Casamance

par le conflit armé Le Comité interrogea sur la situation actuelle du conflit en Casamance après des dizaines d’années de conflit interne et si l’Etat-partie avait une politique spécifique pour la reconstruction et la réhabilitation des écoles détruites. La délégation répondit que les plans d’action pour réhabiliter la région étaient suffisamment dotés en fonds. Ils ajoutèrent que même lors du conflit, la Casamance restait la région avec le plus haut taux de scolarité du pays. Le Comité demanda à

Nouvelle Calédonie. Les lieux relevés : Poindimié L11 ;Tendo L11 ; Canala L18 ; Hienghene L18 ; Nouméa L18 ; La foa L18 ; Iles d’ouvea L18 ; Iles lifou L18 ; Iles maré L18 ; Trenadite L46 ; Temala L61 ; Kaoris L62 ; Ducos L65 ; Dumbéa L65 ; (casamance) ? 81 ; mangrove L83 ; puébo L83 ; touho L83 moindou L88 CARTE DE LA NOUVELLE CALEDONIE : [pic]

Après des études coraniques, il rejoint les bancs de l'école française à l'âge de onze ans, puis fréquente le Lycée Faidherbe avant d'intégrer l'École normale William Ponty. Il devient en 1929 l'un des premiers instituteurs africains et exerce en Casamance, à Thiès, Louga, Dakar et Rufisque, où il occupe ensuite le poste de directeur d'école et d'inspecteur Primaire de 1959 à sa mort, en 1961. En 1932 il défie les autorités coloniales en devenant le deuxième bachelier sénégalais. À la fin de la Seconde

remise en cause par la globalisation de l’économie et les problèmes d’irrédentisme qui sévissent dans le monde. C’est le cas de la revendication des nationalistes palestiniens sur le territoire israélien. Nous pouvons aussi citer l’exemple de la Casamance, qui revendique son propre territoire en contrevenant aux principes d’intégrité de la territorialité. Nous aborderons le sujet en deux parties : d’abord, l’élément physique de l’Etat qui regroupe deux concepts la population et le territoire (I)

organique, ils sont chimiquement pauvres et se sont pratiquement tous acidifiés sous les effets d'une mise en culture continue ; 8 les sols ferrugineux tropicaux lessivés bordent les 2/3 de la frontière sud avec la Gambie en Moyenne et en Haute Casamance. Ces sols conviennent à une gamme plus large de cultures du fait de leur plus grande richesse minérale mais aussi du fait qu'ils sont localisés dans des zones relativement mieux pourvues en eau. Ils conviennent à l'arachide, au mil, au maïs, au

(155 ème) PIB/HAB : 2406 E RELIGION : Islam (90%) INDEPENDANCE : 1960 (France) Le SENEGAL est une République démocratique qui n’a jamais connu de coup d’état. Il existe néanmoins le problème posé par la volonté d’indépendance de la CASAMANCE. uigiugiuuigiugigi MALI: CAPITALE : BAMAKO PRESIDENT : SUPERFICIE : 1,2 Million Km² POPULATION : 15 Millions IDH : 0,391 (173 ème) PIB/HAB : 502 E RELIGION

les autres regions du monde 4%. Avec le temps, les migrations internationales ont notablement evolue’. Elles concernaient d’abord les populations originaires de la vallee du Senegal – Soninke et Toucouleur – et moindrement certains groupes de la Casamance – Mandjak - avant de toucher les regions du Bassin arachidier et l’ensemble du pays a partir des annes 1980. Les candidats au depart ne sont plus issus du milieu rural achemines par voie legale par des organismes de recrutement bases dans les pays

TABLE DES MATIÈRES Introduction générale CHAPITRE 1ER : ÉLEMENTS DE REPONSE AUX OBSERVATIONS FINALES DE LA COMMISSION AFRICAINE I. Sur le point relatif à la Casamance II. Sur le point relatif aux enfants de la rue III. Sur le point relatif aux conditions carcérales (a) Généralités sur les prisons sénégalaises (b) La réhabilitation des lieux de détention au Sénégal (c) Amélioration des conditions de vie des

des sols constitue une possibilité importante pour un développement intégré. En plus on y note une disponibilité des ressources hydraulique. Le Sénégal est arrosé par deux grandes fleuves( fleuve Sénégal, fleuve Gambie) sans oublier la Casamance et, le Kayanga qui s’écoule vers la Guinée Bissau, le lac de Guers qui constitue un réservoir d’eau douce. Les réserves d’eau pourraient servir à développer les cultures des autres saisons ou bien l’irrigation. En outre avec une demande en expansion

répartition régionale de ces terres arables se présente comme suit: Casamance 19,7%, Sénégal oriental 10,5%, Bassin arachidier 57,0%, Ferlo (zone sylvo-pastorale) 3,9%, région du fleuve Sénégal 7,9% et Niayes 1,0%. Ces terres arables sont menacées en divers endroits par la forte dégradation du couvert végétal, la déstructuration, l'acidification et l'érosion éolienne, la salinisation et la toxicité ferrique. Le Ferlo, la Casamance, le Bassin arachidier et la région du fleuve Sénégal sont les plus