Cartier

joaillerie, c'est-à-dire des pierres fines et précieuses utilisées pour fabriquer des pièces, et maroquinerie, cosmétique… Les grandes marques, occupent toutes une place importante sur ce marché, même si les spécialistes s’accordent pour définir Cartier comme un leader incontestable, depuis plusieurs années. Il est suivi par le géant américain Tiffany&Co, qui vend aussi un grand nombre de produits autre que de la joaillerie et de l’horlogerie. Bulgari est le troisième grand nom de ce secteur malgré

comparatif du développement Point de vue : Non. Dans le texte de Jacques-Cartier, les Français veulent acheter le peuple Amérindiens et dans le texte de Lahontan, le Français veut convaincre le peuple Hurons que leur mode de vie est meilleur. Argument principal 1 À première vue, dans les deux textes, les Français disposent de plusieurs biens matériels par rapport aux Amérindiens. Dans Voyages en Nouvelle-France, de Jacques Cartier (1534), les Français se servent de leurs richesses comme un hameçon pour

| |      Dans les extraits présentés, Jacques Cartier et le baron de Lahontan présentent les Français comme étant un peuple matérialiste. | |Sous-argument 1.1 |Sous-argument 1.2 | |     Dans l’extrait de Voyages en Nouvelle-France de Jacques Cartier, |      Dans Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un | |les Français s’approprient

| |Sous-argument 1.1 |Sous-argument 1.2 | |Dans Voyage en Nouvelle France Jacques Cartier montre les arguments qui|Dans Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage | |lui ont permis d’imposer la croix chrétienne aux amérindiens malgré |dans l’Amérique, le Baron explique à l’amérindien Adario pourquoi | |leur réticences

| |Sous-argument 1.1 |Sous-argument 1.2 | |Dans le texte de Jacques Cartier, Extrait de Voyages en Nouvelle-France, on peut|Dans le texte de Louis-Armand de Lom D’Arce, Dialogues de Monsieur le | |remarquer les objets et outils utilisés. Ce sont tous des outils de qualité |baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique

illicite, ne peut avoir aucun effet. Le texte à commenter est une décision prise le 4 juillet 1995, par la Cour de cassation chambre civile 1. Elle a pour objet une erreur d’étiquetage du prix de vente d’une bague en or. En l’espèce, la société Cartier demande l’annulation de la vente pour absence de consentement et défaut de prix sérieux. En effet le prix réel du bijoux était de 460 419 € alors que le prix affiché par la société a la vente était de 101 556 €. Ainsi, la décision du tribunal de

Étape 1 : Plan comparatif du développement Dans les textes de Cartier et de Lahontan, le « sauvage » est-il présenté de la même façon ? Point de vue : Oui, il est présenté de la même façon. |Argument principal 1 | |À première vue, le « sauvage » est présenté de façon identique, puisque les deux auteurs évoquent un sentiment de supériorité à son égard. | |Sous-argument 1

nuances de couleurs inédites et d’une grande diversité, ce qui plait particulièrement aux créateurs. Le bois : De plus en plus de créateurs de lunettes se lancent dans les montures en bois, à l’image de Rolf ou Gold & Wood. D’autres marques comme Cartier, Boucheron, Fred ou Öga utilisent aussi ce matériau. Originales par la forme et la couleur, les montures en bois sont également très agréables au toucher. Les bois les plus utilisés sont le noyer, le merisier, l’érable, le poirier, le palissandre

Alcide-Côté Perron MacDonald Pierre-Caisse Carrefour Richelieu Édifice Bougainvillier Jacques-Cartier S. Centre-de-plein-air Ronald-Beauregard Collège militaire royal de Saint-Jean CIRCUIT 33 - SAINT-EUGÈNE VERS TERMINUS - LUNDI AU VENDREDI A.-Côté / Jacques-Cartier S. de Carillon / Saint-Eugène Perron / de Carillon Roman / Jacques-Cartier S. Vanier / Jacques-Cartier S. Cousins / Montcalm Montcalm / du Séminaire N. du Séminaire N. / boul. Gouin du Séminaire N. / Frontenac

Présentation de l’oeuvre :Nous avons sous les yeux une photographie, ou plutôt la reproduction d’une photographie de Henri Cartier-Bresson, datée de 1947.Henri Cartier-Bresson a intitulé cette photographie « Downtown New York » (centre de New York). Il aurait pu la titrer « une ruelle sombre de New York » ou « une âme perdue dans New-York ». Or, il a choisi une autre légende qui nous oblige à voir dans cette scène une évocation de la ville et un symbole. Le titre nous est donné « Downtown, New-York »