Cas Partique D Analyse Stratégique

internationales On constate d'abord que les instruments normatifs du DI existent, qu'ils sont en vigueur, que dans pans entiers du DI sont appliqués de nos jours sans heurts, qu'aucun Etat méconnait l'existence du droit international, que tous tentent en cas de violation de telle ou telle règle de DIP soit de nier la violation, soit de se retrancher derrière telle autre règle du droit international qui, selon eux, justifierait légalement leur comportement. Aucun Etat n'a jamais lancé un défi au DI; tous

affirmatif : « Il n’est pas permis de douter que le phénicien et l’hébreu ne soient la même langue »32. Dans ces conditions, on ne s’étonnera pas de ce que tous les philologues qui déchiffrent des inscriptions carthaginoises passent par l’hébreu. C’est le cas de l’abbé Bargès qui, dans son Mémoire sur deux nouvelles 30 31 Ernest Renan, Histoire générale et système comparé des langues sémitiques, 1855, p. 178. Salomon Munk, Essai sur l’inscription phénicienne du sarcophage d’Eschmoun-Ezer, roi de Sidon