Cartel de la drogue

Celle-ci coïncida avec un changement majeur de l'économie mondiale, le début, en 1973, d'une période de crise. Au départ, ce changement ne fut guère remarqué, hormis la hausse soudaine des prix de l'énergie provoqué par le coup de force de l'OPEP, le cartel des pays producteurs de pétrole (signe parmi d'autres d'un affaiblissement de la domination mondiale des Etats-Unis). Deux phénomènes parurent modifier l'équilibre des superpuissances : d'une part la défaite des Etats-Unis au Viet-nam, et la guerre

liberté d’expression. Mais d’autres pays comme la Corée du Sud, la Chine, le Laos, la Birmanie, le Yémen, la Syrie, le Rwanda, etc. ne sont également pas des modèles en matière de liberté d’expression. Cependant c’est le Mexique à cause des cartels de drogue qui détient le triste record du nombre de journalistes tués. En revanche, des pays comme la Finlande, l’Islande, la Norvège, le Pays-Bas, la Suède ou encore la Suisse sont des moteurs à la liberté d’expression. En 2011 grâce au printemps arabe

du Zaïre a perdu sa position de premier producteur de cobalt mais conservait encore le deuxième rang dans le domaine du diamant industriel. En dehors du gisement de Miba, la production a été privatisée en 1983. Des licences ont été accordées à des cartels, dont le principal, Sediza, appartient à la De Beers. Toutefois, une grande partie était exploitée en dehors de tout contrôle. On estime généralement que la quantité écoulée en contrebande égale celle de la production officielle malgré les mesures

partie du territoire et la population qui y vit, soit parce que des groupes terroristes mettent en échec la souveraineté de l'Etat soit parce que ses mafias notamment par le contrôle des trafics de drogue, exercent une autorité de fait partielle sur le pays. On a vu ainsi le cartel du trafic de drogue de Bolivie proposer de racheter la dette internationale du pays en échange d'un engagement concernant l'extradition de ses membres vers les Etats-Unis. Même en Europe occidentale le concept de l'Etat-nation

professionnelles entre les policiers, les douaniers et les autres officiers de la force publique. Ex : Club de Berne qui réunit les fonctionnaires du renseignement dans un relatif secret. Ces clubs sont des structures de coopération : lutte contre la drogue, lutte contre les infractions douanières etc.… Ces clubs ont un périmètre géographique variable. Leur composition n’est jamais complètement définie. C’est de ceci que va émerger au cours des années 1980 et que va se renforcer dans les années 90

Revue économique, vol. 52, 05109/2001, p. 969. L'idée est simple. Le marché de la justice est régulé par le coût des procès, il y a une offre de justice, et une demande. Il y a un marché de la justice comme il y a un marché du sexe, du crime, de la drogue, du mariage, des enfants, de l'amour, de la choucroute. L'expression du gain espéré par le demandeur qui propose un arrangement occupe une demipage. Ne nous trompons pas: il s'agit là de maths niveau collège, ça signifie: j'espère qu'un arrangement

interne qui a décimé le milieu. En clair, tout ce qui rapporte à court et à long terme des sommes faramineuses. À une exception près cependant : le trafic de stupéfiants, que le tandem refusera, car trop compromettant. « Mon père n’a jamais touché à la drogue, contrairement à Carbone et Spirito, qui étaient les représentants de la mafia américaine dans la région », m’affirme ainsi Marie-Christine Guerini. Pour Carbone, mort dans son lit en 1967 après un long séjour aux États-Unis, c’est certain. Mais pas

avec un cartel au Panama pour transiter la cocaïne aux USA, qui a une consommation importante de cocaïne, mais l’Europe l’a dépassé récemment. Cet accord conclu au Panama a un effet substantiel sur le territoire national des USA. Ce lien de rattachement a été jugé suffisant par les Tribunaux américains pour juger des actes commis en dehors du territoire national. L’effet substantiel : c’est l’accord conclu en dehors de son territoire par des étranger mais l’effet est acheminer de la drogue au territoire

évidence deux points communs. Tout d’abord, le hooliganisme est bien le fait de supporters et non d’individus extérieurs au football. Les hooligans appartiennent tous à des groupes structurés. En reprenant la métaphore relative à la consommation de drogue, on peut ainsi affirmer que si 100 % des supporters ne deviendront pas hooligans, 100 % des hooligans sont bien, quant à eux, d’authentiques supporters. Le hooliganisme est effectivement, comme le suggère Ehrenberg, la dérive extrême du supportérisme

surprendre par les flics. Cette fois, ce n'est pas un amour « bouquet de roses », un amour « petits mots doux ». C'est un amour « fer rouge » où l'on arrache plus qu'on ne donne. Cette nuit, entre eux, c'est le shoot, c'est le fix, c'est le flash du drogué. Elle veut lui montrer cette face d'elle-même, ce truc moins lisse derrière l'image romantique : la faille, la 24e image. Elle veut voir s'il va la suivre sur ce terrain ou la laisser en route. Cette nuit, elle n'est plus son amoureuse, elle est son