Genji, Murasaki, orpheline de mère, est élevée

à Aphrodite, à la beauté, à la nature et à la mort. Femmes de lettres Pour aller plus loin © Eyrolles Pratique Sappho, Poèmes et fragments, édition bilingue de Philippe Brunet, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1991. 11 Murasaki Shikibu Femme de lettres japonaise (vers 970 - après 1010) « Que les rois gardent leur Palais de jade ! Dans la chaumière feuillue, on peut dormir à deux. » Connue pour son roman Le Dit du Genji, Murasaki, orpheline de mère, est élevée par son père, Tametoki

baptême, la princesse reçoit six dons de six fées différentes : ces dons concernent l’allure physique (la beauté, la grâce), les capacités intellectuelles (l’esprit), et artistiques (danse, chant, musique). Perrault énumère ici les critères de la femme idéale selon les canons de l’aristocratie du xviie siècle. La princesse devient un personnage merveilleux : toutes ses qualités font d’elle un être parfait, idéal, qui n’a rien de réaliste. 6 Quels sont les deux types d’êtres surnaturels qui apparaissent

9 Romantisme et lyrisme amoureux A. de Lamartine, Méditations poétiques, « Le lac » T. de Viau, Œuvres poétiques, « La solitude » ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE A. de Lamartine, Méditations poétiques, « Le lac » ANALYSE D’IMAGE C. D. Friedrich, Homme et femme contemplant la lune TEXTE 2 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de décembre » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 L. Labé, Sonnets, « Prédit me fut… » TEXTE 3 G. de Nerval, Odelettes, « Les Cydalises » et « Une allée du Luxembourg » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Tibulle

printemps. «Le père Branchaud fit bien les choses» de belles noces «On mangea et on but pendant trois jours à la santé des maries qui dès le premier soir étaient partis vers la maison des Moisan»[8] Alphonsine a montré à son époux ses qualités de « femme à Charles Moisan».Elle annonça à son mari la naissance de leur fils comme son cadeau du Jour de l’An. «Une étrange sensation de bien-être avait envahi Euchariste. Il se sentait raffermi, confirmé, en même temps que subitement mûri. Lui qui à peine

s’était contenté de les subodorer sans se risquer à les admettre tant son rapport montrait une volonté évidente de donner à l’affaire une explication rationnelle. La porte de la place y était baptisée plusieurs fois d’un nom rocambolesque : la porte fatale. En réalité, la seule explication valable paraissait être celle de Plácida Linero, qui avait répondu à la question avec son bon sens de mère : « Mon fils ne sortait jamais par la porte du fond quand il était bien habillé. » Cela semblait une vérité

s’était contenté de les subodorer sans se risquer à les admettre tant son rapport montrait une volonté évidente de donner à l’affaire une explication rationnelle. La porte de la place y était baptisée plusieurs fois d’un nom rocambolesque : la porte fatale. En réalité, la seule explication valable paraissait être celle de Plácida Linero, qui avait répondu à la question avec son bon sens de mère : « Mon fils ne sortait jamais par la porte du fond quand il était bien habillé. » Cela semblait une vérité

catholique — . D'autre part, cette gens depuis longtemps illustre avait donné à l'Etat, aux IVe et Ve siècles, toute une lignée de hauts fonctionnaires. Etant aussi bien né, étant d'ailleurs apparenté à la grande famille des Symmachi, où il prit femme, étant enfin doté d'une brillante intelligence et bénéficiaire — l'un des derniers en Occident — d'une culture « à l'antique » véritablement complète, de la qualité de celle qu'avait pu recevoir en son temps un Gicéron, Boèce accède rapidement

III. LE CARACTERE DE FEMME .................................................................... 25 3.1. Cœur de femme, cœur solitaire...................................................................................... 25 3.2. Cœur de femme, cœur méditatif .................................................................................... 26 3.3. Cœur de femme, cœur contradictoire ............................................................................ 27 3.4. Cœur de femme, cœur incontrôlé .